Mustapha Baitas a indiqué que les discussions sur cette loi avaient déjà commencé au sein de la Commission des secteurs sociaux et productifs. Selon le ministre, l'objectif est de relancer cette loi organique élaborée à l'ordre du jour depuis 2016.
Il a précisé qu'une date avait été fixée pour entamer des discussions détaillées sur le projet de loi, qui débuteront au début de la semaine prochaine. Le gouvernement se dit ouvert à toutes les parties impliquent sur ce sujet. Actuellement, il n'y a pas de craintes, car les contours des discussions ne sont pas encore visibles, mais cela devrait changer la semaine prochaine.
Cependant, malgré les assurances de Mustapha Baitas, les syndicats semblent insatisfaits de la procédure suivie par l'ancien ministre de l'Inclusion Economique, de la Petite Entreprise, de l'Emploi et des Compétences, Younes Sekkouri.
L'Union marocaine des travailleurs (UMT) s'est retirée mardi de la séance de questions orales à la Chambre des Conseillers pour dénoncer l'absence de dialogue sur ce projet de loi. Le syndicat a également souligné le « décalage » du ministre par rapport à l'accord établi entre le président du gouvernement et les centrales syndicales, stipulant que ce projet ne devrait pas être présenté à la commission concernée qu’après l’obtention d’un consensus des deux parties.
Il a précisé qu'une date avait été fixée pour entamer des discussions détaillées sur le projet de loi, qui débuteront au début de la semaine prochaine. Le gouvernement se dit ouvert à toutes les parties impliquent sur ce sujet. Actuellement, il n'y a pas de craintes, car les contours des discussions ne sont pas encore visibles, mais cela devrait changer la semaine prochaine.
Cependant, malgré les assurances de Mustapha Baitas, les syndicats semblent insatisfaits de la procédure suivie par l'ancien ministre de l'Inclusion Economique, de la Petite Entreprise, de l'Emploi et des Compétences, Younes Sekkouri.
L'Union marocaine des travailleurs (UMT) s'est retirée mardi de la séance de questions orales à la Chambre des Conseillers pour dénoncer l'absence de dialogue sur ce projet de loi. Le syndicat a également souligné le « décalage » du ministre par rapport à l'accord établi entre le président du gouvernement et les centrales syndicales, stipulant que ce projet ne devrait pas être présenté à la commission concernée qu’après l’obtention d’un consensus des deux parties.