Une défaite indigeste
Difficile, amère, insupportable, pénible, douloureuse, cruelle, atroce ...tels sont les termes possibles pour qualifier la défaite du FUS et comment elle a été vécue par les Fussistes !
Un réveil cruel !
Après avoir brillé de la plus belle des manières face à l'OCS et après avoir passé quelques jours sur les nuages, le FUS s'est fait réveiller de la plus cruelle des manières : encaisser le but de la défaite aux ultimes secondes du jeu. Pire, le FUS s'est fait battre alors qu'il venait de rater plusieurs balles de matchs.
Si la première mi-temps était pour le club rbati discrète, la deuxième était largement en sa faveur.
Une égalisation mal exploitée !
Le Hassania menait dès la 13ème minute. Le Fath n'est revenu au score qu'à la 73ème minute. L'égalisation a donné aux visiteurs des ailes. Ils ont effectué une succession de raids mais sans efficacité. Ils ont été dominateurs tout au long de la seconde mi-temps. Mais aux ultimes secondes du match, un centre-tir anodin, un centre tir à l'aveuglette, au hasard, allait leur faire regretter les occasions ratées. Le ballon est venu "percuter" l'épaule du chanceux El Fahli qui ne s'en est même pas rendu compte. Il s'est orienté alors vers les filets, sans aucun mouvement volontaire du joueur auquel le but a été "officiellement" attribué. Assif a tenté de l'arrêter sans y parvenir malgré son dangereux plongeon. Dangereux parce que sa tête a fait heurter le poteau droit.
Un retour cauchemardesque !
Khalfi et ses joueurs ont sûrement, sur le chemin du retour vers Rabat, passé une nuit cauchemardesque. Ils seront longtemps hantés par ce but assassin venu de nulle part.
C'est la loi du football. Tu rates. Tu risques de le payer sur place, illico presto ! Le Fath n'est pas le premier et ne sera pas le dernier.
L'amertume des uns, le bonheur des autres !
Autant l'amertume du Fath était sans limites, autant le bonheur du Hassania l'était. Sortir vainqueur, marquer un but contre le cours du jeu juste avant le sifflet final, on ne peut espérer plus. Et ce bonheur est encore plus intense quand il vous fait sortir de la zone du danger, celle qui vous attire vers la relégation. Ouchrif et ses joueurs ont bien savouré leur victoire. Une victoire qui leur est tombée du ciel.
Difficile, amère, insupportable, pénible, douloureuse, cruelle, atroce ...tels sont les termes possibles pour qualifier la défaite du FUS et comment elle a été vécue par les Fussistes !
Un réveil cruel !
Après avoir brillé de la plus belle des manières face à l'OCS et après avoir passé quelques jours sur les nuages, le FUS s'est fait réveiller de la plus cruelle des manières : encaisser le but de la défaite aux ultimes secondes du jeu. Pire, le FUS s'est fait battre alors qu'il venait de rater plusieurs balles de matchs.
Si la première mi-temps était pour le club rbati discrète, la deuxième était largement en sa faveur.
Une égalisation mal exploitée !
Le Hassania menait dès la 13ème minute. Le Fath n'est revenu au score qu'à la 73ème minute. L'égalisation a donné aux visiteurs des ailes. Ils ont effectué une succession de raids mais sans efficacité. Ils ont été dominateurs tout au long de la seconde mi-temps. Mais aux ultimes secondes du match, un centre-tir anodin, un centre tir à l'aveuglette, au hasard, allait leur faire regretter les occasions ratées. Le ballon est venu "percuter" l'épaule du chanceux El Fahli qui ne s'en est même pas rendu compte. Il s'est orienté alors vers les filets, sans aucun mouvement volontaire du joueur auquel le but a été "officiellement" attribué. Assif a tenté de l'arrêter sans y parvenir malgré son dangereux plongeon. Dangereux parce que sa tête a fait heurter le poteau droit.
Un retour cauchemardesque !
Khalfi et ses joueurs ont sûrement, sur le chemin du retour vers Rabat, passé une nuit cauchemardesque. Ils seront longtemps hantés par ce but assassin venu de nulle part.
C'est la loi du football. Tu rates. Tu risques de le payer sur place, illico presto ! Le Fath n'est pas le premier et ne sera pas le dernier.
L'amertume des uns, le bonheur des autres !
Autant l'amertume du Fath était sans limites, autant le bonheur du Hassania l'était. Sortir vainqueur, marquer un but contre le cours du jeu juste avant le sifflet final, on ne peut espérer plus. Et ce bonheur est encore plus intense quand il vous fait sortir de la zone du danger, celle qui vous attire vers la relégation. Ouchrif et ses joueurs ont bien savouré leur victoire. Une victoire qui leur est tombée du ciel.