Parmi les artistes invités, la pianiste cubaine Marialy Pacheco et le percussionniste souiri Rhani Krija.
La Musique de Chambre et les airs d’Opéra font leur grand retour à Essaouira. Comme tous les autres festivals créés et portés par la ville, des Gnaouas aux Andalousies Atlantiques et au Jazz sous l’Arganier, émotion, passion et jeunesse de tous les talents seront cette année au rendez-vous de la Musique de Chambre et de l’art lyrique avec le Printemps Musical des Alizés qui fêtera son grand retour du 27 au 30 avril. Essaouira retrouvera son public de mélomanes pour une édition de Musiques en Fête. La fête aussi pour célébrer les 20 ans du festival, un anniversaire plusieurs fois différé depuis 2020.
Riche de belles promesses, cette édition incarnera la singularité et la modernité du regard qu’Essaouira-Mogador porte sur le monde, avec des musiciens et des chanteurs venus de tous les continents. De Berlin à Essaouira en passant par Rome, Séoul ou La Havane, les religions et les cultures se feront entendre au fil d’une quinzaine de concerts avec, à la baguette et pour la première fois, la Marocaine Monia Rizkallah, premier violon, cheffe d’attaque au Deutsche Opéra de Berlin.
Riche de belles promesses, cette édition incarnera la singularité et la modernité du regard qu’Essaouira-Mogador porte sur le monde, avec des musiciens et des chanteurs venus de tous les continents. De Berlin à Essaouira en passant par Rome, Séoul ou La Havane, les religions et les cultures se feront entendre au fil d’une quinzaine de concerts avec, à la baguette et pour la première fois, la Marocaine Monia Rizkallah, premier violon, cheffe d’attaque au Deutsche Opéra de Berlin.
Strauss, Haydn, Massenet, Mozart…
Ce sont des airs d’opéra de Mozart, Strauss ou Massenet qui seront au cœur du concert d’ouverture jeudi soir. Interprétés par quatre artistes de quatre nationalités avec quatre parcours qui les ont menés de Séoul à Londres en passant par Berlin et Bordeaux et qui ont convergé vers l’Opéra de Berlin avant de se retrouver à Essaouira pour nous chanter l’air de « La Reine de la Nuit », extrait de « La Flûte enchantée » de Mozart, « La Chauve-souris », extrait de l’opéra-comique de Johann Strauss, « La Gavotte de Manon », extrait de l’opéra de Jules Massenet et bien d’autres. Vendredi matin, l’Italie sera à l’honneur avec un quatuor inédit, piano, violoncelle et deux violons pour des valses et des pièces d’Erich W. Korngold et les Bagatelles d’Antonín Dvořák. En début d’après-midi, c’est le quatuor à cordes Sfumato avec des musiciens venus de Corée, Roumanie, Turquie et États-Unis qui inviteront Haydn, Fanny Mendelssohn-Hensel et Brahms pour un après-midi particulièrement attendu à Dar Souiri.
Dans la soirée, en écho à la « Souiritude » du festival, Monia Rizkallah nous proposera un concert qui fera miroir aux répertoires judéo-arabo-andalous pour nous dire que s’agissant du dialogue et de la convivialité, la musique à Essaouira sait aller bien au-delà du pouvoir des mots. Pour ce concert emblématique, Mohamed Hachoumi de l’Orchestre philharmonique du Maroc sera accompagné par les deux ensembles Mazaya.
Il se produira également en soliste tout comme Morad Nir aux côtés de Sebastien Römisch, hautboïste solo de la Staatskapelle de Dresde et d’Halel Levin, hautboïste étoile du Jerusalem Symphony Orchestra et de l’Académie Danoise de Musique. En donnant ses chances à ce rendez-vous souiri de la Musique de Chambre, André Azoulay, pour ce festival comme pour tous les autres s’est attaché à faire la part belle aux jeunes du programme Mazaya, créé et porté par la fondation Ténor pour la Culture.
Dans la soirée, en écho à la « Souiritude » du festival, Monia Rizkallah nous proposera un concert qui fera miroir aux répertoires judéo-arabo-andalous pour nous dire que s’agissant du dialogue et de la convivialité, la musique à Essaouira sait aller bien au-delà du pouvoir des mots. Pour ce concert emblématique, Mohamed Hachoumi de l’Orchestre philharmonique du Maroc sera accompagné par les deux ensembles Mazaya.
Il se produira également en soliste tout comme Morad Nir aux côtés de Sebastien Römisch, hautboïste solo de la Staatskapelle de Dresde et d’Halel Levin, hautboïste étoile du Jerusalem Symphony Orchestra et de l’Académie Danoise de Musique. En donnant ses chances à ce rendez-vous souiri de la Musique de Chambre, André Azoulay, pour ce festival comme pour tous les autres s’est attaché à faire la part belle aux jeunes du programme Mazaya, créé et porté par la fondation Ténor pour la Culture.