« Grammaire structurale de l’Amazighe - Le Nom » de El Houssein El Moujahid n’est pas un ouvrage « grand public ».
C’est un travail scientifique de linguiste qui entend apporter sa « contribution au développement de la grammaire structurale de la langue amazighe par un lecteur averti de Barthes, sémiologue affirmé, passé par la communication au sein de l’ANRT à sa création pour accompagner la libéralisation du secteur des télécoms.
Homme d’érudition à la finesse affinée par de longues années d’enseignement universitaire, actuel secrétaire général de l’Institut Royal de la Culture Amazigue, El Houssein El Moujahid peut parler des heures durant des 1001 nuits (n’a-il pas à son actif une « Lecture- Réécriture d’un fragment des Mille et une Nuits » en l’occurrence l’histoire de Sindbad le Marin), d’El Moutannabi, d’Imrou al Qaiss, par exemple, comme de la presse au Maroc, ayant fait un passage remarqué à Al Anbae, le quotidien arabophone du Ministère de l’information des années 70-80.
Les Années de plomb de celle-ci, il connait au sens des métiers du livre et de la presse ! C’est ainsi qu’il vous parlera avec délectation et expérience de singe et d’ours, de composteur et de… pincettes, de graisse et de police de caractère car, à cette époque, dans les ateliers de saisie « la police est de caractère et ne porte pas l’uniforme ».
Cet univers est décrit par Balzac, romancier, certes, mais aussi journaliste et imprimeur pour l’alimentaire selon l’expression consacrée, sur qui El Hossein El Moujahid est intarissable, comme sur Maupassant et son Bel Ami, les autres écrivains de renom qui ont connu le métier de journaliste, Emile Zola, Albert Camus, pour ne citer que des auteurs français qui font référence dans le journalisme.
C’est un travail scientifique de linguiste qui entend apporter sa « contribution au développement de la grammaire structurale de la langue amazighe par un lecteur averti de Barthes, sémiologue affirmé, passé par la communication au sein de l’ANRT à sa création pour accompagner la libéralisation du secteur des télécoms.
Homme d’érudition à la finesse affinée par de longues années d’enseignement universitaire, actuel secrétaire général de l’Institut Royal de la Culture Amazigue, El Houssein El Moujahid peut parler des heures durant des 1001 nuits (n’a-il pas à son actif une « Lecture- Réécriture d’un fragment des Mille et une Nuits » en l’occurrence l’histoire de Sindbad le Marin), d’El Moutannabi, d’Imrou al Qaiss, par exemple, comme de la presse au Maroc, ayant fait un passage remarqué à Al Anbae, le quotidien arabophone du Ministère de l’information des années 70-80.
Les Années de plomb de celle-ci, il connait au sens des métiers du livre et de la presse ! C’est ainsi qu’il vous parlera avec délectation et expérience de singe et d’ours, de composteur et de… pincettes, de graisse et de police de caractère car, à cette époque, dans les ateliers de saisie « la police est de caractère et ne porte pas l’uniforme ».
Cet univers est décrit par Balzac, romancier, certes, mais aussi journaliste et imprimeur pour l’alimentaire selon l’expression consacrée, sur qui El Hossein El Moujahid est intarissable, comme sur Maupassant et son Bel Ami, les autres écrivains de renom qui ont connu le métier de journaliste, Emile Zola, Albert Camus, pour ne citer que des auteurs français qui font référence dans le journalisme.
« Grammaire structurale de l’Amazighe - Le Nom »
est édité par l’IRCAM.