L’artiste au cœur vagabond explore la vie de ses découvertes insolites, et nous fait voyager à travers son pinceau dans les méandres de l’âme. Elle nous transmet l’enchantement et l’envoûtement à travers ses toiles, qui semblent inspirées par l’océan et son souffle libertaire, non loin de son atelier.
Ses écritures mystérieuses, très présentes dans ses dessins et ses toiles, et probablement façonnées dans les calligraphie arabe et latine, semblent dire des histoires universelles. On les retrouve d’ailleurs dans ses sculptures métalliques aux courbes évocatrices.
« Cœur sur la main et volonté de fer, Najoua El Hitmi avance à l’écoute de l’élan de vie et des rencontres », ce sont les mots d’Abla Ababou pour décrire les pérégrinations de l’artiste peintre. Dans son atelier tangérois s’entassent des centaines de toiles, de dessins, des papiers variés venant d’Asie et de longs panneaux de tissus du monde entier. Au-delà de la peinture même, Najoua El Hitmi utilise la vidéo, la sculpture, la photographie et la poésie afin d’enrichir l’expression et d’affiner le propos.
Najoua El Hitmi a vu le jour en 1978 à Tanger, où elle vit actuellement. Autodidacte, elle s’est vouée à l’art après avoir été agent de voyage puis sophrologue. Elle ne se reconnait en aucun courant ou aucune école, préservant ainsi sa liberté à exercer son art sans entrave.
Ses écritures mystérieuses, très présentes dans ses dessins et ses toiles, et probablement façonnées dans les calligraphie arabe et latine, semblent dire des histoires universelles. On les retrouve d’ailleurs dans ses sculptures métalliques aux courbes évocatrices.
« Cœur sur la main et volonté de fer, Najoua El Hitmi avance à l’écoute de l’élan de vie et des rencontres », ce sont les mots d’Abla Ababou pour décrire les pérégrinations de l’artiste peintre. Dans son atelier tangérois s’entassent des centaines de toiles, de dessins, des papiers variés venant d’Asie et de longs panneaux de tissus du monde entier. Au-delà de la peinture même, Najoua El Hitmi utilise la vidéo, la sculpture, la photographie et la poésie afin d’enrichir l’expression et d’affiner le propos.
Najoua El Hitmi a vu le jour en 1978 à Tanger, où elle vit actuellement. Autodidacte, elle s’est vouée à l’art après avoir été agent de voyage puis sophrologue. Elle ne se reconnait en aucun courant ou aucune école, préservant ainsi sa liberté à exercer son art sans entrave.