Le Raja de Casablanca a réalisé l’essentiel en battant, en finale de la Coupe Mohammed VI des clubs arabes champions, le club Ismaïly, représentant d’Égypte, au Complexe sportif Prince Moulay Abdallah de Rabat sur le score sans appel de 3-0 ; les buts rajaouis ont été signés Mohcine Mitouali, Ben Malongo et enfin Mahmoud Benhalib respectivement aux 60’ sur penalty, 67’ et 86’.
Hicham Aboucharouan… porte bonheur
Vaincu à l’aller par un but à zéro, les Rajouis ne pouvaient laisser passer l’occasion d’enjamber un adversaire qu’ils auraient pu battre à l’aller chez lui. En effet, les hommes de Hicham Aboucharouan, promu le temps d’une soirée footballistique au grade de coach à part entière, avait, comme il l’a déclaré en fin de partie, été en concertation continuelle avec le coach attitré, Jamal Sellam. Hicham Aboucharouan avait hérité ce poste de manière inattendue lorsque Jamal Sellami avait été frappé par le Coronavirus ainsi que son adjoint, Mohamed Bekkari.
La mission de l’ailier gauche des Verts n’était pas de tout repos puisqu’elle met l’enfant de Laâounate au devant d’une lourde responsabilité. Celle de conduire le Raja vers la finale de la coupe arabe des clubs et partant profiter de la coquette somme de 6millions de dollars qui réglerait moult problèmes qui hanteraient les rêves et des joueurs et des comités. Le Prize Money pourraient être la planche de salut qui donnerait un bol d’oxygène au club et mettre ainsi fin à beaucoup de tourments. Et pourtant. Cela n’a pas démarré sous de bons auspices pour les coéquipiers de Mohcine Mitouali ce dernier, tout au long du premier acte, pratiquement, raté tout ce qu’il entreprenant. Le Raja a entamé ce premier half en se cherchant. En face, Al Ismaïly s’est montré bien planté sur ses jambes. Il a rempli le milieu de terrain laissant le Raja venir et, partant, jaillir pour aller surprendre les Casablancais et leurs mettre le but du KO. Car si Al Ismaïly avait marqué, cela aurait anéanti tous les espoirs des Marocains. Cela avait duré 45 minutes, toute une mi-temps !
Le Raja renverse la table !
De retour des vestiaires, les choses semblaient bouger dans le sens voulu par le Raja. 60’, une échappée de l’insaisissable Soufiane Rahimi échappa au contrôle de son garde-chiourme et se fait faucher dans la surface de réparation. L’arbitre de la partie, l’Irakien Mouhanad Kacem Sari, sans hésiter, indiqua le point de penalty que Mitouali transforma imparablement. 7 minutes après, le Raja dans sa lancée partit à l’abordage des bois gardés par l’excellent Mohamed Sobhi. Un centre tendu de l’étoile montante du football marocain, Abdelilah Madkour, et le cuire trouva la tête de qui vous savez, Ben Malongo qui fusilla le portier égyptien à bout portant.
A 4 minutes de la fin, une combinaison Malongo-Jbira-Rahimi permit à ce dernier de se faufiler sur le côté gauche et glisser un beau ballon à Benhalib qui sortit de nulle part et porter l’estocade au club de l’Ismaïlia et porte ainsi son club vers la finale tant attendue.
A 3-0 la messe était bien dite. Le Raja est à 90 miniutes du bonheur.
Sellami-Aboucharouane : complicité à toute épreuve
Hicham Aboucharouan… porte bonheur
Vaincu à l’aller par un but à zéro, les Rajouis ne pouvaient laisser passer l’occasion d’enjamber un adversaire qu’ils auraient pu battre à l’aller chez lui. En effet, les hommes de Hicham Aboucharouan, promu le temps d’une soirée footballistique au grade de coach à part entière, avait, comme il l’a déclaré en fin de partie, été en concertation continuelle avec le coach attitré, Jamal Sellam. Hicham Aboucharouan avait hérité ce poste de manière inattendue lorsque Jamal Sellami avait été frappé par le Coronavirus ainsi que son adjoint, Mohamed Bekkari.
La mission de l’ailier gauche des Verts n’était pas de tout repos puisqu’elle met l’enfant de Laâounate au devant d’une lourde responsabilité. Celle de conduire le Raja vers la finale de la coupe arabe des clubs et partant profiter de la coquette somme de 6millions de dollars qui réglerait moult problèmes qui hanteraient les rêves et des joueurs et des comités. Le Prize Money pourraient être la planche de salut qui donnerait un bol d’oxygène au club et mettre ainsi fin à beaucoup de tourments. Et pourtant. Cela n’a pas démarré sous de bons auspices pour les coéquipiers de Mohcine Mitouali ce dernier, tout au long du premier acte, pratiquement, raté tout ce qu’il entreprenant. Le Raja a entamé ce premier half en se cherchant. En face, Al Ismaïly s’est montré bien planté sur ses jambes. Il a rempli le milieu de terrain laissant le Raja venir et, partant, jaillir pour aller surprendre les Casablancais et leurs mettre le but du KO. Car si Al Ismaïly avait marqué, cela aurait anéanti tous les espoirs des Marocains. Cela avait duré 45 minutes, toute une mi-temps !
Le Raja renverse la table !
De retour des vestiaires, les choses semblaient bouger dans le sens voulu par le Raja. 60’, une échappée de l’insaisissable Soufiane Rahimi échappa au contrôle de son garde-chiourme et se fait faucher dans la surface de réparation. L’arbitre de la partie, l’Irakien Mouhanad Kacem Sari, sans hésiter, indiqua le point de penalty que Mitouali transforma imparablement. 7 minutes après, le Raja dans sa lancée partit à l’abordage des bois gardés par l’excellent Mohamed Sobhi. Un centre tendu de l’étoile montante du football marocain, Abdelilah Madkour, et le cuire trouva la tête de qui vous savez, Ben Malongo qui fusilla le portier égyptien à bout portant.
A 4 minutes de la fin, une combinaison Malongo-Jbira-Rahimi permit à ce dernier de se faufiler sur le côté gauche et glisser un beau ballon à Benhalib qui sortit de nulle part et porter l’estocade au club de l’Ismaïlia et porte ainsi son club vers la finale tant attendue.
A 3-0 la messe était bien dite. Le Raja est à 90 miniutes du bonheur.
Sellami-Aboucharouane : complicité à toute épreuve
Même si Jamal Sellami ne fait pas l’unanimité au sein de l’inconditionnel public du Raja, sa maladie subite et son atteinte par la Covid-19 a été un véritable coup de massue. Quel que soit ses défauts abandonner comme ça ses joueurs avait plongé les supporters des Verts dans le désarroi. Mais Hicham Aboucharouane s’est bien acquitté de sa tâche. Dans une déclaration d’après-match, il n’a pas hésité à déclarer qu’il se concerté avec Sellami pour tout ce qu’il y avait à faire. En d’autres termes, la complicité est bien présente, même si elle n’est pas apparente.