«Les Forces Armées Royales disposeront gratuitement d’un escadron d’avions de combat F-16B», a déclaré le constructeur aéronautique Lockheed Martin, à l’origine de la F16, qui est à la disposition de l’armée de l’air marocaine. Les équipes de maintenance et les étudiants seront formés, à Marrakech, aux bases des avions de combat F-16.
«Des pays comme le Maroc et l’Extrême-Orient exigent plus de chasseurs à réaction, principalement des F-16», a déclaré Kenneth Bosnried, vice-président exécutif et directeur financier de Lockheed Martin. «60 avions de combat sont dédiés à ces pays alliés aux Etats-Unis».
Ce nouveau soutien s’inscrit dans le cadre de l’énorme accord militaire entre le Maroc et les États-Unis, aux termes duquel 25 avions de combat F-16 et la mise au point de 23 avions marocains appartenant au même modèle ont été mis à niveau pour passer au F-16V.
L’accord, que le Maroc continue de promouvoir avec les dernières normes internationales, était le plus important de l’histoire des Forces armées royales, avec un coût financier de 3,87 milliards de dollars.
Cette arme militaire sophistiquée peut être utilisée pour supprimer les systèmes de défense anti-aérienne de l’ennemi, les combats air-sol et air-air et les interdictions navales. Ces avions de combat sont également très capables de changer le rôle des missions aériennes, car ils peuvent détecter et suivre des cibles difficiles à trouver à des moments critiques, quelles que soient les conditions météorologiques.
Les autorités marocaines ont manifesté leur intérêt pour l’acquisition du F-16 Viper, une version améliorée dévoilée en 2012, dotée d’un ordinateur de mission avancé et d’un radar à antenne active. À l’heure actuelle, le Royaume compte 36 F-16, mais en mai 2015, les forces houthies ont abattu l’un d’entre eux au Yémen.
La modernisation de l’aéronef marocain «F16» s’inscrit dans le souci de plusieurs pays de développer leurs capacités de combat, comme est le cas pour le Taiwan et Singapour. L’accord intervient également plusieurs mois après que l’armée marocaine ait convenu avec la compagnie américaine d’acquérir des chars M1 Abrams reposant sur la technologie «laser».
«Des pays comme le Maroc et l’Extrême-Orient exigent plus de chasseurs à réaction, principalement des F-16», a déclaré Kenneth Bosnried, vice-président exécutif et directeur financier de Lockheed Martin. «60 avions de combat sont dédiés à ces pays alliés aux Etats-Unis».
Ce nouveau soutien s’inscrit dans le cadre de l’énorme accord militaire entre le Maroc et les États-Unis, aux termes duquel 25 avions de combat F-16 et la mise au point de 23 avions marocains appartenant au même modèle ont été mis à niveau pour passer au F-16V.
L’accord, que le Maroc continue de promouvoir avec les dernières normes internationales, était le plus important de l’histoire des Forces armées royales, avec un coût financier de 3,87 milliards de dollars.
Cette arme militaire sophistiquée peut être utilisée pour supprimer les systèmes de défense anti-aérienne de l’ennemi, les combats air-sol et air-air et les interdictions navales. Ces avions de combat sont également très capables de changer le rôle des missions aériennes, car ils peuvent détecter et suivre des cibles difficiles à trouver à des moments critiques, quelles que soient les conditions météorologiques.
Les autorités marocaines ont manifesté leur intérêt pour l’acquisition du F-16 Viper, une version améliorée dévoilée en 2012, dotée d’un ordinateur de mission avancé et d’un radar à antenne active. À l’heure actuelle, le Royaume compte 36 F-16, mais en mai 2015, les forces houthies ont abattu l’un d’entre eux au Yémen.
La modernisation de l’aéronef marocain «F16» s’inscrit dans le souci de plusieurs pays de développer leurs capacités de combat, comme est le cas pour le Taiwan et Singapour. L’accord intervient également plusieurs mois après que l’armée marocaine ait convenu avec la compagnie américaine d’acquérir des chars M1 Abrams reposant sur la technologie «laser».