L’artiste-peintre marocain Abdelilah Zokhrouf a embarqué avec lui vendredi dernier, lors du vernissage de son exposition, du beau monde venu découvrir à la galerie de l’Institut français d’El Jadida un magnifique voyage dans l’âme. Considéré par le plasticien comme essence, une naissance à laquelle l’art imprime son empreinte, la façonne avec amour pour enfin lui donner toute sa dimension.
Sa belle vision de la vie se reflète à travers ses toiles qui, au regard des mortels, s’animent, interpellent et finissent par mieux séduire... «Ce magicien des couleurs emmène de par sa verve, ses pinceaux, ses palettes aux tons lumineux, brillants presque transparents, dans un monde gai, libéral, joyeux, féerique, animé par une ferveur, une foi... cette disponibilité à redynamiser autour de lui, à insuffler vie», estime l’artiste peintre Nadia Ghassal, ajoutant que «Abdelilah le maestro, le généreux, l’engagé, le chevalier des temps modernes, a de quoi nous éblouir.
Il se tient toujours prêt à s’embarquer dans une nouvelle aventure à caractère humanitaire, civique, artistique. Ses dernières créations en sont les témoins privilégiés. Un voyage dans les entrailles d’une mémoire à nu, un voyage des sens, des sensations ...!» L’artiste et critique d’art Mouna Louraoui ne manque pas non plus de se réjouir : «Des oeuvres d’une grande finesse et de beauté, dans un cercle où toute la richesse de la palette est joliment ceinte donnant toute la dimension aux touches incomparables de l’artiste. Liberté du mouvement, explosion de joie et d’espoir en ces merveilleuses expressions d’amour. Couleurs et compositions dansant une folle farandole dans cet Eden, nous emportent dans son sillage ivre de bonheur.» Les toiles de Zokhrouf Abdelilah, vont au-delà de la perception visuelle.
Chaque oeuvre picturale, de l’artiste, nous entraine dans un monde de symboles où brûlent des flemmes de spiritualité transcrites avec une fantaisie inventive et spontanée, une réalité pénétrante dans ses oeuvres qui font partie de lui-même. Abdelilah est emporté par le rouge qui exprime la vivacité, la passion et l’énergie. Il est hanté par cette couleur.
Organisée sous le thème «L’Art, une essence, une naissance», l’exposition se poursuit jusqu’au 02 octobre 2021.
Sa belle vision de la vie se reflète à travers ses toiles qui, au regard des mortels, s’animent, interpellent et finissent par mieux séduire... «Ce magicien des couleurs emmène de par sa verve, ses pinceaux, ses palettes aux tons lumineux, brillants presque transparents, dans un monde gai, libéral, joyeux, féerique, animé par une ferveur, une foi... cette disponibilité à redynamiser autour de lui, à insuffler vie», estime l’artiste peintre Nadia Ghassal, ajoutant que «Abdelilah le maestro, le généreux, l’engagé, le chevalier des temps modernes, a de quoi nous éblouir.
Il se tient toujours prêt à s’embarquer dans une nouvelle aventure à caractère humanitaire, civique, artistique. Ses dernières créations en sont les témoins privilégiés. Un voyage dans les entrailles d’une mémoire à nu, un voyage des sens, des sensations ...!» L’artiste et critique d’art Mouna Louraoui ne manque pas non plus de se réjouir : «Des oeuvres d’une grande finesse et de beauté, dans un cercle où toute la richesse de la palette est joliment ceinte donnant toute la dimension aux touches incomparables de l’artiste. Liberté du mouvement, explosion de joie et d’espoir en ces merveilleuses expressions d’amour. Couleurs et compositions dansant une folle farandole dans cet Eden, nous emportent dans son sillage ivre de bonheur.» Les toiles de Zokhrouf Abdelilah, vont au-delà de la perception visuelle.
Chaque oeuvre picturale, de l’artiste, nous entraine dans un monde de symboles où brûlent des flemmes de spiritualité transcrites avec une fantaisie inventive et spontanée, une réalité pénétrante dans ses oeuvres qui font partie de lui-même. Abdelilah est emporté par le rouge qui exprime la vivacité, la passion et l’énergie. Il est hanté par cette couleur.
Organisée sous le thème «L’Art, une essence, une naissance», l’exposition se poursuit jusqu’au 02 octobre 2021.
Mohamed LOKHNATI