Le fameux village sportif de Ziaten vient d’être déclaré zone 2 en alerte. Par mesure de sécurité sanitaire, personne n’y peut accéder. La presse travaille par téléphone. Outre les agents de Sûreté Nationale et des Forces Auxiliaires, l’Armée Royale est sur place. Motif : combattre le Covid-19.
« L’Opinion Sports » a appris d'une source privée et exclusive que le virus Corona avait envahi les composantes de l’Ittihad Riadi de Tanger, avec plus de 23 personnes, dont des joueurs, du personnel technique et des membres du personnel administratif. Un état d'anticipation a prévalu dans l'attente des résultats des derniers tests, ce qui a confirmé la présence de cas positifs touchant plus de 14 joueurs, en plus de l'entraîneur Pedro Ben Ali et de certains de ses assistants ainsi que du personnel administratif du club.
L'équipe avait annulé deux séances d'entraînement à son retour du camp d'Agadir jusqu'à ce que les résultats de l'écouvillon soient connus. Et avec la confirmation de ce grand nombre de joueurs d'équipe et de la détérioration de la situation sanitaire à Tanger, qui enregistre un nombre élevé de touchés et de décès, il est certain que l'équipe ne disputera pas son prochain match contre la Renaissance Sportive Berkane en championnat mardi. Il sera également difficile de disputer le prochain match suivant contre l’OCK, mais il peut atteindre le troisième match contre les FAR, étant donné que les matchs de la Ligue nationale se dérouleront tous les 3 jours.
« L’Opinion Sports » a appris d'une source privée et exclusive que le virus Corona avait envahi les composantes de l’Ittihad Riadi de Tanger, avec plus de 23 personnes, dont des joueurs, du personnel technique et des membres du personnel administratif. Un état d'anticipation a prévalu dans l'attente des résultats des derniers tests, ce qui a confirmé la présence de cas positifs touchant plus de 14 joueurs, en plus de l'entraîneur Pedro Ben Ali et de certains de ses assistants ainsi que du personnel administratif du club.
L'équipe avait annulé deux séances d'entraînement à son retour du camp d'Agadir jusqu'à ce que les résultats de l'écouvillon soient connus. Et avec la confirmation de ce grand nombre de joueurs d'équipe et de la détérioration de la situation sanitaire à Tanger, qui enregistre un nombre élevé de touchés et de décès, il est certain que l'équipe ne disputera pas son prochain match contre la Renaissance Sportive Berkane en championnat mardi. Il sera également difficile de disputer le prochain match suivant contre l’OCK, mais il peut atteindre le troisième match contre les FAR, étant donné que les matchs de la Ligue nationale se dérouleront tous les 3 jours.
L’IRT en quarantaine
Ainsi, toute l’équipe IRT sera soumise à une période de quarantaine obligatoire de deux semaines, ce qui pourrait obliger la commission de programmation FRMF à reporter l'ensemble des cinq rencontres, ce qui affecterait en fait l'avenir du championnat de la Ligue Nationale du Football Professionnel et pourrait même pousser dans le sens d'une autre décision de la Fédération de football à la lumière de ces développements. A vrai dire, c’est le drame dans le club tangérois. La pandémie l’a frappé durement. Après le rétablissement des premiers cas (le directeur de l’école de football, le porte-parole, le chargé du matériel, le footballeur junior), voici de nouveau, le Covid-19 dans les installations sportives de Ziaten. L’IRT, c’est le gouffre, c’est l’angoisse, c’est l’inquiétude, c’est la peur de l’avenir. Le président Abdelhamid Aberchane ne sait plus à quel saint se vouer. Il pense sincèrement que sa formation ne peut reprendre la Botola Pro D I dans les conditions actuelles. Il n’y a plus d’entrainements, il n’y a plus de concentration, il n’y a plus de travail. En plus de la quarantaine, en plus du traitement médical, un psychiatre psychologue a été recruté car il existe beaucoup de « choses » à corriger. Le moral est très bas chez toutes les composantes de l’IRT.
