Lors de la conférence hebdomadaire qui a suivi le Conseil de gouvernement, le porte-parole du gouvernement, Mustapha Baitas, a attribué la recrudescence de la rougeole, accompagnée de tragiques décès parmi les enfants, au recul de la vaccination depuis l’émergence de la Covid-19.
En d’autres termes, le tournant décisif, selon le ministre, remonte au moment où la menace de la rougeole n’a pas été suffisamment prise au sérieux, une situation exacerbée par l’hésitation vaccinale et les effets de la pandémie.
La rougeole fait rage avec 25 000 cas et 120 décès enregistrés depuis septembre 2023. Face à cette situation, Baitas a indiqué qu’un dispositif de vigilance et de suivi avait été mis en place au sein du Centre d'opérations d'urgence de santé publique (COUSP) et de 12 centres provinciaux d'urgence sanitaire, et ce, pour accélérer les opérations de vaccination.
Le porte-parole a également rappelé qu’une campagne nationale de rattrapage vaccinal contre la rougeole et d’autres maladies avait été lancée le 28 octobre 2024, précisant qu’elle serait prolongée pour inclure toutes les franges de la population.
De plus, une vaste campagne de communication a été lancée, visant en particulier les catégories concernées par la vaccination, notamment les parents et tuteurs d'élèves, les enseignants, les professionnels de la santé et les autorités publiques.
Pour rappel, la rougeole, causée par le virus Paramyxovirus, est une maladie hautement contagieuse qui touche principalement les enfants, bien que les adultes non vaccinés ne soient pas à l’abri.
Les symptômes apparaissent généralement entre 10 et 14 jours après l’exposition et incluent une forte fièvre, des éruptions cutanées caractéristiques, une toux sévère et une inflammation des yeux. Si elle n’est pas prise en charge, la rougeole peut entraîner des complications graves, telles que la pneumonie, des lésions cérébrales, voire la mort.
En d’autres termes, le tournant décisif, selon le ministre, remonte au moment où la menace de la rougeole n’a pas été suffisamment prise au sérieux, une situation exacerbée par l’hésitation vaccinale et les effets de la pandémie.
La rougeole fait rage avec 25 000 cas et 120 décès enregistrés depuis septembre 2023. Face à cette situation, Baitas a indiqué qu’un dispositif de vigilance et de suivi avait été mis en place au sein du Centre d'opérations d'urgence de santé publique (COUSP) et de 12 centres provinciaux d'urgence sanitaire, et ce, pour accélérer les opérations de vaccination.
Le porte-parole a également rappelé qu’une campagne nationale de rattrapage vaccinal contre la rougeole et d’autres maladies avait été lancée le 28 octobre 2024, précisant qu’elle serait prolongée pour inclure toutes les franges de la population.
De plus, une vaste campagne de communication a été lancée, visant en particulier les catégories concernées par la vaccination, notamment les parents et tuteurs d'élèves, les enseignants, les professionnels de la santé et les autorités publiques.
Pour rappel, la rougeole, causée par le virus Paramyxovirus, est une maladie hautement contagieuse qui touche principalement les enfants, bien que les adultes non vaccinés ne soient pas à l’abri.
Les symptômes apparaissent généralement entre 10 et 14 jours après l’exposition et incluent une forte fièvre, des éruptions cutanées caractéristiques, une toux sévère et une inflammation des yeux. Si elle n’est pas prise en charge, la rougeole peut entraîner des complications graves, telles que la pneumonie, des lésions cérébrales, voire la mort.