Depuis huit années que le terrain Allam est fermé pour des raisons diverses. La principale victime de cette fermeture est l’équipe de football kacémie (USK) qui était obligée depuis à jouer en dehors de ses fiefs : des fois à Fès, parfois à Meknès et au cours des trois dernières saisons, elle a élu domicile à Belksiri. Les mordus de l’USK en sont la deuxième victime.
Officiellement, les autorités ont prétexté des fissures signalées au niveau des tribunes qui constituent un danger pour le public.
Des Commissions préfectorales et régionales et même de la FRMF ont fait des études qui sont restées sans suite, même si des rumeurs ont circulé, du temps de Mhidiya qui était Wali de la Région de Rabat et qui est originaire de Sidi-Kacem, qui prédisaient une démolition totale des tribunes et leur remplacement par de nouvelles.
On a avancé même qu’un budget spécial a été affecté à cette fin.
Huit années sans que les choses bougent d’un iota, ce qui a ouvert le chemin aux interprétations qui pointent du doigt la mauvaise intention des autorités locales.
Les habitants de la ville de Sidi-Kacem ont longtemps souffert de la négligence de ces autorités locales à tous les niveaux : fermeture de la raffinerie du pétrole et d’autres entreprises qui ont fait la prospérité de la région, sans que cela soit remplacé par d’autres investissements.
Même la diaspora kacémie est inquiète du sort de la ville à l’image de ce SOS lancé par Najib Aboubakr, homme d’affaires kacémi installé à New-York.
Pour lui, il est inadmissible que le terrain reste fermé durant toutes ces années alors que la ville regorge de talents à qui on a fermé toutes les portes.
Depuis New-York il compte faire les démarches administratives auprès des services consulaires et envoyer des correspondances au Chef du gouvernement pour faire bouger les choses.
Il compte même faire le déplacement à Sidi-Kacem et demander des explications aux décideurs.
Officiellement, les autorités ont prétexté des fissures signalées au niveau des tribunes qui constituent un danger pour le public.
Des Commissions préfectorales et régionales et même de la FRMF ont fait des études qui sont restées sans suite, même si des rumeurs ont circulé, du temps de Mhidiya qui était Wali de la Région de Rabat et qui est originaire de Sidi-Kacem, qui prédisaient une démolition totale des tribunes et leur remplacement par de nouvelles.
On a avancé même qu’un budget spécial a été affecté à cette fin.
Huit années sans que les choses bougent d’un iota, ce qui a ouvert le chemin aux interprétations qui pointent du doigt la mauvaise intention des autorités locales.
Les habitants de la ville de Sidi-Kacem ont longtemps souffert de la négligence de ces autorités locales à tous les niveaux : fermeture de la raffinerie du pétrole et d’autres entreprises qui ont fait la prospérité de la région, sans que cela soit remplacé par d’autres investissements.
Même la diaspora kacémie est inquiète du sort de la ville à l’image de ce SOS lancé par Najib Aboubakr, homme d’affaires kacémi installé à New-York.
Pour lui, il est inadmissible que le terrain reste fermé durant toutes ces années alors que la ville regorge de talents à qui on a fermé toutes les portes.
Depuis New-York il compte faire les démarches administratives auprès des services consulaires et envoyer des correspondances au Chef du gouvernement pour faire bouger les choses.
Il compte même faire le déplacement à Sidi-Kacem et demander des explications aux décideurs.