Fort d’un score important enregistré à Casablanca, le Onze national peut envisager un match « retour » disons, plus ou moins, reposant. D’abord, par le fait de jouer sur un terrain neutre. Car la FIFA, qui avait jugé que le terrain de la sélection nationale locale, Barthelemy Bangui, était inapte à accueillir des matches internationaux, a contraint les Fauves centrafricains à évoluer en dehors de leur base. Et c’est déjà un avantage non négligeable.
La méfiance est mère de sûreté
Car au vu de la belle prestation des Lions de l’Atlas au Complexe Sportif Mohammed V de Casablanca, avec, à la clé, un score impressionnant de 4-1, on voit mal comment les Lions de l’Atlas pourraient se faire rejoindre à Douala au Cameroun. Cependant, au vu des premières 20 minutes du premier half, les joueurs centrafricains ont montré des choses intéressantes, des qualités physiques à respecter, des points de vitesses à prendre très au sérieux et des attaquants percutants. Le tout concocté autour d’un Geoffroy Kandogbia joueur dont la réputation n’est plus à faire.
Rester sur ses gardes
Nous conseillons aux Lions les mesures de prudence. Car certains d’entre eux qui n’ont jamais évolué en Afrique pourraient être surpris par le champ de jeu de certains stades, par la véhémence d’un public souvent très chauvin (et c’est son droit le plus sacré) et enfin la cerise sur le gâteau, l’arbitrage. Alors là, il y a à boire et à manger. Il suffit juste de se rappeler ce que nos deux clubs phares en l’occurrence le Raja et le Wydad avaient enduré lors des compétitions de la Ligue des Champions et les erreurs incroyables sifflées contre les clubs marocains au vu et au su de toute la planète. Sans vergogne.
Autrement, il n’y a pas lieu de s’inquiéter outre mesure. Les jeunes ont été à la hauteur des attentes, les moins jeunes ont fait preuve de soutien. En d’autres termes, tout baigne.
Le sélectionneur national, Vahid Halilhodzic a montré deux visages avant de connaître la sérénité des dominants en seconde période lorsque l’équipe du Maroc a pris la direction des opérations.
Nous ne le répéterons jamais assez, l’outrecuidance peut être meurtrière. Ce qui revient à dire qu’il faut rester sur ses gardes.
La méfiance est mère de sûreté
Car au vu de la belle prestation des Lions de l’Atlas au Complexe Sportif Mohammed V de Casablanca, avec, à la clé, un score impressionnant de 4-1, on voit mal comment les Lions de l’Atlas pourraient se faire rejoindre à Douala au Cameroun. Cependant, au vu des premières 20 minutes du premier half, les joueurs centrafricains ont montré des choses intéressantes, des qualités physiques à respecter, des points de vitesses à prendre très au sérieux et des attaquants percutants. Le tout concocté autour d’un Geoffroy Kandogbia joueur dont la réputation n’est plus à faire.
Rester sur ses gardes
Nous conseillons aux Lions les mesures de prudence. Car certains d’entre eux qui n’ont jamais évolué en Afrique pourraient être surpris par le champ de jeu de certains stades, par la véhémence d’un public souvent très chauvin (et c’est son droit le plus sacré) et enfin la cerise sur le gâteau, l’arbitrage. Alors là, il y a à boire et à manger. Il suffit juste de se rappeler ce que nos deux clubs phares en l’occurrence le Raja et le Wydad avaient enduré lors des compétitions de la Ligue des Champions et les erreurs incroyables sifflées contre les clubs marocains au vu et au su de toute la planète. Sans vergogne.
Autrement, il n’y a pas lieu de s’inquiéter outre mesure. Les jeunes ont été à la hauteur des attentes, les moins jeunes ont fait preuve de soutien. En d’autres termes, tout baigne.
Le sélectionneur national, Vahid Halilhodzic a montré deux visages avant de connaître la sérénité des dominants en seconde période lorsque l’équipe du Maroc a pris la direction des opérations.
Nous ne le répéterons jamais assez, l’outrecuidance peut être meurtrière. Ce qui revient à dire qu’il faut rester sur ses gardes.