
Entre autres causes, ce phénomène est pointé du doigt concernant le nombre élevé d’enfants marocains qui se livrent à la mendicité dans les avenues, les marchés, devant les cafés et les mosquées, au lieu de se rendre en classe. Cette forme de déviance enfantine était au cœur du débat, ce lundi 22 mai, lors de la séance plénière consacrée aux questions orales à la Chambre des représentants.
Interrogé sur « l’exploitation des enfants dans la mendicité », la ministre de la Solidarité, de l’Insertion sociale et de la Famille, Awatif Hayar, a affirmé que le gouvernement a prévu la mise en place d’un dispositif informatique afin de signaler les cas de mendicité, permettant de diligenter les interventions et de protéger ces enfants vulnérables.
S’agissant de « l’augmentation accrue des cas de divorce », Hayar a affirmé que 80% des cas de divorce au Maroc sont des divorces par consentement mutuel. A cet effet, « le gouvernement a placé la famille au cœur d’une nouvelle approche, étant donné l’intérêt qu’elle revêt pour le développement social ».
Ainsi, le coup d’envoi du programme « Jisr », dédié à l’accompagnement des familles, pour lutter contre ce genre de phénomènes sociaux, qui privilégient les approches de médiation familiale, la sensibilisation des couples, avant le mariage, quant à l’importance de l’institution familiale en tant que responsabilité commune, mais aussi sur l’égalité homme-femme, les valeurs de socialisation.
S’agissant de « l’augmentation accrue des cas de divorce », Hayar a affirmé que 80% des cas de divorce au Maroc sont des divorces par consentement mutuel. A cet effet, « le gouvernement a placé la famille au cœur d’une nouvelle approche, étant donné l’intérêt qu’elle revêt pour le développement social ».
Ainsi, le coup d’envoi du programme « Jisr », dédié à l’accompagnement des familles, pour lutter contre ce genre de phénomènes sociaux, qui privilégient les approches de médiation familiale, la sensibilisation des couples, avant le mariage, quant à l’importance de l’institution familiale en tant que responsabilité commune, mais aussi sur l’égalité homme-femme, les valeurs de socialisation.
Pour rappel, le HCP a livré dans son document « Indicateurs sociaux du Maroc – Edition 2023 » les tendances annuelles du mariage et du divorce. Ainsi, près de 26.000 jugements de divorce ont été rendus en 2021 contre 27.000 jugements en 2019.