Le tribunal administratif de Rabat a décidé de reporter, au 23 mars le procès du dossier relatif au décès de l’enfant Omar, à cause d'une chute mortelle d'un escalier automatique à la Gare Rabat-Agdal. Cette décision fait suite à la demande de la défense d’accorder un délai pour la mère dévastée en vue de discuter de ses demandes en matière de dédommagements.
« La défense de la campagne ferroviaire n’a pas présenté son offre d’indemnisation. Par contre, nous sommes invitées à préciser nos demandes finales, allusion faite au montant des dédommagements », explique la mère de la victime dans une déclaration à "L'Opinion".
À ce jour, la femme se dit indécise concernant le montant d’indemnisation à demander à l’Office national des Chemins de fer (ONCF) dans le cadre de cette affaire qui suscité l'attention médiatique.
« En tant que femme qui a perdu son enfant, je me retrouve dans une situation délicate, car je ne peux pas demander un montant aléatoire. Rien ne rendra mon fils en tout cas », a expliqué Mme Zineb Alaoui qui invoque la pleine responsabilité de l'administration ferroviaire dans l'accident dont son fils a péri en novembre 2023.
En demandant le report du procès, la plaignante et son avocat cherchent à avoir un délai supplémentaire pour avoir suffisamment de recul pour prendre une décision.
Outre l’indemnisation d’ordre matériel que la plaignante n’estime pas objectif en soi, confie mme Alaoui, précisant qu'elle revendique également une indemnisation immatérielle, à savoir que le prénom de son fils soit gravé sur le mur de la gare, en hommage à la mémoire du défunt.
Pour rappel, l’enfant de 4 ans est décédé, début novembre, dans la gare de Rabat-Agdal à cause d'une chute mortelle d'un escalier automatique, dont le garde-corps aurait été enlevé pendant l'incident. Selon le constat des éléments la police du troisième arrondissement Agdal, qui se sont rendus sur place après l'incident, l'enfant était accompagné de son père, qui porte la nationalité irakienne.
Les deux passagers, en provenance de Kénitra, sont arrivés à la gare de Rabat-Agdal vers 21 h 45. L'enfant a chuté lorsqu'il était en train de monter l'escalier automatique, dont une partie du garde-corps en verre aurait été enlevée. C'est à ce moment que le défunt est tombé dans le vide à 10 m de hauteur du sol.
« La défense de la campagne ferroviaire n’a pas présenté son offre d’indemnisation. Par contre, nous sommes invitées à préciser nos demandes finales, allusion faite au montant des dédommagements », explique la mère de la victime dans une déclaration à "L'Opinion".
À ce jour, la femme se dit indécise concernant le montant d’indemnisation à demander à l’Office national des Chemins de fer (ONCF) dans le cadre de cette affaire qui suscité l'attention médiatique.
« En tant que femme qui a perdu son enfant, je me retrouve dans une situation délicate, car je ne peux pas demander un montant aléatoire. Rien ne rendra mon fils en tout cas », a expliqué Mme Zineb Alaoui qui invoque la pleine responsabilité de l'administration ferroviaire dans l'accident dont son fils a péri en novembre 2023.
En demandant le report du procès, la plaignante et son avocat cherchent à avoir un délai supplémentaire pour avoir suffisamment de recul pour prendre une décision.
Outre l’indemnisation d’ordre matériel que la plaignante n’estime pas objectif en soi, confie mme Alaoui, précisant qu'elle revendique également une indemnisation immatérielle, à savoir que le prénom de son fils soit gravé sur le mur de la gare, en hommage à la mémoire du défunt.
Pour rappel, l’enfant de 4 ans est décédé, début novembre, dans la gare de Rabat-Agdal à cause d'une chute mortelle d'un escalier automatique, dont le garde-corps aurait été enlevé pendant l'incident. Selon le constat des éléments la police du troisième arrondissement Agdal, qui se sont rendus sur place après l'incident, l'enfant était accompagné de son père, qui porte la nationalité irakienne.
Les deux passagers, en provenance de Kénitra, sont arrivés à la gare de Rabat-Agdal vers 21 h 45. L'enfant a chuté lorsqu'il était en train de monter l'escalier automatique, dont une partie du garde-corps en verre aurait été enlevée. C'est à ce moment que le défunt est tombé dans le vide à 10 m de hauteur du sol.