Un jeu de rêve
Lors de cette incompréhensible défaite nul n’a rien compris. Le Raja est parti au Caire avec un petit but de différence au profit du Zamalek; mais avec, également, de l’espoir plein le cœur pour arracher une qualification du cœur de la capitale égyptienne. Cet espoir s’affirma lorsque l’arbitre sénégalais donna le coup d’envoi. Car le club casablancais a sorti lors de la première mi-temps, un jeu de rêve. Les Zamalkaouis se sont contentés de regarder le club marocain développer un football qui leur a donné du tournis. Avec à la clé, plusieurs occases des Verts renvoyées par l’excellent keeper des Cairotes, Abou Jabal, par la transversale ou encore par maladresses ou précipitation. Ne nous arrêtons pas sur le chapitre de l’arbitrage ; car il y à boire et à manger. Nul ne comprend cet acharnement des arbitres africains sur les clubs marocains. Et dire que nous avons Fouzi Lekjaâ comme premier vice-président de cette institution qu’est la CAF.
Les choix de Jamal Sellami
A cela s’ajoute, il faut le signaler, les choix de Jamal Sellami critiqué de toutes parts par le « Chaâb (peuple)» Rajaoui. Les commentaires des fans des Verts ont été impitoyables vis-à-vis de Sellami qu’on considère comme une des raisons de cette défaite. Tous les supporters du RCA ne lui pardonneront jamais ces changements qu’il a effectués et qui ont permis au Zamalek de pousser un ouf de soulagement. « Comment, se demandent les supporters, Sellami a-t-il pu sortir Mitouali, Arajoune et Wardi, tous auteurs d’une mi-temps inoubliable ? ». Leur sortie a ouvert des boulevards dans la défense marocaine. Après le but de Malengo, de plus en plus critiqué depuis son retour du Congo, le Raja s’est dégonflé comme une baudruche. Fatigue de la première période ? Instructions de Sellami ? En tous les cas, ils ne savaient plus sur quel pied danser. Nul n’a compris ce retrait en arrière des joueurs. Nul n’a compris l’entrée d’Ecchakir au lieu d’un attaquant. Nul n’a compris l’entêtement de Sellami à garder Jabroune sur le banc de touche. Un coach ne fait pas de bras de fer avec un joueur. Le coach et le joueur doivent concourir à la réussite du club. Les appels incessants des supporters en faveur de l’ex-joueur de Tétouan ont toujours rencontré la sourde oreille de l’entraîneur du Raja. Par ce comportement orgueilleux, Sellami a perdu beaucoup de points auprès de l’inconditionnel public rajaoui. Il a fait du Raja un vrai sujet de moquerie. Il donne raison à tous ses détracteurs de l’image de coach, de peureux, voire de couard qu’il est. Celui qui ne risque rien… comme dit le vieil adage.
Sellami doit avoir du courage
Le coach du Raja a donné raison à tous ses détracteurs en opérant des changements incroyables que même le commentateur du BeInSport a qualifié « d’erreur impardonnable » lorsqu’il a vu Mitouali quitter le terrain. L’image d’entraîneur peureux a surgi devant le Zamalek lorsque le Raja a sombré en seconde période. Jamal Sellami est tenu de donner une conférence de presse pour expliquer ses choix tactiques. Cela lui permettra, peut-être, de redorer son image, complètement ternie par cette sortie honteuse de la Ligue des Champions. S’il veut le soutien des Rajaouis. Sinon c’en est fini de sa carrière au Raja, si l’on en croit les containers de critiques acerbes parfois, insultantes parfois, très justes et très raisonnables parfois.
Lors de cette incompréhensible défaite nul n’a rien compris. Le Raja est parti au Caire avec un petit but de différence au profit du Zamalek; mais avec, également, de l’espoir plein le cœur pour arracher une qualification du cœur de la capitale égyptienne. Cet espoir s’affirma lorsque l’arbitre sénégalais donna le coup d’envoi. Car le club casablancais a sorti lors de la première mi-temps, un jeu de rêve. Les Zamalkaouis se sont contentés de regarder le club marocain développer un football qui leur a donné du tournis. Avec à la clé, plusieurs occases des Verts renvoyées par l’excellent keeper des Cairotes, Abou Jabal, par la transversale ou encore par maladresses ou précipitation. Ne nous arrêtons pas sur le chapitre de l’arbitrage ; car il y à boire et à manger. Nul ne comprend cet acharnement des arbitres africains sur les clubs marocains. Et dire que nous avons Fouzi Lekjaâ comme premier vice-président de cette institution qu’est la CAF.
Les choix de Jamal Sellami
A cela s’ajoute, il faut le signaler, les choix de Jamal Sellami critiqué de toutes parts par le « Chaâb (peuple)» Rajaoui. Les commentaires des fans des Verts ont été impitoyables vis-à-vis de Sellami qu’on considère comme une des raisons de cette défaite. Tous les supporters du RCA ne lui pardonneront jamais ces changements qu’il a effectués et qui ont permis au Zamalek de pousser un ouf de soulagement. « Comment, se demandent les supporters, Sellami a-t-il pu sortir Mitouali, Arajoune et Wardi, tous auteurs d’une mi-temps inoubliable ? ». Leur sortie a ouvert des boulevards dans la défense marocaine. Après le but de Malengo, de plus en plus critiqué depuis son retour du Congo, le Raja s’est dégonflé comme une baudruche. Fatigue de la première période ? Instructions de Sellami ? En tous les cas, ils ne savaient plus sur quel pied danser. Nul n’a compris ce retrait en arrière des joueurs. Nul n’a compris l’entrée d’Ecchakir au lieu d’un attaquant. Nul n’a compris l’entêtement de Sellami à garder Jabroune sur le banc de touche. Un coach ne fait pas de bras de fer avec un joueur. Le coach et le joueur doivent concourir à la réussite du club. Les appels incessants des supporters en faveur de l’ex-joueur de Tétouan ont toujours rencontré la sourde oreille de l’entraîneur du Raja. Par ce comportement orgueilleux, Sellami a perdu beaucoup de points auprès de l’inconditionnel public rajaoui. Il a fait du Raja un vrai sujet de moquerie. Il donne raison à tous ses détracteurs de l’image de coach, de peureux, voire de couard qu’il est. Celui qui ne risque rien… comme dit le vieil adage.
Sellami doit avoir du courage
Le coach du Raja a donné raison à tous ses détracteurs en opérant des changements incroyables que même le commentateur du BeInSport a qualifié « d’erreur impardonnable » lorsqu’il a vu Mitouali quitter le terrain. L’image d’entraîneur peureux a surgi devant le Zamalek lorsque le Raja a sombré en seconde période. Jamal Sellami est tenu de donner une conférence de presse pour expliquer ses choix tactiques. Cela lui permettra, peut-être, de redorer son image, complètement ternie par cette sortie honteuse de la Ligue des Champions. S’il veut le soutien des Rajaouis. Sinon c’en est fini de sa carrière au Raja, si l’on en croit les containers de critiques acerbes parfois, insultantes parfois, très justes et très raisonnables parfois.