La Cour d'appel fédérale de Washington entend les arguments de la défense de l'ex-président et de l'accusation concernant les déclarations extrajudiciaires proférées par Donald Trump dans le cadre de son procès portant sur des manœuvres présumées illicites lors de l'élection de 2020.
La justice veut notamment empêcher le candidat républicain à la présidentielle de 2024 de porter des attaques ad hominem en public.
La Cour d'appel fédérale de Washington entend lundi 20 novembre les arguments de la défense de l'ex-président et de l'accusation dans le cadre de l'obligation de silence imposée au milliardaire le mois dernier concernant son procès pour fraude présumée lors de l'élection présidentielle de 2020.
En octobre, la juge Tanya Chutkan avait interdit aux parties tout commentaire public "visant" les procureurs, le personnel du tribunal et les témoins dans ce dossier. En revanche, elle a reconnu au favori des primaires républicaines le droit de continuer à se déchaîner contre son successeur démocrate Joe Biden, systématiquement affublé du sobriquet de "crapule", ou d'accuser l'administration actuelle d'instrumentaliser la justice pour l'éliminer de la course à la Maison Blanche en 2024.
La Cour d'appel fédérale de Washington, saisie par Donald Trump, a suspendu ces restrictions le temps de statuer au fond et entend lundi les plaidoyers de la défense et de l'accusation.
Par cette décision, la juge Chutkan s'est érigée en "barrière entre le candidat en tête pour la présidentielle et chaque Américain à travers le pays", déplorent les avocats de Donald Trump.
La justice veut notamment empêcher le candidat républicain à la présidentielle de 2024 de porter des attaques ad hominem en public.
La Cour d'appel fédérale de Washington entend lundi 20 novembre les arguments de la défense de l'ex-président et de l'accusation dans le cadre de l'obligation de silence imposée au milliardaire le mois dernier concernant son procès pour fraude présumée lors de l'élection présidentielle de 2020.
En octobre, la juge Tanya Chutkan avait interdit aux parties tout commentaire public "visant" les procureurs, le personnel du tribunal et les témoins dans ce dossier. En revanche, elle a reconnu au favori des primaires républicaines le droit de continuer à se déchaîner contre son successeur démocrate Joe Biden, systématiquement affublé du sobriquet de "crapule", ou d'accuser l'administration actuelle d'instrumentaliser la justice pour l'éliminer de la course à la Maison Blanche en 2024.
La Cour d'appel fédérale de Washington, saisie par Donald Trump, a suspendu ces restrictions le temps de statuer au fond et entend lundi les plaidoyers de la défense et de l'accusation.
Par cette décision, la juge Chutkan s'est érigée en "barrière entre le candidat en tête pour la présidentielle et chaque Américain à travers le pays", déplorent les avocats de Donald Trump.