Dans l’objectif de mesurer le degré de préparation des pays à tirer parti des opportunités offertes par les technologies de l’information et de la communication, l’institut Portulans donne le coup d’envoi à l’édition 2022 de l’«Indice de préparation aux réseaux». Ce rapport mondial accorde au Maroc un score global de 46,5, qui le classe en tête du Maghreb et neuvième dans la région Mena.
Le Royaume arrive ainsi en 79ème position, sur 131 pays figurant dans ce classement. Rappelons que cet indice a été publié pour la première fois en 2012 par le Forum économique mondial (WEF) en collaboration avec Cornell University et INSEAD.
Aujourd’hui, il est devenu l’un des principaux indices mondiaux sur l’utilisation de la technologie pour le développement et l’évaluation de l’impact des technologies de l’information et des communications (TIC) sur la compétitivité des nations. Il se fonde sur quatre piliers fondamentaux, la «technologie», la «population», la «gouvernance» et l’«impact».
Le Maroc poursuit donc son cheminement en matière de transition numérique ces derniers temps, animé de l’ambition de se démarquer et préserver sa place dans le secteur. Il est aussi considéré comme une destination privilégiée d’un nouveau genre de tourisme, le nomadisme numérique.
D’ailleurs, l’institut Portulans signale que le Maroc figure parmi les pays «surperformants» qui «dépassent les attentes» dans deux dimensions, à savoir les dimensions «technologie» et «population ». Dans le même sens, il faut préciser que le Royaume se classe 78ème en matière de technologie, qui comprend trois sous-piliers: l’accessibilité, le contenu et les technologies du futur et se classe à la 85e position en ce qui concerne la dimension «population».
Les pays en développement sont donc en avance comme parties qui remplissent des critères répondant aux exigences de la bonne performance mais sont toujours sollicités à développer les compétences numériques par le biais de programmes d’éducation et de formation. Ces initiatives permettront de se concentrer sur le cadre de programmes numériques pour renforcer les systèmes nationaux d’innovation et préparer les pays à participer dans les projets des technologies de l’information et de la communication.
Enfin, en ce qui concerne la gouvernance, troisième pilier pris en compte par cet indice, le Maroc arrive en 80ème position et se démarque ainsi au niveau du sous-pilier «régulation», où il se classe 37ème et au 66ème rang quant au critère «impact».
Le Royaume arrive ainsi en 79ème position, sur 131 pays figurant dans ce classement. Rappelons que cet indice a été publié pour la première fois en 2012 par le Forum économique mondial (WEF) en collaboration avec Cornell University et INSEAD.
Aujourd’hui, il est devenu l’un des principaux indices mondiaux sur l’utilisation de la technologie pour le développement et l’évaluation de l’impact des technologies de l’information et des communications (TIC) sur la compétitivité des nations. Il se fonde sur quatre piliers fondamentaux, la «technologie», la «population», la «gouvernance» et l’«impact».
Le Maroc poursuit donc son cheminement en matière de transition numérique ces derniers temps, animé de l’ambition de se démarquer et préserver sa place dans le secteur. Il est aussi considéré comme une destination privilégiée d’un nouveau genre de tourisme, le nomadisme numérique.
D’ailleurs, l’institut Portulans signale que le Maroc figure parmi les pays «surperformants» qui «dépassent les attentes» dans deux dimensions, à savoir les dimensions «technologie» et «population ». Dans le même sens, il faut préciser que le Royaume se classe 78ème en matière de technologie, qui comprend trois sous-piliers: l’accessibilité, le contenu et les technologies du futur et se classe à la 85e position en ce qui concerne la dimension «population».
Les pays en développement sont donc en avance comme parties qui remplissent des critères répondant aux exigences de la bonne performance mais sont toujours sollicités à développer les compétences numériques par le biais de programmes d’éducation et de formation. Ces initiatives permettront de se concentrer sur le cadre de programmes numériques pour renforcer les systèmes nationaux d’innovation et préparer les pays à participer dans les projets des technologies de l’information et de la communication.
Enfin, en ce qui concerne la gouvernance, troisième pilier pris en compte par cet indice, le Maroc arrive en 80ème position et se démarque ainsi au niveau du sous-pilier «régulation», où il se classe 37ème et au 66ème rang quant au critère «impact».