Le pays a pris plusieurs mesures pour lutter contre la pandémie du «COVID-19». Ce choix politique a également donné naissance à plusieurs initiatives de solidarité, allant d’une simple aide de son voisin à l’invention d’appareils d’assistance respiratoire. Dans cette optique, la commission des marocains du monde et des affaires migratoires issue du comité central du Parti de l'Istiqlal a lancé une initiative au profit des étudiants subsahariens résidants au Maroc. Une première campagne de distribution de 1000 paniers contenant des produits alimentaires de première nécessité a été lancée. 500 étudiants d’une douzaine de nationalités ont bénéficié de cette campagne.
Solidaires pour une Afrique meilleure
Grâce au soutien logistique assuré par l’organisation «Scout Marocain», cette première campagne s’est étalée sur les villes de Rabat, Salé, Kenitra, Tanger, Marrakech et Meknès. Chaque semaine, les trois villes concernées par cette campagne sont annoncées sur la page Facebook de l’action (https://www.facebook.com/AfricaSolidarityFund). Les étudiants qui souhaitent en bénéficier sont invités à s’inscrire à travers un formulaire web (https://covid19.africasolidarityfund.com/). Le panier est ensuite livré à leur domicile.
Dans une déclaration, les organisateurs ont souligné que cette action est motivée non seulement par un sentiment de solidarité envers nos les migrants subsahariens, mais également par une profonde croyance en la jeunesse africaine. Elle représente un levier important pour le développement d’une Afrique unie et puissante, capable de lever les frontières entre les pays, afin de se doter d’un espace économique continentale fort.
La commission a inscrit dans son agenda différentes actions nationales et internationales pour promouvoir ce projet d’émergence dont le dynamo n’est autre que l’accélération des échanges sur différents plans dans le cadre de la vision sud-sud tracé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, pour reconstruire un espace africain riche de sa nature, de sa culture, de sa jeunesse, de ses talents, et ses ressources naturelles.
Solidaires pour une Afrique meilleure
Grâce au soutien logistique assuré par l’organisation «Scout Marocain», cette première campagne s’est étalée sur les villes de Rabat, Salé, Kenitra, Tanger, Marrakech et Meknès. Chaque semaine, les trois villes concernées par cette campagne sont annoncées sur la page Facebook de l’action (https://www.facebook.com/AfricaSolidarityFund). Les étudiants qui souhaitent en bénéficier sont invités à s’inscrire à travers un formulaire web (https://covid19.africasolidarityfund.com/). Le panier est ensuite livré à leur domicile.
Dans une déclaration, les organisateurs ont souligné que cette action est motivée non seulement par un sentiment de solidarité envers nos les migrants subsahariens, mais également par une profonde croyance en la jeunesse africaine. Elle représente un levier important pour le développement d’une Afrique unie et puissante, capable de lever les frontières entre les pays, afin de se doter d’un espace économique continentale fort.
La commission a inscrit dans son agenda différentes actions nationales et internationales pour promouvoir ce projet d’émergence dont le dynamo n’est autre que l’accélération des échanges sur différents plans dans le cadre de la vision sud-sud tracé par Sa Majesté le Roi Mohammed VI, pour reconstruire un espace africain riche de sa nature, de sa culture, de sa jeunesse, de ses talents, et ses ressources naturelles.
3 questions à Adil Chraoudou
«Notre objectif est d’encourager l’échange entre les différents pays du continent»
Le Président de la commission des marocains du monde et des affaires migratoires, Adil Chraoudou, nous livre les détails de cette initiative.
-Comment s’est déroulée la première campagne ?
-La campagne a eu un grand succès, le plus grand défi à endosser était le terrain. Cette initiative est le fruit de trois aspects importants, à savoir l’idée, qui est portée sur un mouvement de solidarité avec les étudiants subsahariens, puis l’aspect financier, où il fallait assurer les moyens pour acheter les produits alimentaires. Ensuite, il fallait voir l’aspect le plus contraignant qui est celui de la logistique. Nous avons coordonné avec l’association «Scout Marocain», qui ont fait un travail remarquable.
-Pourquoi avez-vous ciblé la communauté des étudiants subsahariens ?
-Nous sommes pour la jeunesse et pour les étudiants, notre vision est orientée vers l’Afrique. Nous croyons énormément en cette niche-là. Nous travaillons beaucoup sur l’Afrique et de très près avec les étudiants subsahariens, qui ne cessent de faire leurs preuves. En même temps, ces étudiants sont dans le besoin et il y’avait beaucoup de demande. Pour rester neutre, nous avons créé un site et un formulaire. Nous annonçons les villes à visiter sur Facebook, puis, les personnes désirant bénéficier de cette campagne peuvent s’inscrire via le formulaire. Nous clôturons la liste des bénéficiaires après avoir atteint le nombre maximal pour chaque ville.
-Quels sont vos prochains projets ?
-Pour la campagne «COVID-19 », nous allons travailler dans d’autres villes, comme Agadir et Oujda, mais, le projet a pris d’autres dimensions. Nous allons coopérer avec d’autres pays africains afin de créer une association pour la jeunesse africaine. Elle se chargera de créer un espace de partage pour la jeunes. Notre objectif est d’encourager l’échange entre les différents pays du continent, afin de dépasser un espace pays vers un espace continental.
Le Président de la commission des marocains du monde et des affaires migratoires, Adil Chraoudou, nous livre les détails de cette initiative.
-Comment s’est déroulée la première campagne ?
-La campagne a eu un grand succès, le plus grand défi à endosser était le terrain. Cette initiative est le fruit de trois aspects importants, à savoir l’idée, qui est portée sur un mouvement de solidarité avec les étudiants subsahariens, puis l’aspect financier, où il fallait assurer les moyens pour acheter les produits alimentaires. Ensuite, il fallait voir l’aspect le plus contraignant qui est celui de la logistique. Nous avons coordonné avec l’association «Scout Marocain», qui ont fait un travail remarquable.
-Pourquoi avez-vous ciblé la communauté des étudiants subsahariens ?
-Nous sommes pour la jeunesse et pour les étudiants, notre vision est orientée vers l’Afrique. Nous croyons énormément en cette niche-là. Nous travaillons beaucoup sur l’Afrique et de très près avec les étudiants subsahariens, qui ne cessent de faire leurs preuves. En même temps, ces étudiants sont dans le besoin et il y’avait beaucoup de demande. Pour rester neutre, nous avons créé un site et un formulaire. Nous annonçons les villes à visiter sur Facebook, puis, les personnes désirant bénéficier de cette campagne peuvent s’inscrire via le formulaire. Nous clôturons la liste des bénéficiaires après avoir atteint le nombre maximal pour chaque ville.
-Quels sont vos prochains projets ?
-Pour la campagne «COVID-19 », nous allons travailler dans d’autres villes, comme Agadir et Oujda, mais, le projet a pris d’autres dimensions. Nous allons coopérer avec d’autres pays africains afin de créer une association pour la jeunesse africaine. Elle se chargera de créer un espace de partage pour la jeunes. Notre objectif est d’encourager l’échange entre les différents pays du continent, afin de dépasser un espace pays vers un espace continental.