Jusqu’au 29 juillet à la galerie Abla Ababou à Rabat, une exposition collective regroupe dix-huit artistes d’horizons différents sous le thème « Un air d’été ». Flânerie et envie d’ailleurs sont au rendez-vous. L’imagination prend son envol. Autour de cette thématique estivale les artistes jouent le jeu. Peintures à l’huile, dessins, collages, photographies, bas-reliefs en plâtre et en bois, aciers patinés par le temps, autant de médiums utilisés pour célébrer les beaux jours. Les styles et les sensibilités foisonnent.
Malika Demnati, Hélène Brugnes et Zora Lahlou nous entrainent sur les plages marocaines où cohabitent familles, femmes voilées et celles en bikini. C’est ce vivre ensemble qui fait la diversité du pays. Mixité des mentalités, mais également des paysages, comme en témoigne l’omniprésence de l’océan chez de nombreux artistes.
La tangéroise, Najoua El Hitmi, n’a de cesse de peindre, à coup de grandes gestuelles, le roulement de vagues tandis que domine un bleu vif dans toutes les toiles de Souhail Ben Azzouz, natif de la ville océane d’Assilah. Loin de ces couleurs flamboyantes, les horizons marins de l’allemand Michael Gatzke sont nimbés de gris et de sombres tonalités. Pour d’autres peintres, l’été a plutôt un goût de nature. Cette dernière est luxuriante et exotique chez Christophe Miralles, mais beaucoup plus désertique chez Mohamed Mourabiti.
L’ailleurs et la rêverie ne sont pas en reste. Laila Benhalima nous invite au voyage avec ses personnages métissés, plongés dans des décors oniriques, tandis que Guy Calamusa et Sonia Hamza nous livrent leurs souvenirs de vacances d’été au Maroc, où se mêlent flous et symboles fantasques. Pour rester dans le fantasme, Christian Mamoun, Ines El Mansouri, Itaf Benjelloun et Florence Arnold font appel à notre imaginaire en mettant en scène des personnages qui semblent tout droit sortis d’un songe d’été. Entre réel et imaginaire, le reste des artistes caresse notre regard pour nous offrir une promenade où été rime avec légèreté.
Malika Demnati, Hélène Brugnes et Zora Lahlou nous entrainent sur les plages marocaines où cohabitent familles, femmes voilées et celles en bikini. C’est ce vivre ensemble qui fait la diversité du pays. Mixité des mentalités, mais également des paysages, comme en témoigne l’omniprésence de l’océan chez de nombreux artistes.
La tangéroise, Najoua El Hitmi, n’a de cesse de peindre, à coup de grandes gestuelles, le roulement de vagues tandis que domine un bleu vif dans toutes les toiles de Souhail Ben Azzouz, natif de la ville océane d’Assilah. Loin de ces couleurs flamboyantes, les horizons marins de l’allemand Michael Gatzke sont nimbés de gris et de sombres tonalités. Pour d’autres peintres, l’été a plutôt un goût de nature. Cette dernière est luxuriante et exotique chez Christophe Miralles, mais beaucoup plus désertique chez Mohamed Mourabiti.
L’ailleurs et la rêverie ne sont pas en reste. Laila Benhalima nous invite au voyage avec ses personnages métissés, plongés dans des décors oniriques, tandis que Guy Calamusa et Sonia Hamza nous livrent leurs souvenirs de vacances d’été au Maroc, où se mêlent flous et symboles fantasques. Pour rester dans le fantasme, Christian Mamoun, Ines El Mansouri, Itaf Benjelloun et Florence Arnold font appel à notre imaginaire en mettant en scène des personnages qui semblent tout droit sortis d’un songe d’été. Entre réel et imaginaire, le reste des artistes caresse notre regard pour nous offrir une promenade où été rime avec légèreté.