Sa Majesté le Roi Mohammed VI a toujours dit que le sport devrait être une priorité pour le développement du pays.
A vrai dire, Ses hautes et respectueuses directives n’ont pas été respectées et la conséquence la plus logique de cette déception n’est autre que la démission des présidents de toutes les fédérations.
Le sport n’est pas bien géré et il faut partir de zéro.
Pour mieux se documenter dans ses recherches, la presse marocaine, mais la plus objective, car la SNRT n’a pas osé critiquer son directeur qui est président du Comité National Marocain Olympique (CNOM), a relevé trois déclarations qui méritent l’attention : Nezha Bidouane, ex championne du monde (400m haies), Hassan Fekkak, directeur national technique du CNOM, et Hamid Yahya journaliste-éditorialiste, président de la Marocaine des Journalistes Sportifs.
A vrai dire, Ses hautes et respectueuses directives n’ont pas été respectées et la conséquence la plus logique de cette déception n’est autre que la démission des présidents de toutes les fédérations.
Le sport n’est pas bien géré et il faut partir de zéro.
Pour mieux se documenter dans ses recherches, la presse marocaine, mais la plus objective, car la SNRT n’a pas osé critiquer son directeur qui est président du Comité National Marocain Olympique (CNOM), a relevé trois déclarations qui méritent l’attention : Nezha Bidouane, ex championne du monde (400m haies), Hassan Fekkak, directeur national technique du CNOM, et Hamid Yahya journaliste-éditorialiste, président de la Marocaine des Journalistes Sportifs.
La première, avec une franchise remarquable, a parlé des résultats désastreux des Marocains à Paris 24.
« Les Marocains ne sont pas des imbéciles et savent bien ce qui se passe dans tous les sports. Ils ne sont pas contents des résultats et demandent un changement total dans la gestion sportive.
Les deux médailles obtenues (or, argent) constituent un pauvre «bagage » pour un pays en voie de développement pour une nation à vocation sportive avec une infrastructure sportive aux dimensions internationales ».
« Les Marocains ne sont pas des imbéciles et savent bien ce qui se passe dans tous les sports. Ils ne sont pas contents des résultats et demandent un changement total dans la gestion sportive.
Les deux médailles obtenues (or, argent) constituent un pauvre «bagage » pour un pays en voie de développement pour une nation à vocation sportive avec une infrastructure sportive aux dimensions internationales ».
Le deuxième Hassan Fekkak, un grand responsable au CNOM, s’est moqué des citoyens en affirmant que le Maroc a réussi dans sa participation en obtenant des résultats satisfaisants. En lisant le contenu des réseaux sociaux, la réflexion de Hassan Fekkak a suscité une grande polémique allant même jusqu’à la colère et l’indignation.
Le troisième Hamid Yahya, dans un éditorial à la Une de notre quotidien « L’Opinion », a fait une analyse profonde de la participation marocaine aux Jeux Paris 24 :
« Réfléchissons, c’est le temps de réfléchir sur le fiasco de notre sport. Après les résultats catastrophiques des disciplines sportives, l’heure est aux explications.
Qu’est-ce qui a fait que les jeux ont été une suite de résultats désastreux ? Il est regrettable de constater que 8 milliards de centimes ont été dilapidés pour rien ».
« Réfléchissons, c’est le temps de réfléchir sur le fiasco de notre sport. Après les résultats catastrophiques des disciplines sportives, l’heure est aux explications.
Qu’est-ce qui a fait que les jeux ont été une suite de résultats désastreux ? Il est regrettable de constater que 8 milliards de centimes ont été dilapidés pour rien ».
Tous les Marocains déplorent la participation marocaine aux Jeux et critiquent les dirigeants qui gèrent le sport dans le pays. Même le football n’a pas été épargné dans les critiques car l’histoire Regragui-Sektioui a fait couler beaucoup d’encre.
A l’unanimité, les sportifs pensent sincèrement que les deux médailles ne sont que l’arbre qui cache la forêt et qu’elles constituent un moyen pour sauver les meubles.
En se référant aux derniers résultats du Maroc dans les derniers Jeux Olympiques, il est important de souligner que le Maroc avait eu une participation meilleure il y a 24 ans : Sydney 2000 avec 5 médailles.
Contrairement à Hassan Fekkak qui semble être dans les « nuages », Nezha Bidouane et Hamid Yahya, plus objectifs, ont une réflexion intéressante sur l’avenir du sport marocain : « Oublions, tous, Bakkali et l’équipe olympique et réfléchissons sur les solutions et la manière d’être au niveau ».
Quant aux milieux sportifs, supporters et représentants des médias, ils pensent qu’il doit avoir un véritable «remue-ménage » aux hautes instances sportives marocaines avec la démission de tout le comité olympique et des présidents des fédérations en particulier ceux qui siègent depuis plus de vingt.
Recommencer à zéro sera la seule solution avec bien sûr l’ouverture de nouveaux centres de formation pour les jeunes talents.
A l’unanimité, les sportifs pensent sincèrement que les deux médailles ne sont que l’arbre qui cache la forêt et qu’elles constituent un moyen pour sauver les meubles.
En se référant aux derniers résultats du Maroc dans les derniers Jeux Olympiques, il est important de souligner que le Maroc avait eu une participation meilleure il y a 24 ans : Sydney 2000 avec 5 médailles.
Contrairement à Hassan Fekkak qui semble être dans les « nuages », Nezha Bidouane et Hamid Yahya, plus objectifs, ont une réflexion intéressante sur l’avenir du sport marocain : « Oublions, tous, Bakkali et l’équipe olympique et réfléchissons sur les solutions et la manière d’être au niveau ».
Quant aux milieux sportifs, supporters et représentants des médias, ils pensent qu’il doit avoir un véritable «remue-ménage » aux hautes instances sportives marocaines avec la démission de tout le comité olympique et des présidents des fédérations en particulier ceux qui siègent depuis plus de vingt.
Recommencer à zéro sera la seule solution avec bien sûr l’ouverture de nouveaux centres de formation pour les jeunes talents.