Par son acte, déclare l’archéologue Aboulkacem Chebri, l’Association Doukkala-mémoire a témoigné d’une citoyenneté qui incombe à toute la société civile, ainsi qu’aux responsables et élus, pour le bien de notre pays. Il va sans dire que la protection juridique est primordiale dans toute stratégie de sauvegarde du patrimoine en tant que bien national, un patrimoine qui est à la fois une expression identitaire et un pilier économique d’une portée incommensurable. Le patrimoine est l’un des toutes premières ressources économiques qui participent au développement intégré, durable et respectueux de l’environnement, ajoute notre interlocuteur.
C’est dans ce sens que se situe la philosophie des actions menées par le Centre d’Etudes et de Recherches sur le Patrimoine Maroco-Lusitanien. Etant un centre national, le CERPML œuvre inlassablement à une meilleur connaissance, sauvegarde et réhabilitation de tout le patrimoine marocain à influence portugaise et le patrimoine maroco-islamique au Portugal. C’est pourquoi, notre Centre félicite toute action citoyenne, surtout de la part de la société civile avec laquelle sont menées très souvent des actions qui à chaque fois donnent satisfaction.
En inscrivant ce patrimoine culturel et naturel d’El-Jadida, ajoute le Directeur du CERPML, l’association et le ministère en charge de la Culture et ses services compétents confirment le renouveau qu’a connu la politique patrimoniale marocaine des dernières années, en incluant au patrimoine national plusieurs bâtiments datant du XXème siècle, situés en zone du protectorat espagnol et français.
Nous espérons alors voir d’autres monuments classés et, surtout, voir d’autres associations et collectivités locales s’impliquer dans ce processus, pour lequel nous œuvrons et restons disponibles à toute collaboration, conclut Aboulkacem Chebri, dans une déclaration au journal « L’Opinion ».
« Nous osons espérer qu’à l’instar d’autres monuments et sites historiques du royaume, ceux d’El Jadida puissent enfin bénéficier du programme de restauration et de réhabilitation et de mise en valeur de manière continue… », souhaite pour sa part Touriya Larissi, enseignant en retraite.
Désormais, précise-t-on de sources responsables, aucun aménagement ni aucune mise en valeur ne peuvent ainsi être effectués au niveau de ces sites, sans l’autorisation du ministère de la Culture.
C’est dans ce sens que se situe la philosophie des actions menées par le Centre d’Etudes et de Recherches sur le Patrimoine Maroco-Lusitanien. Etant un centre national, le CERPML œuvre inlassablement à une meilleur connaissance, sauvegarde et réhabilitation de tout le patrimoine marocain à influence portugaise et le patrimoine maroco-islamique au Portugal. C’est pourquoi, notre Centre félicite toute action citoyenne, surtout de la part de la société civile avec laquelle sont menées très souvent des actions qui à chaque fois donnent satisfaction.
En inscrivant ce patrimoine culturel et naturel d’El-Jadida, ajoute le Directeur du CERPML, l’association et le ministère en charge de la Culture et ses services compétents confirment le renouveau qu’a connu la politique patrimoniale marocaine des dernières années, en incluant au patrimoine national plusieurs bâtiments datant du XXème siècle, situés en zone du protectorat espagnol et français.
Nous espérons alors voir d’autres monuments classés et, surtout, voir d’autres associations et collectivités locales s’impliquer dans ce processus, pour lequel nous œuvrons et restons disponibles à toute collaboration, conclut Aboulkacem Chebri, dans une déclaration au journal « L’Opinion ».
« Nous osons espérer qu’à l’instar d’autres monuments et sites historiques du royaume, ceux d’El Jadida puissent enfin bénéficier du programme de restauration et de réhabilitation et de mise en valeur de manière continue… », souhaite pour sa part Touriya Larissi, enseignant en retraite.
Désormais, précise-t-on de sources responsables, aucun aménagement ni aucune mise en valeur ne peuvent ainsi être effectués au niveau de ces sites, sans l’autorisation du ministère de la Culture.
Mohamed LOKHNATI