L'hôtel Palace Es Saadi à Marrakech a accueilli cet après-midi une figure emblématique du cinéma mondial, Sean Penn. Rendu célèbre par des rôles complexes et un engagement public audacieux, l’acteur américain, invité d’honneur du Festival International du Film de Marrakech (FIFM), a partagé son regard acéré sur le métier d’acteur et sur son rôle dans la société.
Interrogé sur la part de lui-même reflétée dans ses personnages, Penn a humblement reconnu : « C’est une question à laquelle je ne sais toujours pas répondre. » Pour lui, le jeu d’acteur est avant tout une exploration de l'humain, une quête sans fin pour comprendre les nuances de la vie. En évoquant son rôle marquant dans « Asphalt City », il a attribué son succès à la collaboration avec un réalisateur attentif et à l’immersion dans le quotidien des paramédics, soulignant l’importance de s’immerger dans la réalité pour insuffler de l’authenticité à un personnage.
Malgré une carrière souvent associée à des prises de position sociales et politiques, Penn se distancie du terme « activiste ». « Je me sens davantage comme un plombier, » a-t-il confié, illustrant sa volonté de « réparer les fuites » dans un monde en perpétuelle turbulence. Cependant, il a exhorté la jeune génération de cinéastes à trouver leur propre voie, tout en mettant en garde contre les pièges des réseaux sociaux, qu’il considère comme un obstacle à l’expression véritable.
Fidèle à ses convictions, Penn a également partagé son expérience de réalisation d’un documentaire sur les réfugiés ukrainiens, en collaboration avec des partenaires polonais. Il a salué le courage et la résilience des acteurs locaux, tout en rappelant l’importance du rôle du cinéma dans la sensibilisation aux grandes crises humanitaires.
Penn a conclu en évoquant sa fascination pour le cinéma d’auteur, citant des réalisateurs comme Clint Eastwood, dont la méthode, basée sur l’improvisation, l’a marqué profondément. Il a également exprimé son admiration pour des productions Marocaine, notamment le documentaire de la cinéaste Asmae El Moudir « La Mère de tous les mensonges », qu’il a qualifié de « chef-d'œuvre cinématographique ».
Interrogé sur la part de lui-même reflétée dans ses personnages, Penn a humblement reconnu : « C’est une question à laquelle je ne sais toujours pas répondre. » Pour lui, le jeu d’acteur est avant tout une exploration de l'humain, une quête sans fin pour comprendre les nuances de la vie. En évoquant son rôle marquant dans « Asphalt City », il a attribué son succès à la collaboration avec un réalisateur attentif et à l’immersion dans le quotidien des paramédics, soulignant l’importance de s’immerger dans la réalité pour insuffler de l’authenticité à un personnage.
Malgré une carrière souvent associée à des prises de position sociales et politiques, Penn se distancie du terme « activiste ». « Je me sens davantage comme un plombier, » a-t-il confié, illustrant sa volonté de « réparer les fuites » dans un monde en perpétuelle turbulence. Cependant, il a exhorté la jeune génération de cinéastes à trouver leur propre voie, tout en mettant en garde contre les pièges des réseaux sociaux, qu’il considère comme un obstacle à l’expression véritable.
Fidèle à ses convictions, Penn a également partagé son expérience de réalisation d’un documentaire sur les réfugiés ukrainiens, en collaboration avec des partenaires polonais. Il a salué le courage et la résilience des acteurs locaux, tout en rappelant l’importance du rôle du cinéma dans la sensibilisation aux grandes crises humanitaires.
Penn a conclu en évoquant sa fascination pour le cinéma d’auteur, citant des réalisateurs comme Clint Eastwood, dont la méthode, basée sur l’improvisation, l’a marqué profondément. Il a également exprimé son admiration pour des productions Marocaine, notamment le documentaire de la cinéaste Asmae El Moudir « La Mère de tous les mensonges », qu’il a qualifié de « chef-d'œuvre cinématographique ».