Il devient indispensable de dépassionner la décision de faire rejouer le match DHJ-RCA. On joue au football : Un football structuré, organisé, règlementé et institutionnalisé. Ce football est géré par des humains. Les humains sont faillibles. Ils peuvent se tromper. Mais les humains, heureusement, ont également la faculté de se remettre en question, de rectifier le tir et de se reprendre pour continuer !
Une « fausse » affaire !
Cette affaire n’aurait pas dû exister dès le début si la Ligue Professionnelle avait géré la programmation comme elle aurait dû le faire, rien qu’en respectant les textes comme points de repère. Le Raja était en déplacement à l’étranger. Pourquoi alors avoir programmé le match DHJ-RCA à une date et à un horaire non conforme à la législation en vigueur ? Une législation dont la formulation est précise : Le chapitre 23 des Règlements Généraux du statut des compétitions accorde à tout club participant à une compétition internationale organisée à l’étranger un délai de trois jours révolus la programmation de son prochain match du championnat national.
La Ligue Professionnelle responsable !
Le contrevenant n’est pas le Raja mais la Ligue Professionnelle qui bien qu’ayant constaté son erreur à tarder à revoir sa position laissant trainer et pourrir l’affaire. Pire, elle a laissé planer le doute et l’ambiguïté alimentant et générant trop de passion autour d’une fausse affaire jusqu’au point d’être à l’origine d’une sorte de guerre médiatique via réseaux sociaux et communiqués de presse entres les différents clans intéressés par le résultat de ce match.
Une décision différemment accueillie !
Le Raja est bien sûr satisfait de la décision. Le DHJ n’est pas du même avis. Dès l’annonce de la décision de rejouer le match, le DHJ a rejeté la décision et a déclaré qu’il ferait le nécessaire pour défendre légalement les intérêts du club. Le club s’est constitué comme partie prenante dans cette affaire, ce qui n’a pas été le cas avant la prise de la décision de la reprogrammation du match.
Vivement le 27 juillet !
Ni le Raja ni le Diffaâ ne sont responsables de la tournure fâcheuse des évènements en relation avec cette énième casserole fédérale qui fait trop de bruit et dont on aurait pu se passer avec un peu de professionnalisme du côté de la Ligue Professionnalisme et de sa marraine la FRMF. Vivement le 27 juillet pour clore ce dossier et passer à autre chose !
Une « fausse » affaire !
Cette affaire n’aurait pas dû exister dès le début si la Ligue Professionnelle avait géré la programmation comme elle aurait dû le faire, rien qu’en respectant les textes comme points de repère. Le Raja était en déplacement à l’étranger. Pourquoi alors avoir programmé le match DHJ-RCA à une date et à un horaire non conforme à la législation en vigueur ? Une législation dont la formulation est précise : Le chapitre 23 des Règlements Généraux du statut des compétitions accorde à tout club participant à une compétition internationale organisée à l’étranger un délai de trois jours révolus la programmation de son prochain match du championnat national.
La Ligue Professionnelle responsable !
Le contrevenant n’est pas le Raja mais la Ligue Professionnelle qui bien qu’ayant constaté son erreur à tarder à revoir sa position laissant trainer et pourrir l’affaire. Pire, elle a laissé planer le doute et l’ambiguïté alimentant et générant trop de passion autour d’une fausse affaire jusqu’au point d’être à l’origine d’une sorte de guerre médiatique via réseaux sociaux et communiqués de presse entres les différents clans intéressés par le résultat de ce match.
Une décision différemment accueillie !
Le Raja est bien sûr satisfait de la décision. Le DHJ n’est pas du même avis. Dès l’annonce de la décision de rejouer le match, le DHJ a rejeté la décision et a déclaré qu’il ferait le nécessaire pour défendre légalement les intérêts du club. Le club s’est constitué comme partie prenante dans cette affaire, ce qui n’a pas été le cas avant la prise de la décision de la reprogrammation du match.
Vivement le 27 juillet !
Ni le Raja ni le Diffaâ ne sont responsables de la tournure fâcheuse des évènements en relation avec cette énième casserole fédérale qui fait trop de bruit et dont on aurait pu se passer avec un peu de professionnalisme du côté de la Ligue Professionnalisme et de sa marraine la FRMF. Vivement le 27 juillet pour clore ce dossier et passer à autre chose !
Abderrahmane KITABRI