Un match dans sa globalité équilibré avec un léger avantage aux Tangérois plus offensifs et plus présents à l’approche de la surface de réparation sans parvenir pour autant à concrétiser.
Des supporters de l’ASFAR en attente de changements
Récemment, une requête émanant de l’Association « Jamhour Al Aassima » a été adressée au président de l’ASFAR. Les associatifs ont mis l’accent sur la disette frappant l’équipe depuis 13 ans au niveau des consécrations. Ils ont réclamé, dans ce but, des changements structuraux administratifs et techniques permettant de retrouver la grandeur des « FAR » et une représentativité plus entreprenante et plus efficace au sein des instances dirigeantes du football national de façon à mieux défendre les intérêts de l’ASFAR.
Des objectifs différents
L’IRT et l’ASFAR étaient sur le terrain pour des objectifs différents. Les locaux jouaient pour quitter la zone rouge, les visiteurs pour s’approcher du podium à long terme et mettre fin à la récente série des matchs nuls à court terme. Le nul n’est donc pas satisfaisant pour les deux parties. Un seul point comptabilisé au classement général n’est pas une bonne affaire.
Un nuls et des penalties
A la 12ème minute, Réda Slim a joliment transformé le premier penalty du match donnant l’avantage à l’ASFAR. A la 59ème minute El Mouadene a égalisé sur penalty. Le Tangérois, Echibi, à la 85ème minute, a eu la balle du match au bout du pied. Il a été bien servi à la limite de la surface de réparation adressant un tir puissant et cadré mais trouvant sur sa trajectoire la belle détente et parade du portier associatif des FAR qui a dévié le ballon en corner. Cette action a été la plus belle du match !
L’IRT obligé de faire le jeu !
Contrairement aux trois précédents matchs, cette fois-ci, l’Itihad a été contraint de faire le jeu après avoir encaissé le but dès le premier quart d’heures de la partie. Mouaoui était à la base de l’animation offensive. L’ASFAR, menant au score, s’est repliée ne procédant que par des contres. Bien regroupés, les visiteurs n’ont pas permis aux locaux de développer leur jeu et concrétiser leurs assauts offensifs.
Des entraineurs différemment satisfaits !
Les deux entraineurs, chacun à sa façon, se sont déclarés satisfaits du résultat. Talib semblait réellement satisfait. Pour lui un nul à l’extérieur équivaut à une victoire d’autant plus que son équipe a joué amoindrie numériquement pendant les 30 dernières minutes après l’expulsion d’Errahouli.
S’agissant de Pedro Benali, sa satisfaction est entachée de quelques regrets dans la mesure où l’équipe aurait était gagnante avec une victoire qui lui aurait permis de s’éloigner de la zone rouge. Il considère que 8 points sur 12 possibles est une bonne affaire vu la situation actuelle du club.
A Imad Errahouli le trophée du fair-play !
A la 60ème minute Imad Errahouli (ASFAR) a été averti pour la deuxième fois après une faute commise sur Anouar (IRT). Les deux jaunes ont été transformés en rouge. Sa réaction a été exemplaire au niveau du fair-play. Il n’a pas craqué. Il a bien maitrisé ses émotions négatives en gardant son calme et en allant s’excuser auprès des joueurs tangérois proches et tangérois blessé avant de reprendre le chemin des vestiaires. Il est rare de voir une telle scène sur nos terrains. Cette attitude est d’autant plus valorisée que Imad Errahouli portait le brassard du capitaine. Un bel exemple à suivre !
Des supporters de l’ASFAR en attente de changements
Récemment, une requête émanant de l’Association « Jamhour Al Aassima » a été adressée au président de l’ASFAR. Les associatifs ont mis l’accent sur la disette frappant l’équipe depuis 13 ans au niveau des consécrations. Ils ont réclamé, dans ce but, des changements structuraux administratifs et techniques permettant de retrouver la grandeur des « FAR » et une représentativité plus entreprenante et plus efficace au sein des instances dirigeantes du football national de façon à mieux défendre les intérêts de l’ASFAR.
Des objectifs différents
L’IRT et l’ASFAR étaient sur le terrain pour des objectifs différents. Les locaux jouaient pour quitter la zone rouge, les visiteurs pour s’approcher du podium à long terme et mettre fin à la récente série des matchs nuls à court terme. Le nul n’est donc pas satisfaisant pour les deux parties. Un seul point comptabilisé au classement général n’est pas une bonne affaire.
Un nuls et des penalties
A la 12ème minute, Réda Slim a joliment transformé le premier penalty du match donnant l’avantage à l’ASFAR. A la 59ème minute El Mouadene a égalisé sur penalty. Le Tangérois, Echibi, à la 85ème minute, a eu la balle du match au bout du pied. Il a été bien servi à la limite de la surface de réparation adressant un tir puissant et cadré mais trouvant sur sa trajectoire la belle détente et parade du portier associatif des FAR qui a dévié le ballon en corner. Cette action a été la plus belle du match !
L’IRT obligé de faire le jeu !
Contrairement aux trois précédents matchs, cette fois-ci, l’Itihad a été contraint de faire le jeu après avoir encaissé le but dès le premier quart d’heures de la partie. Mouaoui était à la base de l’animation offensive. L’ASFAR, menant au score, s’est repliée ne procédant que par des contres. Bien regroupés, les visiteurs n’ont pas permis aux locaux de développer leur jeu et concrétiser leurs assauts offensifs.
Des entraineurs différemment satisfaits !
Les deux entraineurs, chacun à sa façon, se sont déclarés satisfaits du résultat. Talib semblait réellement satisfait. Pour lui un nul à l’extérieur équivaut à une victoire d’autant plus que son équipe a joué amoindrie numériquement pendant les 30 dernières minutes après l’expulsion d’Errahouli.
S’agissant de Pedro Benali, sa satisfaction est entachée de quelques regrets dans la mesure où l’équipe aurait était gagnante avec une victoire qui lui aurait permis de s’éloigner de la zone rouge. Il considère que 8 points sur 12 possibles est une bonne affaire vu la situation actuelle du club.
A Imad Errahouli le trophée du fair-play !
A la 60ème minute Imad Errahouli (ASFAR) a été averti pour la deuxième fois après une faute commise sur Anouar (IRT). Les deux jaunes ont été transformés en rouge. Sa réaction a été exemplaire au niveau du fair-play. Il n’a pas craqué. Il a bien maitrisé ses émotions négatives en gardant son calme et en allant s’excuser auprès des joueurs tangérois proches et tangérois blessé avant de reprendre le chemin des vestiaires. Il est rare de voir une telle scène sur nos terrains. Cette attitude est d’autant plus valorisée que Imad Errahouli portait le brassard du capitaine. Un bel exemple à suivre !