
Le voyage à l'intérieur du corps humain est désormais possible grâce à une petite capsule que l'on avale, une révolution en imagerie médicale.
De la taille d’une pilule, cette capsule contient une caméra miniature, une source lumineuse et un émetteur sans fil.
Une fois ingérée, elle traverse le tube digestif en capturant des milliers d’images haute définition.
Dépourvue de fils, elle offre une alternative non invasive aux endoscopies classiques.
Son passage permet d'explorer l'œsophage, l'estomac, l'intestin grêle et parfois même le côlon.
Elle est particulièrement utile pour détecter des saignements occultes, des lésions muqueuses, des polypes ou des maladies inflammatoires chroniques comme la maladie de Crohn.
Les images sont transmises à un récepteur porté par le patient, puis analysées par le médecin.
En quelques heures, un diagnostic plus précis peut être posé.
Contrairement aux endoscopies traditionnelles, cette technologie est indolore et ne nécessite pas d’anesthésie.
Son principal inconvénient est l’absence de possibilité d’intervention : elle observe mais ne peut pas traiter.
Toutefois, des capsules avancées sont en cours de développement, intégrant des fonctionnalités thérapeutiques, comme la libération de médicaments ciblés.
À terme, elles pourraient remplacer certaines procédures invasives et même effectuer des biopsies miniaturisées.
En radiologie et en oncologie, elles ouvrent de nouvelles perspectives pour le dépistage précoce du cancer digestif.
L’intelligence artificielle joue un rôle clé dans l’analyse des images, réduisant le temps de diagnostic et améliorant la précision.
En comparaison avec les méthodes classiques, la capsule endoscopique permet une exploration plus complète de l’intestin grêle, souvent mal accessible.
Son utilisation se démocratise progressivement, bien que son coût reste un frein dans certains pays.
Elle pourrait être un outil de dépistage de masse, notamment dans la prévention du cancer colorectal.
Les chercheurs travaillent sur des capsules contrôlables à distance, permettant une exploration plus ciblée.
À l’avenir, elles pourraient détecter des anomalies à un stade précoce, avant même l’apparition des premiers symptômes.
De la taille d’une pilule, cette capsule contient une caméra miniature, une source lumineuse et un émetteur sans fil.
Une fois ingérée, elle traverse le tube digestif en capturant des milliers d’images haute définition.
Dépourvue de fils, elle offre une alternative non invasive aux endoscopies classiques.
Son passage permet d'explorer l'œsophage, l'estomac, l'intestin grêle et parfois même le côlon.
Elle est particulièrement utile pour détecter des saignements occultes, des lésions muqueuses, des polypes ou des maladies inflammatoires chroniques comme la maladie de Crohn.
Les images sont transmises à un récepteur porté par le patient, puis analysées par le médecin.
En quelques heures, un diagnostic plus précis peut être posé.
Contrairement aux endoscopies traditionnelles, cette technologie est indolore et ne nécessite pas d’anesthésie.
Son principal inconvénient est l’absence de possibilité d’intervention : elle observe mais ne peut pas traiter.
Toutefois, des capsules avancées sont en cours de développement, intégrant des fonctionnalités thérapeutiques, comme la libération de médicaments ciblés.
À terme, elles pourraient remplacer certaines procédures invasives et même effectuer des biopsies miniaturisées.
En radiologie et en oncologie, elles ouvrent de nouvelles perspectives pour le dépistage précoce du cancer digestif.
L’intelligence artificielle joue un rôle clé dans l’analyse des images, réduisant le temps de diagnostic et améliorant la précision.
En comparaison avec les méthodes classiques, la capsule endoscopique permet une exploration plus complète de l’intestin grêle, souvent mal accessible.
Son utilisation se démocratise progressivement, bien que son coût reste un frein dans certains pays.
Elle pourrait être un outil de dépistage de masse, notamment dans la prévention du cancer colorectal.
Les chercheurs travaillent sur des capsules contrôlables à distance, permettant une exploration plus ciblée.
À l’avenir, elles pourraient détecter des anomalies à un stade précoce, avant même l’apparition des premiers symptômes.