La sélection marocaine de football, qui retrouvera ce vendredi son homologue de la République Démocratique du Congo (RDC) en match « aller » du dernier tour des éliminatoires africaines du Mondial-2022, au stade des Martyrs à Kinshasa, visera une deuxième qualification de suite au rendez-vous planétaire, la 6ème de son Histoire, dans un match qui promet tant, vu que les deux sélections se connaissent bien.
Si la dernière qualification des Léopards pour la grand-messe footballistique mondiale remonte à 1974, la sélection marocaine caresse le rêve de figurer parmi les représentants du continent africain au Qatar, après avoir disputé le Mondial 2018 en Russie. Le Maroc s'était qualifié aux éditions 1970, 1986, 1994 et 1998.
Les hommes de Vahid Halilhodzic sont conscients de l’importance cruciale de ce match « aller », où une contre-performance rendra leur tâche plus difficile en match « retour », quatre jours plus tard (29 mars) à Casablanca.
Lors de leurs précédentes confrontations, 14 au total, les Lions de l’Atlas avaient signé 4 victoires contre 3 pour leur adversaire du jour, tandis que les deux sélections s’étaient neutralisées à 7 reprises.
Lors de la conférence de presse avant le départ vers Kinshasa, le sélectionneur national Vahid Halilhodzic a affirmé que la qualification à la Coupe du monde demeure son objectif principal, se disant confiant en la capacité de l’équipe marocaine, avec son actuel groupe, d'atteindre cet objectif.
Le football marocain "entame un virage décisif pour une génération qui aspire à une nouvelle participation à la phase finale de la coupe du monde", a-t-il relevé, ajoutant que l'ensemble des composantes de la sélection nationale est animé par la volonté de vaincre.
C’est, justement, de cette rage de vaincre que les Lions de l’Atlas doivent s’armer pour sortir indemnes de ce déplacement périlleux à Kinshasa, face à un adversaire qui était absent lors de la dernière Coupe d’Afrique des Nations (CAN).
D’ailleurs, l’élimination amère des Lions de l’Atlas en quart de finale de la CAN face à l’Egypte devra booster les éléments nationaux afin de rendre le sourire au public marocain et renaitre de cet échec tel un phénix.
Il va sans dire que la non qualification de la RD Congo pour la CAN, au Cameroun, est une arme à double tranchant. D’abord, elle permettra aux joueurs marocains d’avoir un ascendant psychologique sur leur adversaire, d'autant plus qu'ils disposent de plus de matches officiels dans les jambes, mais, d’un autre côté, elle peut avoir l’air d’un trompe-l’œil, étant donné que l’entraineur de la RD Congo, l’Argentin Hector Cuper aura sereinement préparé son équipe en vue de cette double confrontation décisive, afin de chasser le signe indien qui poursuit les Léopards depuis 1974.
Cette double confrontation va jusqu'à retenir l’attention des plus hautes autorités RD congolaises, qui soutiennent à bloc leur sélection nationale.
Sama Lukonde, chef du gouvernement congolais, a d'ailleurs appelé, récemment, à une mobilisation générale à l’approche de la double confrontation avec le Maroc.
Il a, notamment, mis l’accent sur la «nécessité pour tous les membres du gouvernement et toute la communauté congolaise de se mobiliser pour apporter le soutien à nos vaillants Léopards», sachant que près de 25.000 personnes devront soutenir les Léopards face aux Lions de l'Atlas.
Pour relever le défi, Vahid Halilhodzic comptera sur une majorité des joueurs qui ont disputé la dernière CAN, alors que d’autres noms qui ont fait couler beaucoup d’encre n’y figurent pas, à l’instar du meneur de jeu de Chelsea, Hakim Ziyech, très en forme actuellement, et du sociétaire de l’Ajax Amsterdam, Noussir Mazraoui.
