- Quelle est l’importance de la Session Plénière solennelle annuelle de l’Académie Hassan II des Sciences et Techniques ?
- Je suis ravi d’être au Maroc pour célébrer le centenaire de la physique quantique, une science en constante évolution qui a profondément transformé notre quotidien. La conférence inaugurale, retraçant l’Histoire du développement du laser, avait pour but de souligner l’importance de la recherche fondamentale comme condition indispensable à la réussite de la recherche appliquée.
Des chercheurs venus de plusieurs pays européens sont visiblement impressionnés par le dynamisme du Maroc à plusieurs niveaux. J'espère que cette Session Plénière solennelle annuelle favorisera des collaborations fructueuses, particulièrement dans un monde de plus en plus complexe sur le plan géopolitique.
- Quel regard portez-vous sur le chemin parcouru par le Maroc dans la promotion des sciences ?
- Le Maroc avance à grands pas dans ce domaine. L'enjeu majeur réside dans l'amélioration de la qualité de l'enseignement des sciences du primaire au secondaire jusqu'au lycée, avec un intérêt particulier pour l’amélioration des conditions de travail du corps professoral. Parallèlement à cela, il est crucial de lutter contre les facteurs qui contribuent à la dégradation du système éducatif, notamment l'influence des réseaux sociaux au détriment du livre et de la connaissance.
- Quels sont les principaux obstacles qui entravent le développement simultané de la recherche fondamentale et de la recherche appliquée ?
- Les deux s'inscrivent dans une espèce de cercle vertueux naturel. Cependant, sa mise en pratique fait face à de nombreux défis, car la recherche fondamentale est principalement financée par les milieux académiques, tandis que la recherche appliquée dépend en grande partie des industries privées, dont le but est de générer des profits.
A vrai dire, les pays qui réussissent le mieux à établir un équilibre entre les deux sont ceux qui affichent des performances de recherche les plus impressionnantes. Cela varie en fonction des contextes et des choix politiques des dirigeants. Pour ma part, j'essaie de sensibiliser à l'importance de créer une symbiose harmonieuse entre la recherche fondamentale et celle appliquée.
- Je suis ravi d’être au Maroc pour célébrer le centenaire de la physique quantique, une science en constante évolution qui a profondément transformé notre quotidien. La conférence inaugurale, retraçant l’Histoire du développement du laser, avait pour but de souligner l’importance de la recherche fondamentale comme condition indispensable à la réussite de la recherche appliquée.
Des chercheurs venus de plusieurs pays européens sont visiblement impressionnés par le dynamisme du Maroc à plusieurs niveaux. J'espère que cette Session Plénière solennelle annuelle favorisera des collaborations fructueuses, particulièrement dans un monde de plus en plus complexe sur le plan géopolitique.
- Quel regard portez-vous sur le chemin parcouru par le Maroc dans la promotion des sciences ?
- Le Maroc avance à grands pas dans ce domaine. L'enjeu majeur réside dans l'amélioration de la qualité de l'enseignement des sciences du primaire au secondaire jusqu'au lycée, avec un intérêt particulier pour l’amélioration des conditions de travail du corps professoral. Parallèlement à cela, il est crucial de lutter contre les facteurs qui contribuent à la dégradation du système éducatif, notamment l'influence des réseaux sociaux au détriment du livre et de la connaissance.
- Quels sont les principaux obstacles qui entravent le développement simultané de la recherche fondamentale et de la recherche appliquée ?
- Les deux s'inscrivent dans une espèce de cercle vertueux naturel. Cependant, sa mise en pratique fait face à de nombreux défis, car la recherche fondamentale est principalement financée par les milieux académiques, tandis que la recherche appliquée dépend en grande partie des industries privées, dont le but est de générer des profits.
A vrai dire, les pays qui réussissent le mieux à établir un équilibre entre les deux sont ceux qui affichent des performances de recherche les plus impressionnantes. Cela varie en fonction des contextes et des choix politiques des dirigeants. Pour ma part, j'essaie de sensibiliser à l'importance de créer une symbiose harmonieuse entre la recherche fondamentale et celle appliquée.
