La rentrée scolaire semble tumultueuse puisque les enseignants sous contrat des Académies régionales de l’éducation et de la formation (AREF) sont déterminés à poursuivre leur mouvement de protestation pour réclamer leur intégration dans la fonction publique.
Lesdits contractuels ont de nouveau investi les artères de Rabat en se rassemblant hier devant le Parlement avant que la manifestation soit rapidement dispersée par les forces de l’ordre en raison de sa violation de l’état d’urgence sanitaire et des dispositions mises en place par les autorités pour la jugulation de la propagation du Covid-19.
Selon un communiqué, publié par le Coordination, les grèves d’ampleur nationale, y compris celles prévues les 10, 11 et 12 novembre, interviennent également en solidarité avec les 33 enseignants poursuivis pour des accusations de rassemblement non autorisé, non- respect de l’état d’urgence sanitaire et atteinte aux agents des forces publiques.
Outre cela, un mouvement de boycott sera mené par les enseignants sur plusieurs activités, notamment sur le système Massar et l'intégration des notes, a ajouté la même source, soulignant qu’ils boycotteront également tous les conseils d’établissement (sauf les conseils de classe), ainsi que les activités des clubs scolaires.
En effet, le nouveau gouvernement a consacré une attention particulière au secteur de l’enseignement puisque le Chef du gouvernement Aziz Akhannouch a exprimé sa détermination à redonner du crédit et de la valeur au métier d'enseignant par une rémunération plus valorisante, surtout en début de parcours. « Le gouvernement fera de l'investissement dans le capital humain une priorité pour permettre aux secteurs public et privé de satisfaire ses besoins en matière de recrutement », a-t-il dit lors de la première séance plénière des deux chambres du Parlement.
Il convient dans le même sillage de rappeler que le nouveau ministre de l'enseignement, Chakib Benmoussa, s'est d'ores et déjà penché sur ce dossier en convoquant les syndicats les plus représentatifs du secteur de l'enseignement à une réunion prévue ce vendredi.
Lesdits contractuels ont de nouveau investi les artères de Rabat en se rassemblant hier devant le Parlement avant que la manifestation soit rapidement dispersée par les forces de l’ordre en raison de sa violation de l’état d’urgence sanitaire et des dispositions mises en place par les autorités pour la jugulation de la propagation du Covid-19.
Selon un communiqué, publié par le Coordination, les grèves d’ampleur nationale, y compris celles prévues les 10, 11 et 12 novembre, interviennent également en solidarité avec les 33 enseignants poursuivis pour des accusations de rassemblement non autorisé, non- respect de l’état d’urgence sanitaire et atteinte aux agents des forces publiques.
Outre cela, un mouvement de boycott sera mené par les enseignants sur plusieurs activités, notamment sur le système Massar et l'intégration des notes, a ajouté la même source, soulignant qu’ils boycotteront également tous les conseils d’établissement (sauf les conseils de classe), ainsi que les activités des clubs scolaires.
En effet, le nouveau gouvernement a consacré une attention particulière au secteur de l’enseignement puisque le Chef du gouvernement Aziz Akhannouch a exprimé sa détermination à redonner du crédit et de la valeur au métier d'enseignant par une rémunération plus valorisante, surtout en début de parcours. « Le gouvernement fera de l'investissement dans le capital humain une priorité pour permettre aux secteurs public et privé de satisfaire ses besoins en matière de recrutement », a-t-il dit lors de la première séance plénière des deux chambres du Parlement.
Il convient dans le même sillage de rappeler que le nouveau ministre de l'enseignement, Chakib Benmoussa, s'est d'ores et déjà penché sur ce dossier en convoquant les syndicats les plus représentatifs du secteur de l'enseignement à une réunion prévue ce vendredi.