Tanger, la capitale d’été, le point de rencontre entre la Méditerranée et l’Atlantique, n’a pas cette année de plages disponibles. Pour la première fois, depuis sa fondation qui date depuis des millénaires, il est interdit de profiter de ses eaux limpides et de son sable fin. Même l’entrée et la sortie de la ville sont contrôlées et exigent des autorisations spéciales délivrées par les autorités locales et sanitaires. A vrai dire, les Tangérois sont isolés pour perte de circulation et de liberté. La cause est bien là : l’épidémie du Covid-19. Tanger est classée à la zone 2, l’endroit où il existe le plus de danger.
Où en est l’IRT ?
L’équipe de football, l’IRT, où en est-elle à la veille de la reprise du championnat et à l’heure du début des entrainements ? Des cas positifs au Covid-19, il y en a et chaque découverte des nouvelles victimes, le staff médical refait les tests à l’effectif joueurs et à leurs membres accompagnateurs et encadreurs. Hier, c’était Abdallah Haimer, le responsable du matériel sportif, aujourd’hui c’est le tour de deux de ses proches collaborateurs et du footballeur espoir passé à la première équipe avec une infection dans les vestiaires d’un club professionnel. Demain, personne ne devine à qui sera le tour ! Total : quatre cas positifs dans une pandémie qui donne beaucoup à réfléchir sur l’avenir du championnat marocain.
Tanger toujours en zone 2
Angoisse, peur, inquiétude, beaucoup de soucis, il y a un peu de tout dans ce « monde fou » qui travaille à Ziaten sous les ordres de Pedro Benali qui ne sait à quel saint se vouer. Quoiqu’il y ait un problème d’argent avec le non règlement des salaires, le capitaine Aarab et ses coéquipiers ne pensent qu’à leur santé. Comme il a été expliqué sur cette page la semaine dernière, le comité de l’IRT aurait dû envoyer toutes les composantes de l’équipe à la quarantaine dès l’apparition du premier cas Corona. Maintenant, il y en a trois autres. Contactés à ce sujet, les responsables de la FRMF ont interdit à la formation tangéroise l’arrêt des entrainements avec le conseil traditionnel de la multiplication régulière des tests.
Parallèlement à ce qui se passe à Tanger, le RAC de Mendonza a toujours trois infectés Covid-19 en traitement dans un hôpital. Avec sept cas déclarés positifs dans les premiers entrainements, la situation du football marocain est déjà sur la sellette.
Où en est l’IRT ?
L’équipe de football, l’IRT, où en est-elle à la veille de la reprise du championnat et à l’heure du début des entrainements ? Des cas positifs au Covid-19, il y en a et chaque découverte des nouvelles victimes, le staff médical refait les tests à l’effectif joueurs et à leurs membres accompagnateurs et encadreurs. Hier, c’était Abdallah Haimer, le responsable du matériel sportif, aujourd’hui c’est le tour de deux de ses proches collaborateurs et du footballeur espoir passé à la première équipe avec une infection dans les vestiaires d’un club professionnel. Demain, personne ne devine à qui sera le tour ! Total : quatre cas positifs dans une pandémie qui donne beaucoup à réfléchir sur l’avenir du championnat marocain.
Tanger toujours en zone 2
Angoisse, peur, inquiétude, beaucoup de soucis, il y a un peu de tout dans ce « monde fou » qui travaille à Ziaten sous les ordres de Pedro Benali qui ne sait à quel saint se vouer. Quoiqu’il y ait un problème d’argent avec le non règlement des salaires, le capitaine Aarab et ses coéquipiers ne pensent qu’à leur santé. Comme il a été expliqué sur cette page la semaine dernière, le comité de l’IRT aurait dû envoyer toutes les composantes de l’équipe à la quarantaine dès l’apparition du premier cas Corona. Maintenant, il y en a trois autres. Contactés à ce sujet, les responsables de la FRMF ont interdit à la formation tangéroise l’arrêt des entrainements avec le conseil traditionnel de la multiplication régulière des tests.
Parallèlement à ce qui se passe à Tanger, le RAC de Mendonza a toujours trois infectés Covid-19 en traitement dans un hôpital. Avec sept cas déclarés positifs dans les premiers entrainements, la situation du football marocain est déjà sur la sellette.
Rachid MADANI