Hilal Tayr, l’homme du maintien, n’entrainera plus le capitaine Metouali et ses coéquipiers.
C’est la nouvelle du jour : une décision du comité qui n’en explique même pas les raisons.
Est-ce le moment de ce limogeage lequel va faire plus de mal que du bien aux tangérois ?
De nouveau, le manque de transparence d’une gestion marquée par l’improvisation est pointé du doigt.
Il est certes que la dernière défaite de l’IRT à domicile (cette fois-ci à Tétouan) face à la modeste formation de Soualem a fait couler beaucoup d’encre.
Tout le monde est énervé et les accusations sont multiples. Déjà par-ci par-là les adhérents et les supporters parlent d’un avenir pessimiste de l’équipe au championnat qui pourrait ressembler à celui de la saison écoulée sans le miracle de la « remontada ».
Ceux qui ont assisté à la rencontre de Saniat Rmel savent bien que le onze aligné aurait pu faire mieux en dépit de l’absence des nouvelles recrues non qualifiées.
Un manque de combativité, une absence de motivation, une médiocre technique, une mauvaise condition physique, un football de quartier, étaient les principales caractéristiques d’une formation peu convaincante pourtant avec un public de plus de 60.000 personnes et un budget de 6 milliards de centimes.
Incroyable mais vrai, normalement, ces chiffres devaient émaner d’un grand club prétentieux jouant les premiers rôles.
A l’IRT, rien ne marche. Un vestiaire divisé, des clans constitués, des bagarres entre joueurs en pleins entrainements.
Face à la presse, le comité continue sa politique du silence. On dirait que rien ne se passait et tout est mieux dans le meilleur des mondes.
Les journalistes sportifs attendent avec impatience un point de presse du président pour avoir des explications car le mystère ne cesse de régner à la marche de l’équipe.
En parallèle avec cette confusion, Mohamed Cherkaoui a envoyé aux organes de presse sa photo de présentation d’un nouveau footballeur Saoud, ex MAT.
Maintenant, l’effectif comprend douze nouvelles recrues mais toutes non qualifiées.
Un autre problème est à l’ordre du jour : les entrainements des joueurs boycottés au terrain Ziaten pour le non règlement des salaires et des primes de signatures.
Ce samedi, l’expédition tangéroise s’envolera pour Berkane pour disputer la deuxième journée du championnat.
A vrai dire, personne ne sait dans quelle condition l’IRT évoluera avec un onze manquant de préparation et un entraineur-adjoint sur le banc de touche.
A l’heure où nous mettons sous presse, les pourparlers sont entamés avec Omar Najhi, ex MCO, pour remplacer Hilal Tayr.
C’est la nouvelle du jour : une décision du comité qui n’en explique même pas les raisons.
Est-ce le moment de ce limogeage lequel va faire plus de mal que du bien aux tangérois ?
De nouveau, le manque de transparence d’une gestion marquée par l’improvisation est pointé du doigt.
Il est certes que la dernière défaite de l’IRT à domicile (cette fois-ci à Tétouan) face à la modeste formation de Soualem a fait couler beaucoup d’encre.
Tout le monde est énervé et les accusations sont multiples. Déjà par-ci par-là les adhérents et les supporters parlent d’un avenir pessimiste de l’équipe au championnat qui pourrait ressembler à celui de la saison écoulée sans le miracle de la « remontada ».
Ceux qui ont assisté à la rencontre de Saniat Rmel savent bien que le onze aligné aurait pu faire mieux en dépit de l’absence des nouvelles recrues non qualifiées.
Un manque de combativité, une absence de motivation, une médiocre technique, une mauvaise condition physique, un football de quartier, étaient les principales caractéristiques d’une formation peu convaincante pourtant avec un public de plus de 60.000 personnes et un budget de 6 milliards de centimes.
Incroyable mais vrai, normalement, ces chiffres devaient émaner d’un grand club prétentieux jouant les premiers rôles.
A l’IRT, rien ne marche. Un vestiaire divisé, des clans constitués, des bagarres entre joueurs en pleins entrainements.
Face à la presse, le comité continue sa politique du silence. On dirait que rien ne se passait et tout est mieux dans le meilleur des mondes.
Les journalistes sportifs attendent avec impatience un point de presse du président pour avoir des explications car le mystère ne cesse de régner à la marche de l’équipe.
En parallèle avec cette confusion, Mohamed Cherkaoui a envoyé aux organes de presse sa photo de présentation d’un nouveau footballeur Saoud, ex MAT.
Maintenant, l’effectif comprend douze nouvelles recrues mais toutes non qualifiées.
Un autre problème est à l’ordre du jour : les entrainements des joueurs boycottés au terrain Ziaten pour le non règlement des salaires et des primes de signatures.
Ce samedi, l’expédition tangéroise s’envolera pour Berkane pour disputer la deuxième journée du championnat.
A vrai dire, personne ne sait dans quelle condition l’IRT évoluera avec un onze manquant de préparation et un entraineur-adjoint sur le banc de touche.
A l’heure où nous mettons sous presse, les pourparlers sont entamés avec Omar Najhi, ex MCO, pour remplacer Hilal Tayr.