"Nous ne sommes pas près d'un accord, ce qui signifie que nous ne voyons pas les deux parties converger vers un langage susceptible de résoudre le désaccord actuel sur la mise en oeuvre d'un accord", a déclaré Majed al-Ansari lors d'une conférence de presse, ajoutant que les pourparlers entre les parties se poursuivaient, après un peu plus de cinq mois depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas.
En dépit de nouvelles discussions début mars au Caire, les trois pays médiateurs -- Etats-Unis, Qatar et Egypte -- ne sont pas parvenus à arracher un accord de trêve accompagné d'une libération des otages retenus à Gaza depuis le début de la guerre.
Toutes les parties "continuent à oeuvrer dans le cadre des négociations pour parvenir à un accord, espérons-le, pendant le ramadan", débuté cette semaine et qui dure un mois, a déclaré M. Ansari. Il a toutefois ajouté ne pas être en mesure de "proposer de calendrier" pour un accord de trêve, soulignant que le conflit restait "très compliqué sur le terrain".
La guerre a été déclenchée le 7 octobre par une attaque d'une ampleur sans précédent menée par des commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza dans le sud d'Israël, qui a entraîné la mort d'au moins 1.160 personnes, la plupart des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de sources officielles israéliennes.
En représailles, Israël a promis d'anéantir le mouvement islamiste, au pouvoir à Gaza depuis 2007, qu'il considère comme une organisation terroriste de même que les Etats-Unis et l'Union européenne. Son armée a lancé une offensive qui a fait jusqu'à présent 31.184 morts dans la bande de Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.
Selon Israël, 130 otages se trouvent encore à Gaza, dont 31 seraient morts, sur environ 250 personnes enlevées le 7 octobre. Une trêve fin novembre avait permis la libération de 105 personnes en échange de 240 prisonniers palestiniens.
En dépit de nouvelles discussions début mars au Caire, les trois pays médiateurs -- Etats-Unis, Qatar et Egypte -- ne sont pas parvenus à arracher un accord de trêve accompagné d'une libération des otages retenus à Gaza depuis le début de la guerre.
Toutes les parties "continuent à oeuvrer dans le cadre des négociations pour parvenir à un accord, espérons-le, pendant le ramadan", débuté cette semaine et qui dure un mois, a déclaré M. Ansari. Il a toutefois ajouté ne pas être en mesure de "proposer de calendrier" pour un accord de trêve, soulignant que le conflit restait "très compliqué sur le terrain".
La guerre a été déclenchée le 7 octobre par une attaque d'une ampleur sans précédent menée par des commandos du Hamas infiltrés depuis Gaza dans le sud d'Israël, qui a entraîné la mort d'au moins 1.160 personnes, la plupart des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de sources officielles israéliennes.
En représailles, Israël a promis d'anéantir le mouvement islamiste, au pouvoir à Gaza depuis 2007, qu'il considère comme une organisation terroriste de même que les Etats-Unis et l'Union européenne. Son armée a lancé une offensive qui a fait jusqu'à présent 31.184 morts dans la bande de Gaza, en majorité des civils, selon le ministère de la Santé du Hamas.
Selon Israël, 130 otages se trouvent encore à Gaza, dont 31 seraient morts, sur environ 250 personnes enlevées le 7 octobre. Une trêve fin novembre avait permis la libération de 105 personnes en échange de 240 prisonniers palestiniens.