Les coéquipiers d’Achraf Hakimi sont avertis. Les Léopards s’apprêtent à livrer un match historique à domicile pour espérer atteindre la phase finale du mondial, 48 ans après leur première et dernière apparition. C’est à l’équipe nationale de savoir juguler les ardeurs des Congolais pour pouvoir disputer sous de bons auspices la manche « retour » à Casablanca.
Si la dernière qualification des Léopards pour la grand-messe footballistique mondiale remonte à 1974, la sélection marocaine caresse le rêve de figurer parmi les représentants du continent africain au Qatar, après avoir disputé le Mondial 2018 en Russie. Le Maroc s'était qualifié aux éditions 1970, 1986, 1994 et 1998.
Les hommes de Vahid Halilhodzic sont conscients de l’importance cruciale de ce match « aller », où une contre-performance rendra leur tâche plus difficile en match « retour », quatre jours plus tard (29 mars) à Casablanca.
Lors de leurs précédentes confrontations, 14 au total, les Lions de l’Atlas avaient signé 4 victoires contre 3 pour leur adversaire du jour, tandis que les deux sélections s’étaient neutralisées à 7 reprises.
Lors de la conférence de presse avant le départ vers Kinshasa, le sélectionneur national Vahid Halilhodzic a affirmé que la qualification à la Coupe du monde demeure son objectif principal, se disant confiant en la capacité de l’équipe marocaine, avec son actuel groupe, d'atteindre cet objectif.
Le football marocain "entame un virage décisif pour une génération qui aspire à une nouvelle participation à la phase finale de la coupe du monde", a-t-il relevé, ajoutant que l'ensemble des composantes de la sélection nationale est animé par la volonté de vaincre.
C’est, justement, de cette rage de vaincre que les Lions de l’Atlas doivent s’armer pour sortir indemnes de ce déplacement périlleux à Kinshasa, face à un adversaire qui était absent lors de la dernière Coupe d’Afrique des Nations (CAN).
D’ailleurs, l’élimination amère des Lions de l’Atlas en quart de finale de la CAN face à l’Egypte devra booster les éléments nationaux afin de rendre le sourire au public marocain et renaitre de cet échec tel un phénix.
Il va sans dire que la non qualification de la RD Congo pour la CAN, au Cameroun, est une arme à double tranchant. D’abord, elle permettra aux joueurs marocains d’avoir un ascendant psychologique sur leur adversaire, d'autant plus qu'ils disposent de plus de matches officiels dans les jambes, mais, d’un autre côté, elle peut avoir l’air d’un trompe-l’œil, étant donné que l’entraineur de la RD Congo, l’Argentin Hector Cuper aura sereinement préparé son équipe en vue de cette double confrontation décisive, afin de chasser le signe indien qui poursuit les Léopards depuis 1974.
Cette double confrontation va jusqu'à retenir l’attention des plus hautes autorités RD congolaises, qui soutiennent à bloc leur sélection nationale.
Sama Lukonde, chef du gouvernement congolais, a d'ailleurs appelé, récemment, à une mobilisation générale à l’approche de la double confrontation avec le Maroc.
Il a, notamment, mis l’accent sur la «nécessité pour tous les membres du gouvernement et toute la communauté congolaise de se mobiliser pour apporter le soutien à nos vaillants Léopards», sachant que près de 25.000 personnes devront soutenir les Léopards face aux Lions de l'Atlas.
Pour relever le défi, Vahid Halilhodzic comptera sur une majorité des joueurs qui ont disputé la dernière CAN, alors que d’autres noms qui ont fait couler beaucoup d’encre n’y figurent pas, à l’instar du meneur de jeu de Chelsea, Hakim Ziyech, très en forme actuellement, et du sociétaire de l’Ajax Amsterdam, Noussir Mazraoui.
Les coéquipiers d’Achraf Hakimi sont avertis. Les Léopards s’apprêtent à livrer un match historique à domicile pour espérer atteindre la phase finale du mondial, 48 ans après leur première et dernière apparition. C’est à l’équipe nationale de savoir juguler les ardeurs des Congolais pour pouvoir disputer sous de bons auspices la manche « retour » à Casablanca.