Désormais les droits et les devoirs de l’État et des régions sont incluses dans un type de contrat, nouvelle génération qui actualise certaines dispositions de la Charte de la déconcentration. Objectif majeur de cette approche nouvelle de contractualisation : dépasser les contraintes et les dysfonctionnements qui hypothèquent le parachèvement des projets lancés. Si de nouvelles prérogatives sont accordées aux régions, elles sont corolaires d’une plus grande responsabilisation dans l’élaboration, l’exécution et la finalisation des projets.
La déclinaison de cette nouvelle forme de contractualisation au niveau de la région Fès-Meknès s’est concrétisée par un contrat-programme entre l’État et la région portant sur la réalisation de projets d’une valeur budgétaire globale de 11,19 milliards de DH. Contrat approuvé à l’unanimité par le Conseil régional lors de la session de juillet.
Ce contrat projette la réalisation de 97 projets englobant les différents secteurs d’activités. Un contrat ambitieux qui vise à booster un développement harmonieux et inclusif touchant les secteurs de l’industrie et du développement des services numériques « 7 projets avec un une enveloppe budgétaire estimée à quelque 1,066 MMDH, de l’équipement et la logistique 12projets budgétisés à 3,184 MMDH, de l’enseignement supérieur et l’appui à la recherche scientifique 5 projets estimés à 1,850 MMDH), de l’agriculture 820 MDH, de la promotion de l’emploi et du développement des compétences 11 projets :725,9 MDH) et de l’artisanat et l’économie sociale 7 projets :393 MDH ».
Sur le plan social, environnemental et culturel, 19 projets avec un budget de plus de 2 MMDH est destiné à la qualification sociale et l’identification et l’atténuation des disparités territoriales, 7 projets pour la protection des ressources naturelles avec 555,69 MDH et 16 projets dotés d’un budget de 386 MDH pour le tourisme et la valorisation du patrimoine culturel.
Le montage financier de ces différents projets traduit la volonté d’instaurer un cadre financier renouvelé, permettant de dépasser certaines entraves du passé tout en responsabilisant tous les intervenants et acteurs, ainsi les départements ministériels ont pris en charge plus de 6,1 MMDH. Le reste est assuré par le conseil régional (3,628 MMDH), les autres collectivités territoriales (315,5 MDH), certains établissements publics (580,8 MDH) et les bénéficiaires des projets (513,5 MDH).
En ce qui concerne le contrat EtatRégion Fès-Meknès, l’un des premiers à être signé, 12 départements ministériels sont impliqués dans les différents projets afin de réussir la mise en œuvre effective de cette nouvelle forme de contractualisation. A noter que le Conseil régional qui a donné son approbation du contrat programme entre l’État et la Région, a examiné d’autres conventions relatives à d’autres projets s’inscrivant dans une dynamique de développement régional après Covid-19.
La déclinaison de cette nouvelle forme de contractualisation au niveau de la région Fès-Meknès s’est concrétisée par un contrat-programme entre l’État et la région portant sur la réalisation de projets d’une valeur budgétaire globale de 11,19 milliards de DH. Contrat approuvé à l’unanimité par le Conseil régional lors de la session de juillet.
Ce contrat projette la réalisation de 97 projets englobant les différents secteurs d’activités. Un contrat ambitieux qui vise à booster un développement harmonieux et inclusif touchant les secteurs de l’industrie et du développement des services numériques « 7 projets avec un une enveloppe budgétaire estimée à quelque 1,066 MMDH, de l’équipement et la logistique 12projets budgétisés à 3,184 MMDH, de l’enseignement supérieur et l’appui à la recherche scientifique 5 projets estimés à 1,850 MMDH), de l’agriculture 820 MDH, de la promotion de l’emploi et du développement des compétences 11 projets :725,9 MDH) et de l’artisanat et l’économie sociale 7 projets :393 MDH ».
Sur le plan social, environnemental et culturel, 19 projets avec un budget de plus de 2 MMDH est destiné à la qualification sociale et l’identification et l’atténuation des disparités territoriales, 7 projets pour la protection des ressources naturelles avec 555,69 MDH et 16 projets dotés d’un budget de 386 MDH pour le tourisme et la valorisation du patrimoine culturel.
Le montage financier de ces différents projets traduit la volonté d’instaurer un cadre financier renouvelé, permettant de dépasser certaines entraves du passé tout en responsabilisant tous les intervenants et acteurs, ainsi les départements ministériels ont pris en charge plus de 6,1 MMDH. Le reste est assuré par le conseil régional (3,628 MMDH), les autres collectivités territoriales (315,5 MDH), certains établissements publics (580,8 MDH) et les bénéficiaires des projets (513,5 MDH).
En ce qui concerne le contrat EtatRégion Fès-Meknès, l’un des premiers à être signé, 12 départements ministériels sont impliqués dans les différents projets afin de réussir la mise en œuvre effective de cette nouvelle forme de contractualisation. A noter que le Conseil régional qui a donné son approbation du contrat programme entre l’État et la Région, a examiné d’autres conventions relatives à d’autres projets s’inscrivant dans une dynamique de développement régional après Covid-19.
Hassan BENMAHMOUD