L’espace numérique est en pleine expansion, aussi bien sur le plan technologique que sur celui des enjeux induits, le cyberespace s’est érigé en théâtre de conflictualité à part entière et en champ d’expression des relations internationales. Les conséquences humaines et économiques d’attaques de grande ampleur ou judicieusement ciblées pourraient en effet s’avérer catastrophiques.
Google s’est associé à la structure du Conseil sud-africain Impact Amplifier et à l’entreprise de protection de données Data and Security Installations (DSI) du Royaume-Uni pour lancer un appel à candidatures au programme de financement « Africa Online Safety Fund ». D’un montant d’un million de dollars, ce programme a pour vocation de soutenir les projets innovants en matière de sécurité internet en Afrique.
Ledit programme concerne toutes les initiatives africaines qui apportent des solutions aux enjeux de la cybersécurité qui pèsent sur la planète. Il est désormais ouvert face à tous les candidats jusqu’au 21 août, avec une priorité accordée à certains pays subsahariens, à savoir le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Kenya, le Nigeria, l’Afrique du Sud et l’Ethiopie.
Les thématiques tournent autour des problèmes d’escroqueries financières, de désinformation, de vol d’identité, d’intimidation et de harcèlement, de trafic sexuel, de crimes haineux, de recrutement et de promotion terroristes. Par ailleurs, le programme accordera plus d’attention aux solutions de protection en ligne des enfants et des femmes. Il s’agit de la catégorie la plus ciblée à cet égard.
Au maximum, une somme de 100.000 dollars sera attribuée aux initiatives ayant un impact géographique large, hormis un montant qui ne dépasse pas les 10.000 dollars qui sera alloué à chacune ayant un impact au niveau local. Il est à noter que les principaux critères d’éligibilité comprennent l’innovation et la capacité de développement, l’impact social, le potentiel de succès, la rentabilité et la durabilité.
Rappelons que l’entrée de l’Afrique dans l’ère numérique est une réalité incontestable. En effet, sur les trois indicateurs adoptés à l’échelle internationale, les chiffres réalisés par le continent sont prometteurs. Ainsi, en à peine quelques années, le taux d’accès de la population à Internet a enregistré une avancée exponentielle. Au 30 juin 2019, ce taux atteignait 39,8% alors qu’il n’était que de 5% en 2007, la moyenne mondiale étant de 57,3%.
Tous les acteurs de la transformation numérique, du secteur public ou privé, sont appelés à déposer leurs candidatures. Cela exclut les candidatures faites à titre individuel.
Google s’est associé à la structure du Conseil sud-africain Impact Amplifier et à l’entreprise de protection de données Data and Security Installations (DSI) du Royaume-Uni pour lancer un appel à candidatures au programme de financement « Africa Online Safety Fund ». D’un montant d’un million de dollars, ce programme a pour vocation de soutenir les projets innovants en matière de sécurité internet en Afrique.
Ledit programme concerne toutes les initiatives africaines qui apportent des solutions aux enjeux de la cybersécurité qui pèsent sur la planète. Il est désormais ouvert face à tous les candidats jusqu’au 21 août, avec une priorité accordée à certains pays subsahariens, à savoir le Sénégal, la Côte d’Ivoire, le Kenya, le Nigeria, l’Afrique du Sud et l’Ethiopie.
Les thématiques tournent autour des problèmes d’escroqueries financières, de désinformation, de vol d’identité, d’intimidation et de harcèlement, de trafic sexuel, de crimes haineux, de recrutement et de promotion terroristes. Par ailleurs, le programme accordera plus d’attention aux solutions de protection en ligne des enfants et des femmes. Il s’agit de la catégorie la plus ciblée à cet égard.
Au maximum, une somme de 100.000 dollars sera attribuée aux initiatives ayant un impact géographique large, hormis un montant qui ne dépasse pas les 10.000 dollars qui sera alloué à chacune ayant un impact au niveau local. Il est à noter que les principaux critères d’éligibilité comprennent l’innovation et la capacité de développement, l’impact social, le potentiel de succès, la rentabilité et la durabilité.
Rappelons que l’entrée de l’Afrique dans l’ère numérique est une réalité incontestable. En effet, sur les trois indicateurs adoptés à l’échelle internationale, les chiffres réalisés par le continent sont prometteurs. Ainsi, en à peine quelques années, le taux d’accès de la population à Internet a enregistré une avancée exponentielle. Au 30 juin 2019, ce taux atteignait 39,8% alors qu’il n’était que de 5% en 2007, la moyenne mondiale étant de 57,3%.
Tous les acteurs de la transformation numérique, du secteur public ou privé, sont appelés à déposer leurs candidatures. Cela exclut les candidatures faites à titre individuel.
Siham MDIJI