Afin de démontrer la capacité des opérateurs du secteur à réaliser des événements malgré le contexte de la pandémie du nouveau coronavirus, le CPPEM a simulé, en collaboration avec un bureau d’études, un protocole sanitaire permettant d’organiser des événements en huis clos.
Cet exercice vise à exhorter le ministère de la Santé et celui de l'Intérieur à valider le protocole sanitaire dédié à l'événementiel. Un protocole élaboré dès juillet, en collaboration avec Bureau Veritas, le ministère de l'Industrie et l'Institut Marocain de Normalisation (IMANOR), indique le GPPEM dans un communiqué.
"Cet événement simulé par le GPPEM n'est point une simple action de communication, mais un SOS lancé aux autorités, particulièrement les ministères de la Santé et de l'Intérieur, pour les sensibiliser au danger qui guette le secteur de l'industrie de l'événementiel, s'ils ne valident pas le protocole sanitaire du GPPEM", souligne la même source.
L'autorisation d'événements de 50 à 100 personnes reste aujourd'hui l'unique solution qui pourrait sortir les opérateurs de l'événementiel de l'agonie qui les frappe et leur éviter ainsi la perte de plus de 100.000 emplois, estime le groupement. Et de poursuivre: "S'il existe un secteur à l'arrêt depuis plus de 7 mois au Maroc, c'est bien celui de l'industrie de l'événementiel.
Trois semaines avant l'annonce de l'interdiction des rassemblements de tous genres (Décret-loi n°2-20-293 du 24 mars 2020), les opérateurs de l’événementiel recevaient déjà les premières annulations. Une grave crise s'annonçait pour le secteur".
Le comité de veille covid-19 du GPPEM savait que la crise engendrée par le coronavirus allait terrasser le secteur de l'événementiel. Il a travaillé en étroite collaboration avec différents responsables pour atténuer les effets de cette grave crise.
"Après le plan de relance et le guide de relance, la validation du protocole sanitaire du GPPEM, par le ministère de la Santé et celui de l’Intérieur, reste aujourd’hui l’unique issue qui permettrait la reprise des événements de 50 à 100 personnes", explique le président du GPPEM Aziz Bouslamti, cité par le communiqué.
En effet, "malgré le contrat programme portant sur la relance du secteur de l'événementiel signé lundi dernier lors de la 10ème réunion du comité de veille économique (CVE), la reprise des activités du secteur de l'industrie de l'événementiel, qui n'a toujours pas été autorisée, reste vitale pour le secteur", relève le groupement. "Néanmoins, sans une reprise rapide de l'événementiel, le secteur risque de disparaître et, avec, plus de 100.000 emplois. Ce sont également 25 années d'une expertise qui a engendré un capital immatériel inestimable que le Maroc perdra", fait-il remarquer.
Représentant majeur du secteur de l'industrie de l'événementiel, le GPPEM a depuis mars dernier élaboré un plan d’actions afin d'accompagner les opérateurs dudit secteur durant cette crise.
Cet exercice vise à exhorter le ministère de la Santé et celui de l'Intérieur à valider le protocole sanitaire dédié à l'événementiel. Un protocole élaboré dès juillet, en collaboration avec Bureau Veritas, le ministère de l'Industrie et l'Institut Marocain de Normalisation (IMANOR), indique le GPPEM dans un communiqué.
"Cet événement simulé par le GPPEM n'est point une simple action de communication, mais un SOS lancé aux autorités, particulièrement les ministères de la Santé et de l'Intérieur, pour les sensibiliser au danger qui guette le secteur de l'industrie de l'événementiel, s'ils ne valident pas le protocole sanitaire du GPPEM", souligne la même source.
L'autorisation d'événements de 50 à 100 personnes reste aujourd'hui l'unique solution qui pourrait sortir les opérateurs de l'événementiel de l'agonie qui les frappe et leur éviter ainsi la perte de plus de 100.000 emplois, estime le groupement. Et de poursuivre: "S'il existe un secteur à l'arrêt depuis plus de 7 mois au Maroc, c'est bien celui de l'industrie de l'événementiel.
Trois semaines avant l'annonce de l'interdiction des rassemblements de tous genres (Décret-loi n°2-20-293 du 24 mars 2020), les opérateurs de l’événementiel recevaient déjà les premières annulations. Une grave crise s'annonçait pour le secteur".
Le comité de veille covid-19 du GPPEM savait que la crise engendrée par le coronavirus allait terrasser le secteur de l'événementiel. Il a travaillé en étroite collaboration avec différents responsables pour atténuer les effets de cette grave crise.
"Après le plan de relance et le guide de relance, la validation du protocole sanitaire du GPPEM, par le ministère de la Santé et celui de l’Intérieur, reste aujourd’hui l’unique issue qui permettrait la reprise des événements de 50 à 100 personnes", explique le président du GPPEM Aziz Bouslamti, cité par le communiqué.
En effet, "malgré le contrat programme portant sur la relance du secteur de l'événementiel signé lundi dernier lors de la 10ème réunion du comité de veille économique (CVE), la reprise des activités du secteur de l'industrie de l'événementiel, qui n'a toujours pas été autorisée, reste vitale pour le secteur", relève le groupement. "Néanmoins, sans une reprise rapide de l'événementiel, le secteur risque de disparaître et, avec, plus de 100.000 emplois. Ce sont également 25 années d'une expertise qui a engendré un capital immatériel inestimable que le Maroc perdra", fait-il remarquer.
Représentant majeur du secteur de l'industrie de l'événementiel, le GPPEM a depuis mars dernier élaboré un plan d’actions afin d'accompagner les opérateurs dudit secteur durant cette crise.