Dans un communiqué officiel, la Coordination Nationale de l’Education dit déjà rejeter le nouveau Statut unifié du fait qu’il " ne reflète pas les principes de l’équité et ne répond absolument pas à de nombreux dossiers".
Aux dires de la Coordination, « les modifications du nouveau Statut unifié n’ont porté que sur sa forme, et ne répondent pas aux attentes de nombreuses catégories d'enseignants exerçant dans le secteur et retraités ». Au contraire, « la nouvelle version du statut est semblable, dans le fond, à la première ».
Ce rejet catégorique de la nouvelle version dudit statut a été exprimé par la Coordination Nationale dans un communiqué publié à l'issue de sa réunion, dans lequel elle a également déploré la « la suspension continue de 545 enseignants ». La Coordination qualifie ces suspensions de moyens pour "prendre des otages jusqu'à l'adoption du statut modifié, qui est resté, dans son essence, conforme à la première version".
La Coordination a également affirmé son "engagement et sa solidarité avec les enseignants suspendus", exigeant que « le dossier soit traité de manière exhaustive sans discrimination », d’autant plus que « les enseignants n’ont exercé que leur droit de grève, qui est un droit légitime et constitutionnel », explique-t-elle.
En ce qui concerne le sit-in devant le Parlement, la Coordination a reporté la manifestation au dimanche 3 mars prochain à 11 heures du matin, après qu'elle ait été prévue pour le dimanche 18 février.
Pour rappel, jeudi dernier, le Conseil de gouvernement présidé par Aziz Akhannouch a approuvé sept projets de décrets, dont six concernant le statut des fonctionnaires du ministère de l'Education nationale.
Le ministre de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports avait précisé ainsi que le coût du dialogue social avec les syndicats de l'éducation les plus représentatifs, qui a conduit à l’élaboration du statut unifié, s'élevait à 17 milliards de dirhams.
Aux dires de la Coordination, « les modifications du nouveau Statut unifié n’ont porté que sur sa forme, et ne répondent pas aux attentes de nombreuses catégories d'enseignants exerçant dans le secteur et retraités ». Au contraire, « la nouvelle version du statut est semblable, dans le fond, à la première ».
Ce rejet catégorique de la nouvelle version dudit statut a été exprimé par la Coordination Nationale dans un communiqué publié à l'issue de sa réunion, dans lequel elle a également déploré la « la suspension continue de 545 enseignants ». La Coordination qualifie ces suspensions de moyens pour "prendre des otages jusqu'à l'adoption du statut modifié, qui est resté, dans son essence, conforme à la première version".
La Coordination a également affirmé son "engagement et sa solidarité avec les enseignants suspendus", exigeant que « le dossier soit traité de manière exhaustive sans discrimination », d’autant plus que « les enseignants n’ont exercé que leur droit de grève, qui est un droit légitime et constitutionnel », explique-t-elle.
En ce qui concerne le sit-in devant le Parlement, la Coordination a reporté la manifestation au dimanche 3 mars prochain à 11 heures du matin, après qu'elle ait été prévue pour le dimanche 18 février.
Pour rappel, jeudi dernier, le Conseil de gouvernement présidé par Aziz Akhannouch a approuvé sept projets de décrets, dont six concernant le statut des fonctionnaires du ministère de l'Education nationale.
Le ministre de l'Éducation nationale, du Préscolaire et des Sports avait précisé ainsi que le coût du dialogue social avec les syndicats de l'éducation les plus représentatifs, qui a conduit à l’élaboration du statut unifié, s'élevait à 17 milliards de dirhams.