Même s'il a appelé les universités à tenir les examens de fin de semestre, à distance, pour des raisons purement sanitaires, le ministère de l'Enseignement supérieur, de la Recherche scientifique et de l’Innovation n'a pas tranché, en laissant le libre choix aux directeurs des facultés et écoles supérieures. Chacune se débrouille en fonction de la situation épidémiologique. Ce qui ne manque pas de provoquer, parfois, des malentendus entre les étudiants et leurs administrations.
C'est le cas à l'École nationale de Commerce et de gestion de Tanger, affilée à l'Université Abdelmalek Essaadi. Après l'apparition de quelques cas de contamination au covi-19, les étudiants ont demandé un report des dates des examens, le temps de s'adapter au changement de la situation, sachant que le passage au distanciel n'est pas une priorité compte tenu des difficultés organisationnelles qu'il pose.
L'administration s'attache, pour sa part, à tenir les examens en présentiel, dans le respect total du calendrier. C'est ce qu'a fait savoir le directeur de l'école, dans une lettre adressée à une représentante des étudiants.
La direction s'est engagée à garantir un protocole sanitaire strict, en mobilisant deux amphis et une grande salle afin que la distanciation physique soit garantie. Pour les personnes qui se sont déclarées positives au Covid-19, dont le nombre reste inconnu pour le moment, bien que plusieurs cas ont été signalés à l'administration, la direction s'est engagée à garantir aux personnes qui seront confinées durant les examens le droit au rattrapage. Encore faut-il que ces derniers prouvent qu'ils sont contaminés par les certificats de tests PCR et des certificats médicaux.
En somme, le report des examens demeure, néanmoins, le seul point de désaccord entre les deux parties. Quelques étudiants, contactés par nos soins, demandent toujours le report des examens, au moins d'une semaine, pour avoir suffisamment de temps afin de se préparer.
La tenue des examens dans cette période difficile est un vrai souci pour l'ensemble des facultés et établissement d'enseignement supérieur. Le passage au distanciel, tel que recommandé par le ministère de tutelle, demeure une solution qui ne fait pas le consensus, même si les universités accordent parfois une autonomie aux professeurs, surtout dans les cursus de master, pour gérer les examens de la façon qui leur convient.
C'est le cas à l'École nationale de Commerce et de gestion de Tanger, affilée à l'Université Abdelmalek Essaadi. Après l'apparition de quelques cas de contamination au covi-19, les étudiants ont demandé un report des dates des examens, le temps de s'adapter au changement de la situation, sachant que le passage au distanciel n'est pas une priorité compte tenu des difficultés organisationnelles qu'il pose.
L'administration s'attache, pour sa part, à tenir les examens en présentiel, dans le respect total du calendrier. C'est ce qu'a fait savoir le directeur de l'école, dans une lettre adressée à une représentante des étudiants.
La direction s'est engagée à garantir un protocole sanitaire strict, en mobilisant deux amphis et une grande salle afin que la distanciation physique soit garantie. Pour les personnes qui se sont déclarées positives au Covid-19, dont le nombre reste inconnu pour le moment, bien que plusieurs cas ont été signalés à l'administration, la direction s'est engagée à garantir aux personnes qui seront confinées durant les examens le droit au rattrapage. Encore faut-il que ces derniers prouvent qu'ils sont contaminés par les certificats de tests PCR et des certificats médicaux.
En somme, le report des examens demeure, néanmoins, le seul point de désaccord entre les deux parties. Quelques étudiants, contactés par nos soins, demandent toujours le report des examens, au moins d'une semaine, pour avoir suffisamment de temps afin de se préparer.
La tenue des examens dans cette période difficile est un vrai souci pour l'ensemble des facultés et établissement d'enseignement supérieur. Le passage au distanciel, tel que recommandé par le ministère de tutelle, demeure une solution qui ne fait pas le consensus, même si les universités accordent parfois une autonomie aux professeurs, surtout dans les cursus de master, pour gérer les examens de la façon qui leur convient.