Au lendemain de la signature d'un accord le 26 décembre 2023 entre le gouvernement et les principales centrales syndicales de l'éducation, la grève des enseignants persiste avec un taux de participation estimé à près de 40%, totalisant environ 70.000 grévistes, selon des sources autorisées.
Cet accord avait pour objectif de résoudre les différends liés à la réforme proposée par Chakib Benmoussa, mais il semble n'avoir pas apaisé toutes les tensions au sein du corps enseignant. Les coordinations enseignantes, se sentant « écartées du dialogue », rejettent vigoureusement l'accord, considérant qu'il ne répond pas aux besoins essentiels des enseignants, tant actifs que retraités, et déclarent la poursuite du mouvement de grève.
D'un autre côté, les associations de parents et tuteurs d'élèves ont salué l'accord comme un pas positif vers la réforme de l'école publique. Le président de la Fédération nationale des associations des parents d'élèves au Maroc, Noureddine Akkouri, a qualifié la réunion de « fructueuse » et a souligné l'importance du rattrapage du temps scolaire perdu.
Les autorités cherchent actuellement des moyens de surmonter ces divergences et de garantir le bon déroulement de la saison scolaire dans l'intérêt des élèves.
Cet accord avait pour objectif de résoudre les différends liés à la réforme proposée par Chakib Benmoussa, mais il semble n'avoir pas apaisé toutes les tensions au sein du corps enseignant. Les coordinations enseignantes, se sentant « écartées du dialogue », rejettent vigoureusement l'accord, considérant qu'il ne répond pas aux besoins essentiels des enseignants, tant actifs que retraités, et déclarent la poursuite du mouvement de grève.
D'un autre côté, les associations de parents et tuteurs d'élèves ont salué l'accord comme un pas positif vers la réforme de l'école publique. Le président de la Fédération nationale des associations des parents d'élèves au Maroc, Noureddine Akkouri, a qualifié la réunion de « fructueuse » et a souligné l'importance du rattrapage du temps scolaire perdu.
Les autorités cherchent actuellement des moyens de surmonter ces divergences et de garantir le bon déroulement de la saison scolaire dans l'intérêt des élèves.
