Photo: Saad Salimi, tous droits réservés // La révolte est montée d'un cran chez les étudiants en médecine et en pharmacie.
Aggravée par la réduction du cursus de sept à six ans et marquée par un encadrement jugé aléatoire, des équipements insuffisants et des opportunités de stages trop limitées, la contestation est, donc, montée d’un cran dans les Facultés de médecine et de pharmacie du Maroc.
La situation commence à jouer les prolongations surtout si l’on sait que le passage du cursus universitaire en médecine générale de sept à six années d’études a été rendu officiel par le ministère de l’Enseignement supérieur il y a deux ans. Cette mesure, adoptée pour faire face à la grave pénurie de médecins au sein du pays, devrait être mise en application dès l’année académique actuelle sauf que les étudiants mettent à l’index cette décision jugée abusée et abusive et jugent leur formation comme étant « médiocre ».
L’écho de ces manifestations s’est même trouvé au centre des conciliabules ministériels et des débats publics lors de la session à la Chambre des Représentants de ce début d’année.
Pour ce qui est de la réduction de la durée des études, M. Miraoui a affirmé que ce n’était pas une décision arbitraire, mais plutôt une réponse à une réforme indispensable. Aussi, a-t-il passé en revue des pays où la durée de formation est réduite et efficiente, comme l’Allemagne, l’Irlande et les États-Unis, contrairement au Maroc qui était de sept ans.
La situation commence à jouer les prolongations surtout si l’on sait que le passage du cursus universitaire en médecine générale de sept à six années d’études a été rendu officiel par le ministère de l’Enseignement supérieur il y a deux ans. Cette mesure, adoptée pour faire face à la grave pénurie de médecins au sein du pays, devrait être mise en application dès l’année académique actuelle sauf que les étudiants mettent à l’index cette décision jugée abusée et abusive et jugent leur formation comme étant « médiocre ».
L’écho de ces manifestations s’est même trouvé au centre des conciliabules ministériels et des débats publics lors de la session à la Chambre des Représentants de ce début d’année.
Pour ce qui est de la réduction de la durée des études, M. Miraoui a affirmé que ce n’était pas une décision arbitraire, mais plutôt une réponse à une réforme indispensable. Aussi, a-t-il passé en revue des pays où la durée de formation est réduite et efficiente, comme l’Allemagne, l’Irlande et les États-Unis, contrairement au Maroc qui était de sept ans.