C'était mercredi dernier, lors d’un Space sur Twitter, le président de la FRMF, Fouzi Lekjaâ, a lâché : « Vahid a le soutien de la FRMF. Mais le sort de l’équipe nationale n’est lié ni à Vahid Halilhodzic ni à Fouzi Lekjaâ. Elle doit disposer, le jour « J », de la meilleure structure technique pour relever les défis et rendre les Marocains fiers (...) Rien n’est figé. On ne peut pas dire qu’il est indispensable et intouchable, tout comme Fouzi Lekjaâ », poursuit-il, tout en insistant sur le caractère changeant du football moderne et de ses exigences (...) Le moment venu la décision sera prise.
Des rumeurs circulent actuellement avec force faisant état d’une très proche réunion entre le président et coach Vahid pour discuter de la suite à donner au contrat de Vahid et de la Fédération. Certains avancent même des noms comme Laurent Blanc ou Hector Cuper.
Seulement, il faut lire entre les lignes et analyser les mots du président de la Fédération qui maintient l'ambiguïté au sujet du prolongement ou de la séparation avec coach Vahid.
Conclusion: Vahid ne partira pas. Le président cherche seulement à mettre la pression sur Halilhodzic pour l’amener à être moins intransigeant, plus conciliable, avec moins d’ego et plus ouvert au partage, à la délégation et au travail en équipe sur le banc.
Dans le viseur: la réintégration des mal aimés pour incompatibilité de caractère : Les Ziyech, Mezraoui et autres.
Le président de la Fédération n’a-t-il pas dit : « L’équipe nationale doit disposer, le jour « J », de la meilleure structure technique pour relever les défis et rendre les Marocains fiers ».
Vahid a bâti en grande partie l’équipe nationale actuelle. Il a créé un collectif et un groupe. Au lieu de le renvoyer et de recommencer à zéro. Il vaut mieux discuter et chercher à le convaincre de lâcher prise, de laisser de côté une partie de son ego surdimensionné et sa susceptibilité démesurée et à fleur de peau…