C’est au lycée Al-Rachad que s’ouvrit ce chapitre éducatif, où des ouvrages précieux – généreusement légués par des notabilités culturelles et des artisans du tissu associatif – vinrent enrichir les rayonnages de l’établissement. Ce legs, bien plus qu’un don, s’érige en phare pour les jeunes esprits, leur offrant les clés d’un univers où la lecture devient promesse d’émancipation. L’émotion atteignit son apogée lors de la visite au refuge pour jeunes filles, sanctuaire porté par l’association Solidarité. Les échanges, empreints d’une gravité solennelle, révélèrent la noblesse des actions menées pour restaurer dignité et espoir, rappelant que la culture se nourrit aussi de compassion et d’équité.
La bibliothèque communale d’Oulad Hamdan devint ensuite l’écrin d’un dialogue ambitieux entre les institutions et la société civile. Sous l’égide de M. Abdellah Slimani, architecte de projets culturels, fut dévoilé un partenariat audacieux liant le ministère de la Culture à la collectivité territoriale. Une synergie portée par une jeunesse fervente, déterminée à insuffler une renaissance artistique à ce terroir. L’érudition de M. Slimani, également gardien des savoirs à la médiathèque Tachefini, culmina lors d’un atelier de kamishibaï – art narratif nippon où le papier se fait théâtre, captivant l’auditoire par sa magie minimaliste.
La journée s’acheva sous les frondaisons du jardin Jnan Tazouta, où l’hospitalité ancestrale des hôtes, servie avec une grâce toute orientale, scella cette épopée d’un sceau de convivialité. Un hommage appuyé fut rendu à Mme Latifa Khales, dont le dévouement et l’érudition ont guidé chaque étape, ainsi qu’aux équipes administratives, discrètes chevilles ouvrières de cette réussite.
Par cette mosaïque d’initiatives – entre pédagogie, solidarité et valorisation patrimoniale –, l’association a magistralement rappelé que le livre, loin d’être un simple objet, demeure le socle immuable d’une société éclairée. Une leçon d’humanisme où chaque page tournée devient un pont jeté entre les générations, les territoires et les rêves.
La bibliothèque communale d’Oulad Hamdan devint ensuite l’écrin d’un dialogue ambitieux entre les institutions et la société civile. Sous l’égide de M. Abdellah Slimani, architecte de projets culturels, fut dévoilé un partenariat audacieux liant le ministère de la Culture à la collectivité territoriale. Une synergie portée par une jeunesse fervente, déterminée à insuffler une renaissance artistique à ce terroir. L’érudition de M. Slimani, également gardien des savoirs à la médiathèque Tachefini, culmina lors d’un atelier de kamishibaï – art narratif nippon où le papier se fait théâtre, captivant l’auditoire par sa magie minimaliste.
La journée s’acheva sous les frondaisons du jardin Jnan Tazouta, où l’hospitalité ancestrale des hôtes, servie avec une grâce toute orientale, scella cette épopée d’un sceau de convivialité. Un hommage appuyé fut rendu à Mme Latifa Khales, dont le dévouement et l’érudition ont guidé chaque étape, ainsi qu’aux équipes administratives, discrètes chevilles ouvrières de cette réussite.
Par cette mosaïque d’initiatives – entre pédagogie, solidarité et valorisation patrimoniale –, l’association a magistralement rappelé que le livre, loin d’être un simple objet, demeure le socle immuable d’une société éclairée. Une leçon d’humanisme où chaque page tournée devient un pont jeté entre les générations, les territoires et les rêves.