Eu égard à la nature du voisinage du Maroc et en prévision de cette décision, les dispositions nécessaires ont été prises pour assurer la continuité de l'alimentation du pays en électricité, ont précisé les deux Offices dans un communiqué.
D'autres options sont en cours d'étude pour des alternatives durables, à moyen et long termes, précise-t-on.
Rappelons qu’à quelques heures de l’expiration du contrat gazoduc entre le Maroc et l'Algérie, ce dimanche 31 octobre à minuit, le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a mis fin à cet accord en vigueur depuis 25 ans. Une décision qui intervient après le vote de la résolution du Conseil de Sécurité, prorogeant pour une année le mandat de la MINURSO, tout en consacrant la prééminence de l’initiative marocaine d’autonomie.
« Aujourd’hui, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a reçu un rapport sur le contrat liant la société nationale Sonatrach à l’Office marocain de l’électricité et de l’eau, daté du 31 juillet 2011, et qui prend fin aujourd’hui, 31 octobre 2021, à minuit », a indiqué la présidence algérienne qui justifie la décision de ne pas renouveler ce contrat par les « pratiques agressives » du Maroc à l’égard de l’Algérie.
À travers leur décision, le régime algérien cherche à retirer au Maroc une manne gazière que le Royaume recevait en nature en tant que droits de transit. Or, le non-renouvellement du contrat du gazoduc Maghreb-Europe est en réalité plus préjudiciable pour l’Algérie puisqu’elle sera obligée de s’appuyer sur le Med Gaz qui alimente directement l’Espagne, mais qui a une capacité limitée à 8 milliards de m3 par an, alors que le Gazoduc Maghreb-Europe (GME) pouvait faire transiter jusqu’à 13 milliards. Les deux gazoducs constituaient une capacité globale de transport de plus de 20 milliards de m3, laquelle capacité sera dorénavant réduite de deux tiers.
D'autres options sont en cours d'étude pour des alternatives durables, à moyen et long termes, précise-t-on.
Rappelons qu’à quelques heures de l’expiration du contrat gazoduc entre le Maroc et l'Algérie, ce dimanche 31 octobre à minuit, le président algérien, Abdelmadjid Tebboune, a mis fin à cet accord en vigueur depuis 25 ans. Une décision qui intervient après le vote de la résolution du Conseil de Sécurité, prorogeant pour une année le mandat de la MINURSO, tout en consacrant la prééminence de l’initiative marocaine d’autonomie.
« Aujourd’hui, le président de la République, Abdelmadjid Tebboune, a reçu un rapport sur le contrat liant la société nationale Sonatrach à l’Office marocain de l’électricité et de l’eau, daté du 31 juillet 2011, et qui prend fin aujourd’hui, 31 octobre 2021, à minuit », a indiqué la présidence algérienne qui justifie la décision de ne pas renouveler ce contrat par les « pratiques agressives » du Maroc à l’égard de l’Algérie.
À travers leur décision, le régime algérien cherche à retirer au Maroc une manne gazière que le Royaume recevait en nature en tant que droits de transit. Or, le non-renouvellement du contrat du gazoduc Maghreb-Europe est en réalité plus préjudiciable pour l’Algérie puisqu’elle sera obligée de s’appuyer sur le Med Gaz qui alimente directement l’Espagne, mais qui a une capacité limitée à 8 milliards de m3 par an, alors que le Gazoduc Maghreb-Europe (GME) pouvait faire transiter jusqu’à 13 milliards. Les deux gazoducs constituaient une capacité globale de transport de plus de 20 milliards de m3, laquelle capacité sera dorénavant réduite de deux tiers.