Les ravisseurs, mûs par une audace criminelle, les ont traînées de force à bord d’un véhicule, une Kongo immatriculée 25037-A-61, fuyant vers les sinistres profondeurs d’une forêt avoisinant Sidi Smail. L’ombre des arbres devait-elle sceller leur destin ?
Mais la roue de la justice, une fois encore, a tourné plus vite que ne l’espéraient les félons. Dans une course contre la montre haletante, les éléments de la Brigade Territoriale de Sidi Smail, secondés par leurs frères d’armes de la BJ d’El Jadida et de la police locale, ont traqué les coupables avec une détermination sans faille.
Et à 11h30, coup de théâtre : les deux misérables, Outman Aabir et Ayoub Hanzaz, résidant dans le quartier Saada, étaient cueillis en pleine ville, leurs masques arrachés par la lumière crue de la loi.
Saisi en urgence, le parquet près la cour d’appel d’El Jadida a ordonné leur écrou immédiat. L’instruction suivra, implacable.
Bref, la nuit peut certes se parer de frayeur, mais l’aube, elle, appartient toujours à la justice.
Mais la roue de la justice, une fois encore, a tourné plus vite que ne l’espéraient les félons. Dans une course contre la montre haletante, les éléments de la Brigade Territoriale de Sidi Smail, secondés par leurs frères d’armes de la BJ d’El Jadida et de la police locale, ont traqué les coupables avec une détermination sans faille.
Et à 11h30, coup de théâtre : les deux misérables, Outman Aabir et Ayoub Hanzaz, résidant dans le quartier Saada, étaient cueillis en pleine ville, leurs masques arrachés par la lumière crue de la loi.
Saisi en urgence, le parquet près la cour d’appel d’El Jadida a ordonné leur écrou immédiat. L’instruction suivra, implacable.
Bref, la nuit peut certes se parer de frayeur, mais l’aube, elle, appartient toujours à la justice.