Pour garantir le déploiement de la FTTH, le gouvernement, les collectivités territoriales et les opérateurs travaillent de concert. Surtout que les services numériques fournis via les réseaux télécoms peuvent contribuer à accélérer la réalisation des objectifs de développement des 12 régions du Royaume.
Pour mémoire rappelons que la technologie de la fibre optique dite FTTH à base de coupleurs passifs permet d’offrir aux entreprises comme aux particuliers du très haut débit, grâce à la topologie « point à multipoint » ou « point à point » et ce, à des prix de plus en plus attractifs.
Schéma de principe d’une architecture FTTH
Actuellement au Maroc, le déploiement du très haut débit par la fibre optique est assuré par les trois principaux opérateurs via la FTTH, dans le cadre de lignes directrices fixées par l’Agence Nationale de Réglementation des Télécoms (ANRT). Les acteurs télécoms du pays envisagent de booster le déploiement de cette technologie au niveau de la totalité des régions, opérateurs télécoms, intégrateurs et fournisseurs de matériel comme Huawei ou 3M. Notons au passage que Huawei est un acteur majeur mondial dans le domaine de l’accès à la fibre optique.
Aujourd’hui étant donné qu’Internet est devenu un outil utile et indispensable pour la collectivité, une nouvelle orientation des mécanismes du service universel (SU) a été envisagée afin d’intégrer Internet haut débit dans le périmètre du service universel et ce, à travers la loi 121-12, adoptée en 2019. Car les habitants des zones non rentables pour les opérateurs exigent également l’accès aux services numériques via la FTTH ou les réseaux mobiles.
Le déploiement d’infrastructures nécessaires à un accès fixe (haut et très haut débit) des populations urbaines et rurales au Maroc exigera plus d’efforts dans le temps et sur tout le territoire marocain.
Aujourd’hui l’ensemble des concernés planchent sur des scénarios visant à développer d’autres alternatives, lesquelles pourront être déployées au Maroc. Celles-ci impliquent notamment un recours à la mutualisation avec des entités autres que les opérateurs télécoms.
Pour mémoire rappelons que la technologie de la fibre optique dite FTTH à base de coupleurs passifs permet d’offrir aux entreprises comme aux particuliers du très haut débit, grâce à la topologie « point à multipoint » ou « point à point » et ce, à des prix de plus en plus attractifs.
Schéma de principe d’une architecture FTTH
Actuellement au Maroc, le déploiement du très haut débit par la fibre optique est assuré par les trois principaux opérateurs via la FTTH, dans le cadre de lignes directrices fixées par l’Agence Nationale de Réglementation des Télécoms (ANRT). Les acteurs télécoms du pays envisagent de booster le déploiement de cette technologie au niveau de la totalité des régions, opérateurs télécoms, intégrateurs et fournisseurs de matériel comme Huawei ou 3M. Notons au passage que Huawei est un acteur majeur mondial dans le domaine de l’accès à la fibre optique.
Aujourd’hui étant donné qu’Internet est devenu un outil utile et indispensable pour la collectivité, une nouvelle orientation des mécanismes du service universel (SU) a été envisagée afin d’intégrer Internet haut débit dans le périmètre du service universel et ce, à travers la loi 121-12, adoptée en 2019. Car les habitants des zones non rentables pour les opérateurs exigent également l’accès aux services numériques via la FTTH ou les réseaux mobiles.
Le déploiement d’infrastructures nécessaires à un accès fixe (haut et très haut débit) des populations urbaines et rurales au Maroc exigera plus d’efforts dans le temps et sur tout le territoire marocain.
Aujourd’hui l’ensemble des concernés planchent sur des scénarios visant à développer d’autres alternatives, lesquelles pourront être déployées au Maroc. Celles-ci impliquent notamment un recours à la mutualisation avec des entités autres que les opérateurs télécoms.
Ahmed Khaouja
Ingénieur télécom et expert de l’Union Internationale des Télécoms (UIT)