Fateh Sharif Abou al-Amin chef du mouvement au Liban, et plusieurs membres de sa famille ont été tués dans une frappe israélienne.
L'armée israélienne a mené lundi une frappe aérienne au cœur de Beyrouth, pour la première fois depuis le début de l'escalade militaire entre Israël et le Hezbollah libanais, tuant trois membres d'un groupe armé palestinien.
Le Hamas palestinien, allié du Hezbollah lui aussi soutenu par l'Iran, a par ailleurs annoncé que son chef au Liban avait été tué lundi dans une frappe dans le sud du pays, où l'armée israélienne mène d'intenses bombardements contre le groupe islamiste libanais depuis une semaine.
Selon une source de sécurité libanaise, "au moins quatre personnes ont été tuées dans une frappe de drone israélienne visant un appartement appartenant à la Jamaa Islamiya", un groupe islamiste libanais sunnite qui appuie le Hezbollah dans ses opérations menées depuis le Liban sur le nord d'Israël "en soutien" au Hamas.
Le Front populaire pour la libération de la Palestine (FPLP), une organisation palestinienne laïque de gauche qualifiée de terroriste par Israël et l'Union européenne, a annoncé la mort de trois de ses membres dans la frappe.
Au total, plus de mille personnes ont été tuées au Liban, selon les autorités libanaises, depuis le début de l'escalade militaire entre Israël et le Hezbollah à la mi-septembre.
Israël avait une nouvelle fois promis de combattre ses "ennemis" et de les "éliminer" partout où ils se trouvent, après la mort du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, tué vendredi dans une puissante frappe israélienne sur la banlieue sud de Beyrouth.
Après plusieurs frappes ces derniers jours sur la banlieue sud de la capitale, fief du mouvement islamiste libanais, l'armée israélienne a visé lundi le centre de Beyrouth pour la première fois depuis que le Hezbollah a ouvert un front contre Israël, au lendemain de l'attaque sans précédent menée par le Hamas palestinien le 7 octobre 2023.
Le Hamas palestinien, allié du Hezbollah lui aussi soutenu par l'Iran, a par ailleurs annoncé que son chef au Liban avait été tué lundi dans une frappe dans le sud du pays, où l'armée israélienne mène d'intenses bombardements contre le groupe islamiste libanais depuis une semaine.
Selon une source de sécurité libanaise, "au moins quatre personnes ont été tuées dans une frappe de drone israélienne visant un appartement appartenant à la Jamaa Islamiya", un groupe islamiste libanais sunnite qui appuie le Hezbollah dans ses opérations menées depuis le Liban sur le nord d'Israël "en soutien" au Hamas.
Le Front populaire pour la libération de la Palestine (FPLP), une organisation palestinienne laïque de gauche qualifiée de terroriste par Israël et l'Union européenne, a annoncé la mort de trois de ses membres dans la frappe.
Au total, plus de mille personnes ont été tuées au Liban, selon les autorités libanaises, depuis le début de l'escalade militaire entre Israël et le Hezbollah à la mi-septembre.
Israël avait une nouvelle fois promis de combattre ses "ennemis" et de les "éliminer" partout où ils se trouvent, après la mort du chef du Hezbollah, Hassan Nasrallah, tué vendredi dans une puissante frappe israélienne sur la banlieue sud de Beyrouth.
Après plusieurs frappes ces derniers jours sur la banlieue sud de la capitale, fief du mouvement islamiste libanais, l'armée israélienne a visé lundi le centre de Beyrouth pour la première fois depuis que le Hezbollah a ouvert un front contre Israël, au lendemain de l'attaque sans précédent menée par le Hamas palestinien le 7 octobre 2023.