Un éventuel forfait général
Des dirigeants ont déclaré à la presse qu’ils étaient prêts à déclarer un forfait général car la lutte pour sauvegarder les vies humaines est plus importante que celle du maintien en première division. Même l’effectif junior, qui pourrait relever le groupe ainé titulaire, a été touché et il est difficile de disputer un match officiel. Et le sort de la RSB, OCK, FAR, MAT, RCA, OCS, BBM, RCOZ, MAT, HUSA, les prochains adversaires qui seront opposés aux Tangérois ? La vie de leurs joueurs ne sera-t-elle pas en péril ? Pour le moment, les positifs Coronavirus de l’IRT sont isolés. Par téléphone, ils ont exprimé leur indignation pour le secours très tardif des services sanitaires publics. Ils ont laissé des épouses et des enfants à l’abandon. Leurs parents qui habitent loin de Tanger sont tristes et inquiets et ne peuvent les voir pour faute d’autorisation de déplacement entre les villes. Voici un dossier bien « lourd ».
Sur le bureau de Fouzi Lekjaâ qui doit beaucoup réfléchir pour prendre des décisions adéquates. Que vaut une reprise du championnat s’il reste encore des rencontres reportées ? Cette Botola Pro D I 2019-2020 est-elle la compétition des reports ?
Ainsi, toute l’équipe IRT sera soumise à une période de quarantaine obligatoire de deux semaines, ce qui pourrait obliger la commission de programmation FRMF à reporter l'ensemble des cinq rencontres, ce qui affecterait en fait l'avenir du championnat de la Ligue Nationale du Football Professionnel et pourrait même pousser dans le sens d'une autre décision de la Fédération de football à la lumière de ces développements. A vrai dire, c’est le drame dans le club tangérois. La pandémie l’a frappé durement. Après le rétablissement des premiers cas (le directeur de l’école de football, le porte-parole, le chargé du matériel, le footballeur junior), voici de nouveau, le Covid-19 dans les installations sportives de Ziaten. L’IRT, c’est le gouffre, c’est l’angoisse, c’est l’inquiétude, c’est la peur de l’avenir. Le président Abdelhamid Aberchane ne sait plus à quel saint se vouer. Il pense sincèrement que sa formation ne peut reprendre la Botola Pro D I dans les conditions actuelles. Il n’y a plus d’entrainements, il n’y a plus de concentration, il n’y a plus de travail. En plus de la quarantaine, en plus du traitement médical, un psychiatre psychologue a été recruté car il existe beaucoup de « choses » à corriger. Le moral est très bas chez toutes les composantes de l’IRT.
Un éventuel forfait général
Des dirigeants ont déclaré à la presse qu’ils étaient prêts à déclarer un forfait général car la lutte pour sauvegarder les vies humaines est plus importante que celle du maintien en première division. Même l’effectif junior, qui pourrait relever le groupe ainé titulaire, a été touché et il est difficile de disputer un match officiel. Et le sort de la RSB, OCK, FAR, MAT, RCA, OCS, BBM, RCOZ, MAT, HUSA, les prochains adversaires qui seront opposés aux Tangérois ? La vie de leurs joueurs ne sera-t-elle pas en péril ? Pour le moment, les positifs Coronavirus de l’IRT sont isolés. Par téléphone, ils ont exprimé leur indignation pour le secours très tardif des services sanitaires publics. Ils ont laissé des épouses et des enfants à l’abandon. Leurs parents qui habitent loin de Tanger sont tristes et inquiets et ne peuvent les voir pour faute d’autorisation de déplacement entre les villes. Voici un dossier bien « lourd ».
Sur le bureau de Fouzi Lekjaâ qui doit beaucoup réfléchir pour prendre des décisions adéquates. Que vaut une reprise du championnat s’il reste encore des rencontres reportées ? Cette Botola Pro D I 2019-2020 est-elle la compétition des reports ?