Contrairement à ce que laisse entendre un enregistrement audio anonyme circulant sur les réseaux sociaux, les fraises marocaines ne sont pas à l’origine de cas d’hépatite A, selon un communiqué de l’ONSSA. Laquelle précise qu'aucun indice de contamination n’a été constaté par le réseau d'alerte rapide européen pour l'alimentation humaine et animale.
L'ONSSA a également souligné que les exportations marocaines respectent des normes strictes en matière de qualité, de sécurité sanitaire et phytosanitaire des aliments, sous le contrôle des organismes nationaux et internationaux compétents.
Rien qu'en 2024, 48 600 certificats phytosanitaires ont été délivrés, permettant l’exportation de près de 160 000 tonnes de fraises, framboises, myrtilles et mûres vers des marchés exigeants tels que l’Union européenne, l’Asie, la Russie, le Canada, les États-Unis et l’Afrique, ajoute la même source.
L’ONSSA a rassuré sur les efforts de contrôle déployés pour garantir le respect des normes de sécurité alimentaire en vigueur. "Chaque année, un plan national de contrôle est mis en place durant la campagne de production et de commercialisation. En 2024, près de 700 échantillons prélevés dans les champs, les stations de conditionnement et la grande distribution ont confirmé la conformité des produits en termes de résidus de pesticides et de critères microbiologiques (absence de salmonelles, coliformes fécaux, Escherichia coli, hépatite A et norovirus)", a affirmé l’ONSSA.
De plus, la filière des fruits rouges bénéficie, ajoute l’ONSSA, d’un suivi sanitaire renforcé, reconnu à l’international. Elle a rappelé, à cet égard, que " l’Union européenne a mené un audit en 2023 sur le contrôle des contaminations microbiologiques des fruits rouges exportés vers l’UE. Cet audit a confirmé la qualité irréprochable des fruits rouges marocains", précise la même source.
Appelant à faire preuve de vigilance face aux rumeurs qui ne proviennent pas de sources compétentes, l’ONSSA a assuré de sa mobilisation pour garantir la qualité et la sécurité des fraises marocaines.
“La fraise marocaine est un véritable trésor gastronomique, reconnue mondialement pour sa qualité exceptionnelle, sa saveur sucrée et son arôme envoûtant. Cultivée sous un climat idéal et selon des normes rigoureuses, elle séduit aussi bien les consommateurs locaux qu’internationaux. En plus d’être délicieuse, elle est riche en vitamines et en antioxydants, faisant d’elle un allié parfait pour une alimentation saine et équilibrée”, a-t-elle rappelé, encourageant les consommateurs à soutenir une production durable.
Pour rappel, l’année dernière, les autorités européennes ont indiqué avoir détecté des traces d’hépatite A dans ces fruits. Cependant, les analyses effectuées par l’ONSSA ont révélé que les fraises ne contenaient ni le virus de l'hépatite A, ni le norovirus. De plus, les analyses effectuées sur les eaux souterraines ont conclu qu’aucune contamination n'a été détectée autour de la zone de production, selon l’ONSSA.
L'ONSSA a également souligné que les exportations marocaines respectent des normes strictes en matière de qualité, de sécurité sanitaire et phytosanitaire des aliments, sous le contrôle des organismes nationaux et internationaux compétents.
Rien qu'en 2024, 48 600 certificats phytosanitaires ont été délivrés, permettant l’exportation de près de 160 000 tonnes de fraises, framboises, myrtilles et mûres vers des marchés exigeants tels que l’Union européenne, l’Asie, la Russie, le Canada, les États-Unis et l’Afrique, ajoute la même source.
L’ONSSA a rassuré sur les efforts de contrôle déployés pour garantir le respect des normes de sécurité alimentaire en vigueur. "Chaque année, un plan national de contrôle est mis en place durant la campagne de production et de commercialisation. En 2024, près de 700 échantillons prélevés dans les champs, les stations de conditionnement et la grande distribution ont confirmé la conformité des produits en termes de résidus de pesticides et de critères microbiologiques (absence de salmonelles, coliformes fécaux, Escherichia coli, hépatite A et norovirus)", a affirmé l’ONSSA.
De plus, la filière des fruits rouges bénéficie, ajoute l’ONSSA, d’un suivi sanitaire renforcé, reconnu à l’international. Elle a rappelé, à cet égard, que " l’Union européenne a mené un audit en 2023 sur le contrôle des contaminations microbiologiques des fruits rouges exportés vers l’UE. Cet audit a confirmé la qualité irréprochable des fruits rouges marocains", précise la même source.
Appelant à faire preuve de vigilance face aux rumeurs qui ne proviennent pas de sources compétentes, l’ONSSA a assuré de sa mobilisation pour garantir la qualité et la sécurité des fraises marocaines.
“La fraise marocaine est un véritable trésor gastronomique, reconnue mondialement pour sa qualité exceptionnelle, sa saveur sucrée et son arôme envoûtant. Cultivée sous un climat idéal et selon des normes rigoureuses, elle séduit aussi bien les consommateurs locaux qu’internationaux. En plus d’être délicieuse, elle est riche en vitamines et en antioxydants, faisant d’elle un allié parfait pour une alimentation saine et équilibrée”, a-t-elle rappelé, encourageant les consommateurs à soutenir une production durable.
Pour rappel, l’année dernière, les autorités européennes ont indiqué avoir détecté des traces d’hépatite A dans ces fruits. Cependant, les analyses effectuées par l’ONSSA ont révélé que les fraises ne contenaient ni le virus de l'hépatite A, ni le norovirus. De plus, les analyses effectuées sur les eaux souterraines ont conclu qu’aucune contamination n'a été détectée autour de la zone de production, selon l’ONSSA.
