De ce fait, le record de médailles d’or lui échappe, même si étant âgée de 27 ans, il n’est pas exclu de la voir participer aux Jeux de Los Angeles en 2028.
Pour rappel, la gymnaste Larissa Latynina, qui a concouru sous la bannière de l’Union soviétique lors des jeux de 1956 à 1964 détient le record de médailles d’or en gymnastique, mais aussi celui de la sportive la plus titrée lors de Jeux (elle a été rejointe le 3 août par la nageuse américaine Katie Ledecky), avec 9 unités.
Au lever du jour, Simone Biles avait encore des chances d’entrer dans l’histoire et d’égaler ses deux consœurs en s’imposant à la poutre et au sol (domaine où elle excelle), puisqu’elle avait remporté jusque-là 7 médailles d’or ainsi qu’une d’argent et deux de bronze entre les JO de 2016 à Rio et aujourd’hui.
Il n’en aura rien été : aujourd’hui, elle a chuté lors du concours à la poutre, se plaçant à la cinquième position et la privant de podium pour la première fois de sa carrière à des Jeux, puis elle a été dominée de très peu au sol (14.133 contre 14.166), par sa rivale de toujours Rebeca Andrade, ajoutant néanmoins une médaille d’argent à sa collection déjà bien garnie.
La gymnaste qui a taclé des propos polémiques de Trump sur Twitter au lendemain du concours général individuel (où elle a remporté l’or) : « I love my black job », refuse d’entendre parler des Jeux de Los Angeles qui auront lieu en 2028, et lors desquels elle comptera 31 années.
Cela pourrait être une dernière occasion cependant, et si l’on s’avance un peu, de devenir l’athlète féminine la plus médaillée de l’histoire des Jeux Olympiques.
L'instant est cependant à la célébration, avec son retour en force trois ans après des troubles qui avaient sabordé son expérience tokyoïte.
Pour rappel, la gymnaste Larissa Latynina, qui a concouru sous la bannière de l’Union soviétique lors des jeux de 1956 à 1964 détient le record de médailles d’or en gymnastique, mais aussi celui de la sportive la plus titrée lors de Jeux (elle a été rejointe le 3 août par la nageuse américaine Katie Ledecky), avec 9 unités.
Au lever du jour, Simone Biles avait encore des chances d’entrer dans l’histoire et d’égaler ses deux consœurs en s’imposant à la poutre et au sol (domaine où elle excelle), puisqu’elle avait remporté jusque-là 7 médailles d’or ainsi qu’une d’argent et deux de bronze entre les JO de 2016 à Rio et aujourd’hui.
Une chute et un concours au sol serré
Il n’en aura rien été : aujourd’hui, elle a chuté lors du concours à la poutre, se plaçant à la cinquième position et la privant de podium pour la première fois de sa carrière à des Jeux, puis elle a été dominée de très peu au sol (14.133 contre 14.166), par sa rivale de toujours Rebeca Andrade, ajoutant néanmoins une médaille d’argent à sa collection déjà bien garnie.
La gymnaste qui a taclé des propos polémiques de Trump sur Twitter au lendemain du concours général individuel (où elle a remporté l’or) : « I love my black job », refuse d’entendre parler des Jeux de Los Angeles qui auront lieu en 2028, et lors desquels elle comptera 31 années.
Cela pourrait être une dernière occasion cependant, et si l’on s’avance un peu, de devenir l’athlète féminine la plus médaillée de l’histoire des Jeux Olympiques.
L'instant est cependant à la célébration, avec son retour en force trois ans après des troubles qui avaient sabordé son expérience tokyoïte.