Avec une programmation qui accorde une place privilégiée aux artistes marocains et africains, la Scène 21 a accueilli le groupe marocain Bab L’bluz, suivi du parrain du Jazz éthiopien Mulatu Astatke. Sur la Scène Casa Anfa, la résidence artistique du trompettiste Erik Truffaz et Maâlem Hamid El Kasri a ravi le public amateur.
La soirée s’est clôturée avec le concert époustouflant et tant attendu de Ibrahim Maâlouf. Exprimant sa joie d’animer la première soirée de ce grand festival, Maâlem Hamid El Kasri qui s’est imposé avec son Hajhouj qu’il manie avec perfection, a affirmé : « le fait de reprendre la grande scène de ce festival, c’est pour moi très émouvant. Quelle joie de rencontrer à nouveau le public casaoui !, un public fidèle et connu pour son attachement à la musique gnaouie ».
Pensé et agencé comme un véritable lieu social, l’espace verdoyant et lumineux qui a accueilli la deuxième soirée du festival a opéré son charme. L’atmosphère chaleureuse a confirmé une fois de plus la transformation de Jazzablanca en un espace à part entière.
La soirée du samedi 2 juillet commence avec un hommage au patrimoine amazigh avec le concert du groupe Tasuta N-Imal. Ils interpréteront notamment leur single “Fadma”, ainsi qu’un registre qui se situe à mi-chemin entre la chanson et le poème, alliant des tonalités de blues et rock. Toujours sur la scène Casa Anfa, Gilberto Gil, sommité de la fusion du jazz et de la musique latine, vient égayer la soirée avec un répertoire faisant partie de la vie et de l’histoire du Brésil.
Du haut de ses 78 ans, ce recordman d’enregistrements discographiques continue d’osciller entre la guitare et l’accordéon, et de transmettre à travers sa musique des messages engagés. Le même soir, le public aura rendez-vous avec le compositeur, guitariste et chanteur israélien, Asaf Avidan qui se produira pour la première fois au Maroc.
A cette occasion, la chanteuse belge, Natacha Atlas qui a fait de part de sa joie de retrouver le public marocain, se réjouissant de sa 1ère participation à Jazzablanca, dont le public a particulièrement apprécié la fusion entre jazz et musique orientale. Elle a ajouté : « J’ai commencé à mêler jazz et mélodies orientales depuis plusieurs années, estimant que la fusion permet à l’artiste d’élargir son champ de créativité et d’improvisation ».
Pour la journée du dimanche 3 juillet, un vent de fraîcheur soufflera sur Anfa Park avec le retour de Oum. Devenue une figure incontournable de la scène marocaine, elle présentera pour la première fois au Maroc son album “Daba”. Le concert de clôture de la 15ème édition de Jazzablanca avec la star internationale Ben Harper et son groupe The Innocent Criminals. Guitariste hors pair, avec 4 Grammy Awards à son actif, l’artiste revient avec The Innocent Criminals pour offrir un concert festif dans une énergie joyeuse.
La soirée s’est clôturée avec le concert époustouflant et tant attendu de Ibrahim Maâlouf. Exprimant sa joie d’animer la première soirée de ce grand festival, Maâlem Hamid El Kasri qui s’est imposé avec son Hajhouj qu’il manie avec perfection, a affirmé : « le fait de reprendre la grande scène de ce festival, c’est pour moi très émouvant. Quelle joie de rencontrer à nouveau le public casaoui !, un public fidèle et connu pour son attachement à la musique gnaouie ».
Pensé et agencé comme un véritable lieu social, l’espace verdoyant et lumineux qui a accueilli la deuxième soirée du festival a opéré son charme. L’atmosphère chaleureuse a confirmé une fois de plus la transformation de Jazzablanca en un espace à part entière.
La soirée du samedi 2 juillet commence avec un hommage au patrimoine amazigh avec le concert du groupe Tasuta N-Imal. Ils interpréteront notamment leur single “Fadma”, ainsi qu’un registre qui se situe à mi-chemin entre la chanson et le poème, alliant des tonalités de blues et rock. Toujours sur la scène Casa Anfa, Gilberto Gil, sommité de la fusion du jazz et de la musique latine, vient égayer la soirée avec un répertoire faisant partie de la vie et de l’histoire du Brésil.
Du haut de ses 78 ans, ce recordman d’enregistrements discographiques continue d’osciller entre la guitare et l’accordéon, et de transmettre à travers sa musique des messages engagés. Le même soir, le public aura rendez-vous avec le compositeur, guitariste et chanteur israélien, Asaf Avidan qui se produira pour la première fois au Maroc.
A cette occasion, la chanteuse belge, Natacha Atlas qui a fait de part de sa joie de retrouver le public marocain, se réjouissant de sa 1ère participation à Jazzablanca, dont le public a particulièrement apprécié la fusion entre jazz et musique orientale. Elle a ajouté : « J’ai commencé à mêler jazz et mélodies orientales depuis plusieurs années, estimant que la fusion permet à l’artiste d’élargir son champ de créativité et d’improvisation ».
Pour la journée du dimanche 3 juillet, un vent de fraîcheur soufflera sur Anfa Park avec le retour de Oum. Devenue une figure incontournable de la scène marocaine, elle présentera pour la première fois au Maroc son album “Daba”. Le concert de clôture de la 15ème édition de Jazzablanca avec la star internationale Ben Harper et son groupe The Innocent Criminals. Guitariste hors pair, avec 4 Grammy Awards à son actif, l’artiste revient avec The Innocent Criminals pour offrir un concert festif dans une énergie joyeuse.
Rime TAYBOUTA
Le come back de Jazzablanca
Lancé en 2006, Jazzablanca est le festival international de Jazz et de musiques actuelles de Casablanca. Le festival présente de grands noms de la Pop, de la Soul, du Rock, du Funk, de la World Music et du Jazz.
Il prend soin de renouveler sa programmation avec une affiche toujours plus exigeante et la volonté de proposer des concerts exceptionnels, de la découverte de nouveaux talents à la rencontre de légendes internationales.
Afin d’être un acteur engagé de la société, et de poser ainsi un des piliers de sa politique RSE, la Fondation BMCI se place dans la continuité du soutien apporté par la Fondation BNP Paribas aux musiciens jazz, en tant que sponsor officiel duo Jazzablanca depuis 2014.
Il prend soin de renouveler sa programmation avec une affiche toujours plus exigeante et la volonté de proposer des concerts exceptionnels, de la découverte de nouveaux talents à la rencontre de légendes internationales.
Afin d’être un acteur engagé de la société, et de poser ainsi un des piliers de sa politique RSE, la Fondation BMCI se place dans la continuité du soutien apporté par la Fondation BNP Paribas aux musiciens jazz, en tant que sponsor officiel duo Jazzablanca depuis 2014.