Quelque 7.000 élèves, filles et garçons, ont réintégré l'école après avoir été sous la menace du décrochage scolaire, grâce aux efforts concertés des différents acteurs, selon des chiffres officiels communiqués lors d'une réunion organisée mercredi à Fès par l'Académie régionale d'éducation et de formation (AREF) de Fès-Meknès, en coordination avec le ministère public près la cour d'appel de Fès sur le thème du "harcèlement contre les enfants".
S'exprimant à cette occasion, le directeur de l'AREF de Fès-Meknès, Fouad Arouadi, a indiqué que la feuille de route de la réforme 2022-2026 a fait de la réduction du taux d'abandon scolaire un objectif stratégique et prévu un cadre procédural qui comprend vingt programmes visant à intervenir au niveau de trois axes fondamentaux : l'étudiant, l'enseignant et l'école.
Il a ajouté que l'AREF déploie de grands efforts dans les domaines pédagogique, de la sensibilisation et de la communication avec les secteurs gouvernementaux, les autorités locales, les familles et la société civile.
Il a relevé que l’AREF s’emploie à mettre en oeuvre les mécanismes de travail conjoints avec le ministère public, ce qui permettra aux enfants de poursuivre leurs études jusqu'à la fin de l'enseignement obligatoire, car il s'agit d'une condition essentielle pour réduire les phénomènes de la violence et du harcèlement en milieu scolaire, ainsi que le phénomène du mariage des mineurs.
De son côté, le premier substitut du procureur général près la Cour d'appel de Fès, Abdelaziz El Bekkali, a mis l’accent sur le travail fourni par le comité régional pour la prise en charge des femmes et des enfants victimes de violences, l'AREF de Fès-Meknès et les autres secteurs gouvernementaux.
Il a souligné que tous les projets examinés par le comité concernent en particulier la protection des enfants et leur prise en charge efficace.
L’ordre du jour de la réunion du comité régional de prise en charge des femmes et enfants victimes de violences comprenait la présentation d'exposés sur la question du harcèlement et ses répercussions psychologiques et sur la santé des enfants, en plus de l’examen du projet de plan régional pour améliorer la prise en charge des enfants victimes de harcèlement.
Cette réunion vise à mobiliser les différents acteurs sur le phénomène de la violence, qui est à l'origine du décrochage scolaire, et à assurer leur implication aux côtés des établissements scolaires pour réduire ce phénomène.
S'exprimant à cette occasion, le directeur de l'AREF de Fès-Meknès, Fouad Arouadi, a indiqué que la feuille de route de la réforme 2022-2026 a fait de la réduction du taux d'abandon scolaire un objectif stratégique et prévu un cadre procédural qui comprend vingt programmes visant à intervenir au niveau de trois axes fondamentaux : l'étudiant, l'enseignant et l'école.
Il a ajouté que l'AREF déploie de grands efforts dans les domaines pédagogique, de la sensibilisation et de la communication avec les secteurs gouvernementaux, les autorités locales, les familles et la société civile.
Il a relevé que l’AREF s’emploie à mettre en oeuvre les mécanismes de travail conjoints avec le ministère public, ce qui permettra aux enfants de poursuivre leurs études jusqu'à la fin de l'enseignement obligatoire, car il s'agit d'une condition essentielle pour réduire les phénomènes de la violence et du harcèlement en milieu scolaire, ainsi que le phénomène du mariage des mineurs.
De son côté, le premier substitut du procureur général près la Cour d'appel de Fès, Abdelaziz El Bekkali, a mis l’accent sur le travail fourni par le comité régional pour la prise en charge des femmes et des enfants victimes de violences, l'AREF de Fès-Meknès et les autres secteurs gouvernementaux.
Il a souligné que tous les projets examinés par le comité concernent en particulier la protection des enfants et leur prise en charge efficace.
L’ordre du jour de la réunion du comité régional de prise en charge des femmes et enfants victimes de violences comprenait la présentation d'exposés sur la question du harcèlement et ses répercussions psychologiques et sur la santé des enfants, en plus de l’examen du projet de plan régional pour améliorer la prise en charge des enfants victimes de harcèlement.
Cette réunion vise à mobiliser les différents acteurs sur le phénomène de la violence, qui est à l'origine du décrochage scolaire, et à assurer leur implication aux côtés des établissements scolaires pour réduire ce phénomène.