Seules les sociétés financières et non financières accaparent 43,7% de la richesse nationale et ont absorbé 15,2% du revenu national brut disponible, indique le HCP, rappelant que les administrations publiques ont contribué à hauteur de 15,3% au PIB en 2019, contre 15,1% l’année précédente.
De leur côté, les ménages et les institutions à but non lucratif au service des ménages (ISBLSM) ont contribué de 29,3% à la richesse nationale avec une part de 62,6% du revenu national brut disponible. Ces derniers constituent 29,8% de l’épargne nationale et 26% de l’investissement. Par ailleurs, dans un contexte de maîtrise de l’inflation, le pouvoir d’achat s’est amélioré de 2,6%, précise la même source.
S’agissant de l’épargne nationale, elle a connu une hausse de 4% par rapport à 2018, en se situant à 320,1 milliards de DH en 2019. Les sociétés financières et non financières y ont contribué à hauteur de 56,3%, les ménages et le tissu associatif pour 29,8% et les administrations publiques pour 13,9%. Cette amélioration de l’Epargne s’est accompagnée avec une amélioration de 1,2% de la formation brute du capital fixe dont le volume est de 318,5 milliards de dirhams.
Par ailleurs, le HCP estime le besoin de financement de la nation à 50,5 milliards de DH en 2019, soit 4,4% du PIB. Ce chiffre ne manquera pas d’augmenter durant l’année 2020, où l’économie a été frappée de plein fouet par la récession due à la pandémie.
De leur côté, les ménages et les institutions à but non lucratif au service des ménages (ISBLSM) ont contribué de 29,3% à la richesse nationale avec une part de 62,6% du revenu national brut disponible. Ces derniers constituent 29,8% de l’épargne nationale et 26% de l’investissement. Par ailleurs, dans un contexte de maîtrise de l’inflation, le pouvoir d’achat s’est amélioré de 2,6%, précise la même source.
S’agissant de l’épargne nationale, elle a connu une hausse de 4% par rapport à 2018, en se situant à 320,1 milliards de DH en 2019. Les sociétés financières et non financières y ont contribué à hauteur de 56,3%, les ménages et le tissu associatif pour 29,8% et les administrations publiques pour 13,9%. Cette amélioration de l’Epargne s’est accompagnée avec une amélioration de 1,2% de la formation brute du capital fixe dont le volume est de 318,5 milliards de dirhams.
Par ailleurs, le HCP estime le besoin de financement de la nation à 50,5 milliards de DH en 2019, soit 4,4% du PIB. Ce chiffre ne manquera pas d’augmenter durant l’année 2020, où l’économie a été frappée de plein fouet par la récession due à la pandémie.