L'Assemblée générale de l'ONU a adopté, le 24 février, une résolution plaidant en faveur d'une paix durable entre l'Ukraine et la Russie. Ce texte proposé par l'Ukraine et ses alliées est en gros favorable à Kiev dont il appelle à respecter l'intégrité territoriale et condamne l'invasion russe. 93 pays ont voté pour tandis que 18 , dont les Etats-Unis et la Russie s'y sont opposés. La Chine et 84 autres Etats se sont abstenus.
Pour sa part, le Maroc n'a pas pris part au vote . Le délégation marocaine a ainsi agi de la même façon lors du vote de la première résolution onusienne sur le conflit russo-ukrainien qui avait condamné la Russie le 2 mars 2022. Le ministère des Affaires étrangères avait ensuite explicité la position marocaine en réaffirmant l'attachement du Royaume à la souveraineté et l'intégrité territoriale des Etats et au règlement pacifique des différends.
Puis, le Maroc avait voté quelques résolutions onusiennes favorables à l'Ukraine comme celle votée par l'Assemblée générale, le 12 octobre 2022, et qui invalidait l'annexion des territoires ukrainiens par la Russie. Le Royaume a également voté, le 23 février 2023, pour une résolution appelant au retrait des troupes russes.
Depuis le déclenchement de cette guerre meurtrière, le Maroc est resté neutre tout en veillant à rester à équidistance avec les deux belligérants. Entre-temps, Rabat et Kiev se sont rapprochés visiblement notamment lors de la visite de l'ancien ministre ukrainien, Dmytro Kuleba, à Rabat où il avait annoncé le soutien de son pays au plan d'autonomie pour le Sahara.
Acculée, l'Ukraine se retrouve aujourd'hui dans une situation difficile après avoir manifestement perdu le soutien des Etats Unis, dont la nouvelle administration cherche à mettre fin au conflit en négociant directement avec la Russie. Les discussions ont d'ores et déjà commencé en Arabie Saoudite.
Le président américain, Donald Trump, semble disposé à conclure un accord de paix avec son homologue russe sur la base de la réalité du terrain quitte à pousser l'Ukraine à abandonner les territoires conquis par les troupes russes.
Washington, rappelons-le, a fait adopter, lundi, une résolution réclamant une fin rapide du conflit et une paix durable entre l'Ukraine et la Fédération de Russie. Un texte voté également par Moscou.
Pour sa part, le Maroc n'a pas pris part au vote . Le délégation marocaine a ainsi agi de la même façon lors du vote de la première résolution onusienne sur le conflit russo-ukrainien qui avait condamné la Russie le 2 mars 2022. Le ministère des Affaires étrangères avait ensuite explicité la position marocaine en réaffirmant l'attachement du Royaume à la souveraineté et l'intégrité territoriale des Etats et au règlement pacifique des différends.
Puis, le Maroc avait voté quelques résolutions onusiennes favorables à l'Ukraine comme celle votée par l'Assemblée générale, le 12 octobre 2022, et qui invalidait l'annexion des territoires ukrainiens par la Russie. Le Royaume a également voté, le 23 février 2023, pour une résolution appelant au retrait des troupes russes.
Depuis le déclenchement de cette guerre meurtrière, le Maroc est resté neutre tout en veillant à rester à équidistance avec les deux belligérants. Entre-temps, Rabat et Kiev se sont rapprochés visiblement notamment lors de la visite de l'ancien ministre ukrainien, Dmytro Kuleba, à Rabat où il avait annoncé le soutien de son pays au plan d'autonomie pour le Sahara.
Acculée, l'Ukraine se retrouve aujourd'hui dans une situation difficile après avoir manifestement perdu le soutien des Etats Unis, dont la nouvelle administration cherche à mettre fin au conflit en négociant directement avec la Russie. Les discussions ont d'ores et déjà commencé en Arabie Saoudite.
Le président américain, Donald Trump, semble disposé à conclure un accord de paix avec son homologue russe sur la base de la réalité du terrain quitte à pousser l'Ukraine à abandonner les territoires conquis par les troupes russes.
Washington, rappelons-le, a fait adopter, lundi, une résolution réclamant une fin rapide du conflit et une paix durable entre l'Ukraine et la Fédération de Russie. Un texte voté également par Moscou.
